Monstrueux

II. Un tableau pathétique A. « Un tableau » : comment représenter le monstrueux ? Il s’agit ici de faire voir au spectateur une scène par définition invisible, puisqu’un des acteurs en est un monstre, un être irreprésentable. Racine utilise des procédés destinés à faire voir l’invisible. ¾ L’hypotypose : Cette figure vise à représenter une scène comme si le spectateur l’avait sous les yeux : d’où l’importance des détails, du mouvement (qui est aussi rendu dans le rythme et les sonorités

que cette homme la fut étrange c’était comme sil chercher un avenir ailleurs. Le plus mystérieux fut qu’il était vêtu tout en noir, était –il un gothique ou une personne maléfique ! Peut être était il Lancien propriétaire de ce grand bijoux monstrueux, grand comme une montagne et vaporeux comme une mousseline. Tout à coup pour en savoir plus je sortais de ma cachette pour lui proposé s’il avait besoin d’aide, mais soudain il disparut comme un fantôme. Mais ce fut impossible de voir un humain

Claire. De part sa différence, ilsfascinent. Le peuple est en ébahissement devant la monstruosité de Quasimodo. En contre partie, les monstres suscitent des réactions de rejet ainsi que d’effroi. La peur des femmes qui accoucherontd’enfants aussi monstrueux que Quasimodo. Une solitude engendrée par le rejet comme l’affiche d’Elephant Man. Frankenstein rappelant sa solitude et son rejet auprès des hommes malgré ses bonnesintentions. Ces monstres sont par ailleurs perçus comme malsain et né d’une

sonne. « Oui, c’est pourquoi ?? ». Là, je commence à trembler, ce sont des gendarmes menaçant qui se trouvent juste devant moi, ils réclament mes parents. Les quelques minutes qui suivent me paraissent une éternité….C’est bien moi qui ai commis ce monstrueux incident. Je suis donc convoqué dans leurs locaux. J’avoue, je réponds à leurs questions, si stupides quelles soient parfois, mais j’ai peur, terriblement peur de ce qui va m’arriver. Le pire, c’est que pour vérifier mes aptitudes intellectuelles

troisième, L'Homme qui rit de Victor Hugo, sont des romans du mouvement réaliste. Tout ces romans donnent une vision différente de la monstruosité humaine. Pour Mary Shelley le monstre qu'a créer Frankenstein est un être bon mais qui est devenu monstrueux, par ses crimes et par sa laideur, car la société l'a rejeté. L'auteur évoque dans cet extraits deux aspects de la monstruosité. Tout d'abord la monstruosité physique est exprimée très explicitement « une silhouette que je ne peux trouver de mots

danser sur son corps pour le faire souffrir même dans l'au-delà. QUESTION 4 Cette fusion permet l'enrichissement du mythe de Médée car en effet ses trois figures sont représentatives de la monstruosité et augmente ainsi considérablement le mythe monstrueux qu'est Médée. QUESTION 5 Les chœurs dans le théâtre Antique servent a  présenter le contexte et résume les situations pour aider le public à suivre les événements de l'histoire. Les voix appartiennent aux enfants de Médée qui reviennent tous

du retour aux origines. "il faut retourner" "la morale est antinaturelle" -> Le discours et le langage de Jean porte en lui les signes de sa métamorphose II La métamorphose a) une transformation progressive. b) un motif grotesque et monstrueux. c) une réflexion sur le totalitarisme. Liste non complète de procédés stylistiques ou d’arguments remarquables dans l’extrait. Retrouvez-les et interprétez-les dans votre commentaire : Didascalie, registres, types de comique, déconstruction

La métamorphose, de Franz Kafka, est une nouvelle énigmatique. En effet, c’est l’histoire d’un homme qui en se réveillant d’un mauvais rêve, est soudainement transformé en monstrueux insecte. Face à cette œuvre, Kafka nous fait comprendre que des changements physiques peuvent transformer la vie de quelqu’un et de ses proches de façon considérable. La métamorphose principale décrite dans cette nouvelle n'est pas tant celle de Gregor. Sa transformation en insecte est réalisée dès la première phrase

et le comparer a son maris Thésée (vers 8-9 "il y avait dans ses bras des muscles vigoureux" vers 10-11 "il avait le visage de ta cher Phéobé [...] c'était le tien, plutot"). Mais pour Phédre cette amour semble possible. Pour elle cette amour et monstrueux (vers 53 "odieux amour"), elle veut a tout prix qu'Hippolyte reste à ses coté pour toute la vie et va dans le vers 30 "Moi-meme" et "je" enfermer le "vous" comme si Phèdre voulait enfermer Hippolyte on peut donc dire qu'elle crée un moment d'intimiter

Question sur corpus Le corpus présenté est composé de deux extraits : un de La Belle et la Bête de J.-M Leprince de Beaumont datant de 1757 et un des Essais nommé « au sujet d'un enfant monstrueux » écrit par Montaigne en 1595. Ces deux textes évoquent par deux genres bien distincts, respectivement le conte merveilleux et l'essai, la vision du monstre et de l'Homme. Ainsi il sera intéressant de se demander comment les deux auteurs nous font réfléchir sur l'être humain. En premier lieu, Montaigne