Montaigne Etre L Autre

pédagogiques et a pour but d'apporter un complément d'information aux participants à l'Atelier "Audit d'un pacte d'actionnaires" qui s'est tenu le 7 juillet 2009 dans le Cadre de Campus. Il n'a pas le degré de finition qui pourrait être celui d'un travail appelé à être publié. PLAN INTRODUCTION I. Les investigations préliminaires A. Le pourquoi des pactes - La recherche des buts B. Les alternatives au pacte – Pourquoi n’est-on pas passé

Peut-on juger qu’une culture est supérieure à une autre ? Bob Connolly, Robin Anderson, First Contact, (1983) 11/03/15 Peut-on juger qu’une culture est supérieure à une autre ? Analyse : • peut-on : équivoque - on le peut : on le fait (possibilité, de fait) … -Mais est-ce que c’est « permis » (moralement) ? • supérieur : de quel point de vue ? - en général ? - sous tel ou tel aspect? • une culture : -l’ensemble des habitudes d’une société, donc l’identité propre à cette société ? antiracisme

nous éloigner comme nous rapprocher. Etre totalement étranger signifie qu’aucune de nos propres caractéristiques ne peuvent nous permettre de se rapprocher ou comparer avec autrui. Sachant qu’un homme a des points communs et des différences avec nous peut-il nous être totalement étranger ? C’est ce que nous allons voir en étudiant dans un premier temps, ce qui nous éloigne en montrant qu’on ne connaît jamais parfaitement l’autre et qu’être différent signifie être étranger, puis dans un second temps

Objet d’étude 2 : la littérature d’idées, du XVIème au XVIIIème siècle.(Pourquoi cet intitulé ? Car… **XVIème siècle : invention du genre de l’essai par Montaigne, Les Essais (dès 1572, 1ère édition en 1580). **XVIIème siècle : abondante littérature d’idée : argumentation directe (pensées (Pascal), maximes (La Rochefoucauld), caractères (La Bruyère)…), satire (Boileau) ; argumentation indirecte, par le détour de la fiction

sujet donné il y aura une diversité d’opinion. Donner son opinion c’est se prononcer sur le terrain de la vérité en portant un jugement. L’opinion est souvent un avis sur lequel nous somme d’accord c’est dire «  Moi je pense que…  » , mais peut-être également un avis de désaccord dans l’avis de quelqu’un d’autre «  Je ne suis pas d’accord avec des opinions » L’opinion participe au besoin de se faire valoir autant que du besoin de dire quelque chose et de donner son avis. En effet dire ce que

Il y eut à cette époque plusieurs contestataires de cette pratique, le Pape Paul III dans ses bulles pontificales condamnent l'esclavage des peuples indigènes et « toute mise en doute de la pleine humanité de ceux-ci » et « tout peuple qui pourrait être découvert dans l'avenir ». Il y eut ensuite la Controverse de Valladolid de 1550 à 1551 qui opposait le dominicain Bartholomé de las Casas et le théologien Juan Ginés de Sepulvéda. Les deux penseurs ont alors débattu pendant des mois en partie au

Lorenzo est ainsi trop heureux de jouer son rôle de noble dénaturé. On peut donc dire ici que le Moi de Lorenzo est vu de différentes manières, que ce soit des yeux du duc, du cardinal ou de Valori et que son évanouissement se marque par la fuite. Montaigne, de son côté, dans « du repentir » de ses Essais, il se laisse une grande place dans son écriture. En effet, durant tout le texte le pronom « je » est utilisé ainsi que « moi », lesquels montrent bien l'appartenance de ce texte et de cette réflexion

Thomas More, l'Utopie (2 textes) – Pierre Ronsard, Odes – Joachim Du Bellay, les regrets - Tibulle, Elégies – Boccace, Le Décaméron (très en accord avec le fait de vivre joyeux) – Montaigne, Les essais (pas en accord) HUMANISME: ANTI-THESE CULTURE Soif de connaissance (passion du travail intellectuel) C1 Montaigne, Les Essais UTOPIE, pas compatible C2 Thomas More, Utopie (à force d'imaginer un monde idéal, et PARFAIT, ce n'est plus honnête!! donc c'est n'est pas compatible avec CARPE DIEM

d’amener l’auteur à créer, soit en approfondissant le point de vue de l’auteur imité, soit au contraire en s’appuyant sur l’auteur pour monter une thèse contraire. La citation utilise le texte d’un autre auteur pour appuyer ses propos. Ainsi, dans une argumentation, elle fait appel à la renommée d’un autre auteur en utilisant l’argument d’autorité. Elle n’empêche en rien l’auteur de créer, dans le sens où elle sert uniquement de tremplin de la première argumentation, celle du texte-source, vers la

donc aussi mon esprit critique à la culture à laquelle j’appartiens. Mais surtout comment pourrais-je juger de manière objective, cette objectivité requérant une distance impossible entre le sujet que je suis et l’objet que ne peut jamais vraiment être ma culture. Aussi ne paraît-il pas impossible, que ce soit pour la décrire objectivement ou pour en déterminer la valeur de juger de sa propre culture ? Mais dans ce cas, cela revient-il à dire que nous sommes enfermées définitivement entre les murs