Montaigne Les Monstres

infernale pour n’en garder qu’une image de perfection. La plante y est liée à 20. Ludwig TIECK (1773-1853), Le Runenberg, dans Romantiques allemands, Paris, La Pléiade, I, p. 648. 21. E. T. A. HOFMANN (1776-1822), Petit Zacharie, Paris, Aubier Montaigne. 22. ARNIM (1781-1831), Isabelle d’Egypte, traduction René Guignard, Paris, Folio Gallimard, p. 38. 23. Charles NODIER (1780-1844), La Fée aux Miettes, 1832, rééd. Paris, Garnier Flammarion. 24. Théophile GAUTHIER (1811-1872), Le Club des Hachichins

du PèreLachaise, un parcours initiatique mène Rastignac d’une mort symbolique 7 (les enfers parisiens, la rue de la pension Vauquer qui semble mener aux catacombes) à une seconde naissance sur la tombe du père Goriot. Un « enfer » et un « monstre » Rastignac saura tirer son épingle du jeu parce qu’il comprend la réalité de la vie parisienne : « Le monde est un bourbier, tâchons de rester sur les hauteurs. » Les milieux évoqués dans Le Père Goriot s’organisent clairement selon les cercles

...........37 De l’émulation à la rivalité : Benserade et Mairet................................................38 Cléopâtre, un gage d’immortalité..........................................................................42 LA MÉTAMORPHOSE DU MONSTRE : VERS UNE DRAMATURGIE DE L’ÉLOGE.............................44 Les tragédies françaises de Cléopâtre aux XVIe et XVIIe siècles...........................45 La machine tragique : métamorphoses du héros..........................................

1 Sujet Dans son roman intitulé Les Faux-Monnayeurs (1925), André Gide fait dire à l’un des personnages : « Plutôt que de répéter sans cesse à l’enfant que le feu brûle, consentons à le laisser un peu se brûler : l’expérience instruit plus sûrement que le conseil ». Dans quelle mesure cette assertion correspond-elle aux analyses menées dans les œuvres inscrites cette année à votre programme ? -L’analyse de notre citation : -Notre citation repose sur une alternative offerte aux parents. Deux

............................................................................50 Cervantès - Don Quichotte..........................................................................................................................................52 Montaigne - Les Essais ................................................................................................................................................53 Shakespeare..........................................................................

PHYLOSOPHIE La peur de la mort " La peur de la mort qui est naturelle à tous les hommes, même aux plus malheureux, et fût-ce au plus sage, n'est pas un frémissement d'horreur devant le fait de périr, mais comme le dit justement Montaigne, devant la pensée d'avoir péri (d'être mort); cette pensée, le candidat au suicide s'imagine l'avoir encore après la mort, puisque le cadavre qui n'est plus lui, il le pense comme soi même plongé dans l'obscurité de la tombe ou n'importe où ailleurs. L'illusion

philosophies voient le jour au 17ème, 18ème siècle avec quelques exceptions en amont et en aval. C'est la lutte contre les pouvoirs absolus. Ce sont les fondements de la liberté politique qui apparaissent. Le philosophe grec Aristote (-350), l'ami de Montaigne Etienne de la Boétie (1550), le philosophe anglais Locke (1650), le fondateur français de la sociologie des régimes politiques Montesquieu (1740), le génie politique Rousseau (1750), l'observateur français de la jeune démocratie des états unis Tocqueville

Extrait 3 C’est comme un piège. Je ne plaisante pas. Les mariages se préparent maintenant comme des pièges. Que devrait-il y avoir de plus naturel ? La jeune fille est nubile, il faut la marier. Quoi de plus simple, si la jeune personne n’est pas un monstre et s’il se trouve des hommes qui désirent se marier. Cela se passait ainsi dans le vieux temps. Quand la jeune fille arrivait à l’âge de se marier, les parents arrangeaient le mariage. Cela se faisait, cela se fait encore dans toute l’humanité : chez

le Tendre (162), les allusions à Honoré d'Urfé (190, l'eau fade du Lignon). Dans le film de Rappeneau, on voit un salon précieux. Il fallait savoir parler pour conquérir le coeur de Roxane qui, comme bien de ces femmes, avait avant tout ce que Montaigne appelait «la superstition des paroles». Elles s'offusquaient du langage un peu vert adopté par les hommes, même à la cour, sous le règne d’Henri IV, imposaient leurs décrets auxquels il fallait se soumettre, sous peine de passer pour un «pied plat»

dont la voix immortelle retentit a travers les e ` si`cles ? o gloire des po`tes ! la mienne est d’avoir connu vos oeuvres ; je les e ˆ e consacrai dans mon coeur, et c’est de vous que j’appris a former des chants ` dignes de m´moire. Mais voyez ce monstre qui me poursuit, et tendez-moi la e main, illustre et sage ; car je chancelle d’´pouvante, ma chaleur m’abandonne. e - Prends donc une autre route, me dit-il en voyant me larmes, si tu veux fuir ce lieu fatal car la louve qui t’´pouvante garde ´ternellement