Montesquieu Lettres Persanes Lettres 29

La société décrite dans l’extrait Les aventures de Télémaque, de Fénelon, nous propose un cadre idyllique et un régime politique qui semble idéal pour ceux qui y habitent. Le texte suivant n’est pas moins utopique que le premier : Montesquieu, dans les Lettres persanes, décrit un peuple imaginaire vivant dans l’harmonie et le bonheur. Voltaire, dans l’extrait de Candide, propose aussi un mode de vie idéal, en autarcie, où le travail harmonise les esprits. Il s’agit donc de trois utopies présentant

idées, pendant la Révolution française notamment. 15-Montesquieu : Né dans une famille appartenant à la noblesse de robe, le jeune homme entreprit des études de droit, puis devint conseiller du parlement de Bordeaux (1714.). L'année suivante, il épousa Jeanne de Lartigue, une jeune fille issue d'une famille bourgeoise récemment anoblie. En 1716, à la mort de son oncle, Montesquieu devint président du parlement et de la baronnie des Montesquieu. C'est au cours des années qui suivirent qu'il commença

Lettres Persanes , de Montesquieu. Introduction : On a ce regard étranger, regard de la surprise, étonnement. Deux étrangers qui se focalisent sur ce qui est extérieur. Le narrateur, Rica insiste sur le ridicule des hommes et des femmes. D’un sujet superficielle on a une satire de la société. On a un texte qui sous des aspects humoristiques tant a une critique de fond. C’est l’idée que leurs soumissions trop facile à la mode reflète leurs soumissions

crime par la pensée » (l.14-15). Quant aux Lettres Persanes de Montesquieu, elles amènent à réfléchir sur les comportements humains des français du XVIIème siècle. La lettre 99 montre la futilité de la mode qui « changent de mœurs selon l'âge de leur roi » (l.26). Toutes les femmes se ressemblent et suivent la mode, qui apparaît comme une sorte d'uniforme. Montesquieu écrit que « l'âme du souverain est un moule qui donne la forme à toutes les autres » (l.28-29). Cependant, on pourrait se demander si

en 1083 et morte en 1113. C'est une princesse byzantine aussi connue pour sa qualité d'écrivain. Elle la fille de l'empereur byzantin Alexis I Comnène. Elle bénéficie d'un enseignement soigné en philosophie et développe ainsi son amour pour les lettres. Elle anime d'ailleurs un cercle d’intellectuelle a Constantinople. Elle écrit dans un style très pure proche de celui de antiquité classique. Cette formation intellectuelle est exceptionnelle pour une femme à cette époque. Elle est notament connue

leurs reproche leurs idées dans le domaine religieux. Référence à la philosophie de voltaire et le Déisme. Les autorités craignent de perdre leur influence sur les fidèles + remise en cause de Mohamet et la Mecque (l.30) adverbe « scandaleusement » (l.29) la religion est choquée par les philosophes, ils refusent la théorie du Déisme. * Art.6 = qst de maladie Les autorités pensent que les progrès de la science pourraient remettre en cause la volonté de dieu (l.34) l.33 hyperbole «  attentat

certains auteurs d'annoncer l'esprit philosophique. De 1715 à 1723 c'est Philippe d'Orleans qui est à la tête du royaume, les valeurs de l'ancien roi deviennent alors moins importantes. La critique se pratique sous toutes ses formes. Montesquieu publie ses lettres Persanes en 1721.Les philosophes:les philosophes sont un groupe d'intellectuels du XVII eme siècle qui ont pour visé d'améliorer le monde afin que la société vive dans de meilleures conditions. Ils sont porteur chacun de certaines valeurs

absolue de droits divins en prétendant être objectif, mais finalement, il émet son opinion. Il donne sa propre définition de l’autorité. L'article Autorité Politique va assurer la transition entre L'Esprit des lois (1748), œuvre majeure de Montesquieu {  revolutionnaire et avantgardiste pour l’époque, il défend une théorie nouvelles des lois, selon laquelle les lois ne devaient plus etre utiliser comme des commandements mais ajustables selon les différentes cultures ( religion ou traditions

fait d’eux de mauvais personnages. Mais cette vision négative des chrétiens est en total contraste avec celle que Voltaire donne au mandarin. La répétition du verbe « demander » (l. 4, 9) fait de lui un homme curieux, comme il est défini à la ligne 29. Puis, la formule de politesse : « je vous demande pardon » (l. 20) et la façon qu’il a d’amener les choses : « leur fit sentir, avec toute la discrétion possible » (l. 8) le caractérise comme une personne de très polie. Ensuite il ne donne aucun ordre

modèle dans l'Europe entière, c'est comprendre le formidable souffle qui a conduit tout un peuple à la Révolution. Ce siècle a connu les plus grands hommes, les plus grands penseurs, encore très présents aujourd'hui : Voltaire, Rousseau, Diderot, Montesquieu, Beaumarchais, Marivaux, et tant d'autres!   La métamorphose a été longue et nous prendrons les limites suivantes : 1715, mort de Louis XIV et 18 brumaire, coup d'Etat de Napolélon.    Ce courant n'est pas uniquement un courant littéraire :