Morale De Frankenstein

The Strange Case of Dr Jekyll and Mr. Hyde R.L. STEVENSON 1886 Published in 1886, R.L Stevenson’s The Strange Case of Dr Jekyll and Mr. Hyde is, along with Frankenstein and Dracula, one of the best-known stories of 19th-century British fiction. It is often remembered, by those who have read it or seen one of the numerous filmic adaptations of the novella, as the sensational dramatization of the conflict between good and evil within man. As you know, the names of the ‘two’ protagonists are also

II/ Analyse d'un Personnage I/ Qui est-il ? a/ Son nom est Victor Frankenstein, il est scientifique. b/ Il fut élevé en Suisse, il deux frères et une fille recueillie par sa famille qu'il considère comme sa sœur. Sa mère est morte de la scarlatine. A 17 ans, il pars pour étudier à l'université d'Ingolstadt, quelques temps après il perce par hasard le secret de la vie et crée un être de forme humaine et lui donne vie grâce à la science. Il le chassera par la suite horrifié de la laideur

Introduction : Le Monstre possède une place importante tant dans la littérature que dans le cinéma. Des définitions du monstre préconisent que le monstre possède des caractéristiques (morale et physique) qui se différencient des normes de sa société. Il s’agit de savoir quel sont les enjeux assurent les personnages du monstre. En littérature comme à l'écran, l'apparition du monstre est toujours impressionnante et lourde de sens. Pour un auteur ou un réalisateur, quels peuvent être les enjeux

l’animal celle-ci est instantanée. L’homme est donc un être qui progresse sans cesse, qui innove toujours à partir de ce qu’il reçoit des autres : l’espèce humaine est vouée au progrès. B) Une puissance incontrôlable ? Icare, Prométhée ou Frankenstein, autant de mythes qui soulignent la puissance incontrôlable et destructrice de la technique. Ainsi la thèse centrale de Heidegger c’est que le monde moderne se caractérise par la disparition de toute forme de réflexion sur les fins au profit

ne peut susciter de la sympathie et se retrouve seul, désigné comme l’ennemi. Dans chaque document littéraire cité en introduction les monstres ne font pas partis d’un groupe social et n’ont pas de dialogue avec les autres. Le monstre du docteur Frankenstein rêve d’amour et de bonheur mais le mépris des autres le réduit à être réellement ce que l’on voit de lui, il cite à plusieurs reprise sa solitude. Ils sont exhibés pour que l’on se moque d’eux. Elephant Man est dissimulé derrière une cagoule, il

nouvelles perspectives maléfiques s’ouvrent alors au lecteur. Car qu’est ce qu’être méchant ? Commettre, ou même juste penser à des actes immorales ; mais l’on peut se demander si la morale est une notion partagée par tous. C’est ce dont se sont débarrassé les libertins, au XVIIe siècle : plus de morale religieuse, plus de morale sociale, ils sont libres de tout penser, de tout commettre, infidélités comme manipulations. Difficile de ne pas tomber sous le charme de cette liberté apparente du Vicomte de

fantastique est exclusivement une confrontation morale entre le personnage principal et un événement en apparence surnaturel ? I) La citation de Todorov peut convenir pour une certaine partie du genre fantastique : 1) Le fantastique « type » : Dans le fantastique « type », le narrateur se retrouve en face d'un événement, d'une créature fantastique. On peut citer par exemple Frankenstein, de Mary Shelley, met en scène un Docteur (le Dr Frankenstein) qui va tenter de recréer la vie à partir de

recréer donc. But semblable à celui des alchimistes (auxquels fait penser le peintre de cette histoire), qu’on n’atteint que grâce à quelque magie : le tableau, miraculeusement bien peint, exerce un charme étonnant. But semblable à celui de Frankenstein, nous y reviendrons. ● La jeune femme et la peinture sont rivales : le peintre [a] déjà trouvé une épouse dans son Art, la jeune femme ne [hait] que l’Art qui [est] son rival. Et la peinture, pour prendre vie, prend la vie de la jeune femme

Nous verrons dans un premier temps que la technique a été le moyen pour l’homme de se libérer de la nature : l’homme se définit, par opposition aux animaux, par son activité fabricatrice (homo faber). Ensuite, nous verrons que la technique, comme Frankenstein, finit par se retourner contre son créateur et que nous en sommes devenus esclaves. Enfin, nous nous demanderons si finalement la question n’est pas mal posée : ce n’est pas la technique qui est libératrice (ou pas) mais plutôt l’utilisation que

temps que le scientifique se sente sous se prétexte autorisé à faire n'importe qu'elle recherche au mépris des conséquences morales (Cf. Frankenstein ou la figure du savant fou) . 6/ Références possibles : Aristote : Les premières pages de La métaphysique Ethique à Nicomaque Livre 6 Descartes : Discours de la méthode, 6ème partie Mary Shelley : Frankenstein Bachelard : La formation de l'esprit scientifique