Morale Explicite Cour Du Lion

CORRIGE TEXTE A. Jean de La Fontaine, « Les obsèques de la Lionne », Fables, VIII, 14, 1678. TEXTE B. Emile Zola, Germinal, IV, 1, 1885. TEXTE C. Alfred Jarry, Ubu roi, acte III, scène 2, 1896. ÉCRITURE I. Après avoir lu les textes du corpus, vous répondrez à la question suivante. Question (4 points) Dans ces trois textes, que veulent dénoncer les auteurs ? Quel registre essentiel chacun de ces textes mobilise-t-il au service de cette visée ? NB. Rappel 2de : les registres

d'opéra. Les Fables de La Fontaine regroupent douze livres. « Le Lion et le Moucheron » constitue une fable du livre II, cette fable raconte le mépris du lion pour le moucheron, ainsi le moucheron lui déclare ma guerre. Dans un premier temps nous verrons que cette fable fait le récit d'un combat, puis nous développerons l'idée de la peinture des caractères, dans une troisième partie nous verrons le fait qu'il y ait une double morale. Tout d'abord, nous allons voir en quoi ce récit est une parodié

au Moyen Age peut signaler que la monarchie fonctionne sur un système d’un autre âge. Le caractère archaïque qui est retrouvée à la référence de Caligula (vers 27) . A partir du vers 8 et jusqu’au vers 11 la fontaine décrit de manière explicite le faste de la cour de la vie a Versailles avec les banquets , fête , spectacle .. Les enjambement qui lie les vers contribue à donner l’impression d’un plaisir incessant qui contribue à couper l’aristocratie d’un monde réel. Le vers 13 avec l’alexandrin prolongé

de la mode des salons littéraire du 17ème siècle c'est ainsi que c'est fables on d'abord eu dus succès à la cour notamment le salon de Mme Delasblière . Repérez les différentes parties de la fable et donnez-leur un titre. Cette faible est construite d'une seule traite avec une alternace d'octosyllabe et d'alexandrins. La morale n'est pas séparée du texte. Cependant on peut délimiter 4 parties thématiques : La première va du vers

il s'inspire d'ailleurs de certains auteurs de l'Antiquité comme Esope dans Les Fables qu'il publie en 1668, dans lesquelles il critique le Roi et sa Cour de façon implicite. Elles sont rédigées en vers et mettent principalement en scène des animaux qui représentent des personnalités présentes à la cour. Le Roi par exemple est représenté par le Lion. II Présentation des auteurs dont il s'est inspiré La Fontaine s'est inspiré principalement d'Esope, mais aussi de Phèdre, Abstémius, ou encore

défendre une cause ? »  .pour cela, nous verrons dans une première partie que les textes littéraires défende une cause avec puissance de manière explicite puis ensuite, nous verrons les causes défendues de manière implicite. AXE 1 : 1-1 :litt. Engagée. Dans notre première partie nous allons voir comment une cause peut-être défendu de manière explicite. Un écrivain pour défendre une cause, peut choisir la parole, ou l’attaque frontales. L’écrivain dénonce, critique et propose une réflexion sur

proposant une morale. Pourtant, selon Rousseau les fables de la Fontaine ne font que pervertir l'esprit pur des enfants et il ne reconnait donc aucune attirance éducative dans ces fables. On peut désormais s'interroger, si les fables de la Fontaine on une valeur et attirance pédagogique pour les enfants. A cette fin, il conviendra en premier lieu d'étudier en quoi les morales poussent au vice, puis en quoi elles les poussent à la vertu des fables. II. Vertu II.I Valeur instructive des morales Les fables

livre connait un immense succès. Alors dédié au Dauphin ce livre a un double but qui suit la morale du 17ème siècle : « Placere docere », soit plaire et instruire. Pour ce qu’il s’agit de plaire, La Fontaine nous présente de courtes historiettes amusante pour la pluparts où l’on retrouve comme protagonistes des animaux. Quand à instruire, chaque texte est accompagné d’une morale implicite au texte ou explicite. Mais Pierre Clarac nous explique dans sa préface aux fables que le contenu de celles-ci doit

En 1695, Charles Perrault défendit dans sa préface des Contes en Vers les valeurs de l'apologue, plus précisément des fables et des contes. Il affirma notamment que «Ces bagatelles n'étaient pas de pures bagatelles, qu'elle renfermaient une morale utile et que le récit enjoué[…]instruisît et divertît tout ensemble ». Comment les auteurs d'apologues font-ils pour mêler enseignement et plaisir à la lecteur dans leurs récits ? Nous verrons dans un premier en temps la manière d'enjouer le récit qu'utilisent

Texte 1 : Jacques le Fataliste et son maître(1796), histoire de Mme de La Pommeraye et du chevalier des Arcis Introduction  : Denis Diderot (1713/1784) auteur du siècle des Lumières. C’est un philosophe : un des directeurs de l’Encyclopédie (1751/1772). Il est aussi auteur de pièces de théâtre. Il invente un nouveau genre, le « drame bourgeois ». Il était aussi critique d’art : Salons. Enfin il a écrit des romans parus après sa mort : Le neveu de Rameau et Jacques