Morale Implicite

Effectivement beaucoup de morales sont discutables et peuvent appeler au vice si l’on s’identifie aux protagonistes comme dans Le lion et le moucheron. Une morale implicite associée à une langue difficile peut ne pas être adaptées aux enfants : il ne comprend pas et s’il comprend il risque d’en faire un mauvais usage. On peut penser également que les fables sont à comprendre au second degré. Une valeur philosophique et psychologique aussi compliquée qu’une morale implicite est bien trop difficile

immédiat, il a redonné à la fable un essor nouveau par sa fantaisie et son originalité. Dans sa 2ème fable du recueil 8, un sujet important est évoqué : celui de l'argent. Cela définit en effet la place dans la société et le bonheur de beaucoup. La morale est ici non explicite et l'argumentation est donc indirecte. L'argumentation s'effectue ingénieusement par le dialogue de 2personnages opposés. La structure du récit est en 2 parties pour mieux convaincre.  Problématique : Comment utiliser le récit

une petite pièce. Cet homme,ermite, explique qu’il vit dans la forêt et prie. Don juan se moque de ses pratiques : il lui promet un louis d’or, s’il blasphème. Le pauvre refuse. -En quoi don juan transgresse t-il les valeurs morales et religieuses ? I/ Un aspect moral Don juan se joue de la pauvreté de cet homme «  ton avis est intéressé à ce que je vois » Il joue de sa supériorité d’aristocrate , jeu cruel ,cruauté du à son propre égoïsme, il ne voit que son propre plaisir. Il v a

dans son texte Emile ou de l’éducation parut en 1762, les fables sont pour la plupart inabordables pour des enfants car la morale que l’auteur cherche à donner est souvent implicite. L’enfant, qui n’est pas au sommet de ces capacités intellectuels, n’est pas capable de comprendre la leçon que l’on essaye de lui donner. Ainsi dans la Vive de Anouilh, la morale est soit très implicite, soit inexistante, mais un enfant ne sera jamais capable de comprendre quelque chose à ce texte, notamment avec les nombreuses

d’une courte fable d’Esope dont la morale est explicite : « ceux qui ne résistent pas aux circonstances et aux puissants tiennent mieux que ceux qui luttent avec l’effort ». * Ici, La Fontaine montre comment il pratiquait l’imitation des anciens. (personnification du chêne et du Roseau, en entremêlant récit, description et dialogue) il crée une impression de naturel, caractéristique du classicisme. Par quels procédés le fabuliste fait-il passer son message moral ? Quelles sont les valeurs défendues

1er vers : morale explicite sous la forme d’une maxime au présent de vérité générale avec injonction "il ne faut". (Attention! une morale explicite peut en masquer d’autres à dégager de l’ensemble du texte.)Elle annonce le préjugé négatif lié à son apparence dont souffre le personnage éponyme de la part du sénat romain. Au début de la fable : mise en place d’une conversation du fabuliste avec son lecteur, création d’une complicité, d’une connivence par le rappel du traitement du même sujet dans

chose d'acceptable. Le problème sous-jacent à ce sujet est donc la justification du droit. On retrouve ici le couple de repère légitime/légal. - La réflexion portera alors sur les références éventuelles vers lesquelles le droit pourrait se tourner : morale, coutume, Nature etc. Il conviendra d'entrevoir le rapport entre droit et justice. Problématique. Le droit se justifie-t-il lui-même ou peut-il exister un droit inique (au sens large c'est à dire d'injuste, d'arbitraire, d'illégitime) un droit inacceptable

l’habitude de distinguer entre argumentation directe (explicite) ou indirecte (implicite) et de rattacher les genres à l’un ou l’autre type d’argumentation. L’apologue (du grec apologos, « récit ») est un court récit en prose ou en vers, dont on tire une instruction morale, c’est donc au sens strict un synonyme de « fable ». Mais plus généralement, il désigne un récit pédagogique à des fins morales, parfois aussi politiques ou religieuses. Le récit peut être lu au premier degré

que ce récit est également un texte instructif, avec une construction particulière. Jean de La Fontaine a écrit sa fable en deux grandes parties : la première partie concerne le récit et la seconde l’enseignement qui à un titre sans que se soit une moral explicite. Ensuite nous allons découvrir le fabuliste entre ironie et compassion. On observe dès le début du texte le verbe « prétendre » V3, il est utiliser pour installer le doute dans l’esprit du lecteur. Il laisse sous-entendre que Perrette n’arrivera

d’intolérance. - La réflexion sur la vie, la rencontre entre la conscience, la raison et le monde : L’imaginaire permet une réflexion sur l’homme, les aspects de la condition humaine. Les concepts abordés relèvent d’une réflexion philosophique. - La morale, comme dans l’apologue : Les récits aboutissent à une leçon d’humilité envers Dieu ou l’univers et à l'acceptation de sa propre condition. Elle montre le danger de tout fanatisme ou tout abus de pouvoir. 2. L'univers du conte philosophique • Qui