Morale Implicite

plus, la morale de vie qui se dégage des fables selon Rousseau est une morale de méfiance pour commencer : « il faut se méfier et du Loup et du Renard et du Lion, parfois même de ses proches et de ses amis ». Aussi, La Fontaine propose une morale souvent frileuse, celle du bon sens mais épargné d'héroïsme, de générosité. Est-ce un modèle à donner à des enfants ? Même si, souvent, la «morale» est positive, elle engage à l'action et elle permet de faire réfléchir, lorsqu'elle est implicite ,ce qui

ainsi qu’une ou plusieurs morales implicites ou explicites. « Le philosophe Scythe » fable du recueil Fables (livre XII) de La Fontaine, écrite en 1678-1679, relate la rencontre de deux personnages, un philosophe scythe et un sage grec aux visions différentes voire opposées sur l’idéal et le sens de la vie. Le récit d’une rencontre entre deux personnages qui nous livrent une réflexion contraire sur la vie et le bonheur, nous est présenté et cet apologue est clôt par une morale explicite. La Fontaine

Pour accentuer cette domination, il va éviter le sujet du collier en faisant de l'antiphrase, '-Peu de choses' (l.33). Cependant dans ce retournement de situation on peut remarquer qu'il y a une domination morale, mais pas physique. Il n'y a pas de critique physique des personnages, mais morale, 'tendresse' (l.30), 'félicité'(l.31). Ce sont des adjectifs qui montre que le Loup est plus fort que le chien moralement, il se respecte lui-même en montrant qu'il est prêt a rejeter la société pour être libre

l'idée d'une incapacité de l'homme à assumer la réalité. De même qu'on se tient à une décision qu'on aurait prise ou à un principe moral qu'on s'efforce d'appliquer, il faudrait trouver en nous la vigueur nécessaire pour nous ancrer dans le présent. Cela ne va pas sans effort. Cela demande du courage. Nous retrouvons là, d'une certaine manière, le principe de la morale épicurienne et l'idée du carpe diem (« cueille le jour », « profite de l'instant présent »). En effet, contrairement à ce qu'on imagine

humanité. Son seul interet et de retrouver Cunégonde. Satire du philosophe: lache, indifférent, sans conpassion, n'agit pas, passif. Excipit Consultent un sage religieux en Turquie. 2mals: les evenements horribles qui leur arrive, et l'ennuie. Morale politique et religieuse --> n'offrent pas de solution. L.53: enchainement d'hypothèses, mais les démonstration ne servent à rien car les faits ont déja eu lieu. => le philosophe optimiste dispense des messages qu'il n'applique pas a lui meme. "Car"

comme chez Bérenger, le refus du conformisme. * Didascalies : « même jeu » indications scéniques sur les gestes, les mouvements, le ton * Modalité de la phrase : nombreuses phrases exclamatives+ interrogations (questions) rhétoriques : « La morale ! » ; « La nature ? » → Tonalité polémique + contradiction entre les deux personnages * Personnages se coupent la parole : lignes 19-20 →Témoigne de l’esprit de confrontation entre les deux personnages qui opposent leur points de vue sur la question

sauvage » cf lecture documentaire. L' implicite de la question = sa cruauté n'est qu'accidentelle, c'est la société qui l'a rendu mauvais cf Rousseau) AXE 1 : La cruauté apparente de Ziméo ( Z= bourreau) champ lex du sang qui coule ( sens 1er de cruel ) des actes de férocité , d'où la métaphore du fauve sanguinaire «tigre, léopard». Le «affreux besoin» de sang renvoie au cliché du nègre cannibale très fréquent à l'époque. Sa violence est aussi morale car il a la haine . AXE 2 : la

retournement de situation. Personnage radicalement différent des autres. * Accélération de l’action qui mène au dénouement avec l’apparition du loup et de son jugement très expéditif. Puis sorte de conclusion qui marque le dernier acte avant la morale. * La morale, à part, bien distincte. II. Une mise en scène qui rend la fable convaincante 1. Ambivalence du Roi * Il utilise une stratégie double. Il cherche à convaincre de façon logique (appel à la raison). Discours quasi religieux

vient l’élément perturbateur, qui est la rencontre entre eux deux qui emmènera à un dialogue puis à une entente. Et enfin la situation finale qui est ici ni plus ni moins qu’une morale. En effet toute fable se termine par une morale, ce qui est aussi le cas dans la situation présente, dans les trois dernier vers. Ici, cette morale laisse entendre que l’union fait la force. C’est-à-dire qu’en se rassemblant, la Vérité et la Fable seront acceptées partout où elles se rendront. D’ailleurs, on pourra aussi

balbutiements jusqu'à notre époque et comment elle procure le statut de "dieux" à l'Homme. Dans un second temps nous nous interrogeons sur ce qui fait d'un homme un Homme et nous conclurons par ce qui est nécessaire pour concilier la science et la morale. L'Histoire de la Science est intimement liée à celle de l'Homme. La science est intrinsèque à l'Homme. Dans le roman Ravage de Barjavel, une fois que la société futuriste s'est écroulée, François, le héros, décide de rebâtir une société sans technologie