Morphème

organisation d’un lexique 1 1.1 Morphologie Le morphème Morphème = Première articulation (dans la double). Unités minimales significatives (contrairement aux phonèmes). La concaténation des morphèmes permet de construire la phrase. Définition et délimitation : constitué de phonèmes ; contrairement au mot, il existe des procédures pour l’isoler de manière stable : par commutation et étude de distribution. Commutation. — On peut isoler chacun des morphèmes en les faisant varier sur l’axe paradigmatique

On distingue ainsi dix classificateurs : - huit pour le singulier : -b-, -g-, -k-, -m-, -s-, -m- et j- deux pour le pluriel : -y- et ñA partir de ces morphèmes-classificateurs, le wolof forme deux séries d’articles réparties selon l’opposition indéfini (par préfixation du morphème a- au classificateur) versus défini (par suffixation des morphèmes spatiaux -i pour la proximité et -a pour l’éloignement). halshs-00722685, version 1 - 1.3 Les parties du discours Les noms Les noms du wolof

morphologie lexicale, on distingue la morphologie dérivationelle (ou constructionelle), qui s´intéresse à la construction des mots au moyen des affixes dérivationels et la morphophonologie, qui étudie les configurations phonologiques et prosodiques des morphèmes et des mots. On observera que dans cette répartition des tâches, il existe à l´intérieur de la morphologie lexicale un espace résiduel qui n´a pas reçu d´appelation spécifique: celui des mots composés. Leur étude ne relève en effet ni à proprement

consistance est mesuré (voir site Manulex-infra de B. Lété). Parallèlement, les modèles de traitement de l’accord supposent que les morphèmes flexionnels (de nombre, de genre sur les noms, adjectifs, verbes) sont régis par deux mécanismes : application d’une règle ou récupération d’instances. Une règle serait appliquée chaque fois que la situation le permet et un morphème spécifique serait alors ajouté à l’unité lexicale récupérée (ex du temps passé en anglais : work-ed). En revanche, ce mécanisme serait

« a » ou « à » ? Erreur couramment commise Sur un mot aussi petit que « a », il est facile d’oublier l’accent et d’écrire « rendez-vous a la brasserie » pour « rendez-vous à la brasserie ». Règle (comment ne plus commettre cette erreur) Vous pouvez remplacer ce mot par « avait » ? C’est alors une forme du verbe « avoir », et on ne met pas d’accent : Il a de l’expérience. = Il avait de l’expérience. Sinon, c’est qu’il s’agit de la préposition « à », laquelle prend toujours un accent grave. Avis

ensemble de mot qui peut être étudié selon différents points de vue. Selon Benveniste, lediscours s’oppose au récit car il implique un engagement du narrateur. Selon Saussure, le discours est une unité linguistique, au même titre que le phonème, le morphème et la phrase, mais de dimensionsupérieure. Selon Maingueneau : « Tout discours peut-être défini comme un ensemble de stratégies d’un sujet dont le produit sera une construction caractérisé par des acteurs, des objets, des propriétés,des évènements

déplacement. 23) Définir la notion de « double articulation » Première articulation : la formation des mots à partir des morphèmes puis mise en place de la syntaxe. Morphologie + syntaxe dans la linguistique. Seconde articulation : l’utilisation des phonèmes pour former la phrase. Phonologie dans la linguistique. 24) Définir la notion de morphème et donner des exemples Un morphème est la plus petite unité linguistique indécomposable qui a un sens et une forme. Ils sont à la base du lexème. 25)

p.16/?? Le morphème Plusieurs morphes peuvent partager un même sens. chevaux → chev-aux petits → petit-s mangent → mang-ent Les trois morphes aux, s et ent partagent le même signifié : le pluriel. ` On définit une entité plus abstraite, appelée morpheme, qui regroupe tous les morphes ayant un même signifié. Les différents morphes d’un même morphème sont appelés allomorphes. ` ´ Intoduction a la linguistique - Morphologie et semantique lexicale – p.17/?? Le morphème - 2 Les allomorphes

apparentes du nom : aras, « beaucoup» (kabyle) imik, « un peu» (chleuh). Mais le processus de la dénomina1isation est toujours nettement enclenché: les adverbes ne peuvent pratiquement jamais être prédicats de phrase nomina­le canonique (avec morphème de prédication d ou verbe copule eg, selon les dialectes) . On peut, dans chaque dialecte, isoler des sous-ensembles -restreints- d'ad­verbes uni-fonctionnels auxquels on peut réserver la dénomination d'« adver­bes spécifiques » ; c'est le cas, par

articulation du langage, axiome de base de la théorie d’André Martinet, signifie que les énoncés linguistiques sont articulés, c’est-à-dire construits avec des segments minimaux, et ceci sur deux plans différents. (première articulation : monèmes/morphèmes, deuxième articulation: les phonèmes). * E Emprunt: Intrégration à une langue d’un élément d’une langue étrangère. Plus précisément, en opposition à calque [...].* Espéranto: Langue internationale conventionnelle, créée par Zamenhof vers