Mort De Katow

peut plus voir son amant, David et Lucien sont séparés par leur statut dans la société. Quand à Malraux il met en scène Katow et Souen sont deux condamnés à être brûlé vif.Ensuite, les personnages tentent de trouver une manière d'échapper à leur sort dans deux extraits. Julie se questionne « […] Le temps de l'amour serait-il passé et faut-il ne plus se revoir ? »(l.8). Katow « brisa le cyanure en deux »(l.6-7) et le donna aux deux autres prisonniers afin qu'il se suicident. Contrairement aux personnages

Malraux Prix Goncourt 1933. Sans doute l’un des mieux composés, il met en scène des personnages à la fois vivants et symboliques. Plusieurs thèmes sont abordés dans cette œuvre : l’amour, le jeu, la drogue, le fond malsain des hommes, la Révolution, la mort, le sens de notre vie. Ce livre a été écrit dans un style nerveux, chaotique, et jaillissant. Structure : 7 parties numérotées, dont les première, deuxième, troisième et quatrième, sont datées. Deux grands mouvements séparés par une sorte d'intermède

croyances, ses convictions, pour ses principes. Ses révolutionnaires tentent de donner un sens à la vie en combattant contre ceux qui détruisent tout ce qu’ils ont « bâti » : ce sont les gens courageux et très motivés qui sont même prêts d’aller à la mort pour rétablir « l’équilibre rompue ». Les attitudes de ces personnages peuvent être justifiées par la motivation à la condition d’homme que tous essayent de transcender. D’une manière impressionnante, Malraux nous approche l’image des communistes

nationaliste dirigé par Chang-Kai-Shek et le parti communiste chinois préparent une insurrection contre le gouvernement. Partie I 21 Mars 1927. Tchen, partisan de l’insurrection, tue un trafiquant d’armes puis il rejoint ses compagnons, Kyo et Katow, à la boutique d’Hemmelrich. Là ils écoutent des disques, et discutent de l’insurrection prévue le lendemain. Au Black Cat, un club de Jazz, Kyo rencontre Clappique. Kyo exhorte cet occidental spécialiste en commerce d’armes à récupérer les armes

Shanghai. Idéaliste, il luttera jusqu'à la mort pour la « dignité » des travailleurs. Il aime May. * May, allemande, épouse de Kyo, médecin, représente la vie dans ce contexte de mort et donne au combat révolutionnaire sa dimension féminine. * Tchen est un disciple du Professeur Gisors, lui aussi engagé dans la lutte terroriste, lutte qui deviendra par la suite sa seule raison de vivre. Il fait une sombre et mystique révolution dans le terrorisme suicidaire. * Katow, généreux et courageux, est un ancien

rendre les armes aux nationalistes revient à les retourner contre soi-même. Paradoxe de ces hommes qui luttent pour la condition humaine et acceptent l'instrumentalisation de leur destin jusqu'à la mort. Or La Condition humaine met en exergue la solitude inéluctable de cette fin. Seuls face à la mort, les hommes sont également isolés de leur vivant, dans la mesure où l'action commune ne masque pas les divergences de motivation. Kyo Gisors est révolutionnaire par idéal, tandis que Tchen l'est par

Bovary (texte 2), est une ville de province proche de Rouen ou elle s’ennuie, et ou elle se sent prisonnière. Cette ville de province « tas de feuilles mortes…l’impassible château, avec parc, les jardins, les trois cours ». Pour décrire son univers, Flaubert emploie l’imparfait de description « La nuit tombait, des corbeilles volaient ». L’univers de Katow (texte 3) est une prison ou « les gardes masquaient la lumière » ou l’obscurité et le froid règnent. Ces univers malgré leur différence, enferment

par l’un des héros, Tchen, qui assassine un homme pour lui voler des lettres nécessaire à l’insurrection. L’insurrection c’est le mouvement, la rébellion que font ces hommes contre le gouvernement. Tchen ramène les lettres à ses complices, Kyo et Katow, ils commencent alors à organiser l’insurrection. Mais on se rend compte au fil des pages qu’en fait ce que l’auteur veut mettre en avant n’est pas le contexte politique, mais surtout les sentiments de chaque homme, leur souffrance intérieure qui les

volet de la trilogie asiatique d'André Malraux. Il y est précédé par Les Conquérants et La Voie Royale, publiés en 1928 et 1930.   La Condition humaine relate le parcours d'un groupe de jeunes gens révolutionnaires communistes (Tchen, Kyo, le Russe Katow) qui préparent un soulèvement dans la ville de Shanghai. Le récit débute le 21 mars 1927, au moment où les communistes et les nationalistes sont en préparation d'une insurrection contre le gouvernement en place. Leur devise est la suivante : « Ce n'est

soulèvement de la ville de Shanghaï. Au moment où commence le récit, le 21 mars 1927, communistes et nationalistes préparent une insurrection contre le gouvernement. Pour s'emparer de sa cargaison, Tchen poignarde un trafiquant d'armes. Kyo et Katow, soutenus par le baron Clappique, peuvent alors distribuer le fret aux combattants clandestins. L'insurrection a lieu le lendemain, et ils remportent facilement la victoire grâce à une population qui leur est alliée contre la police. D'un autre côté