Moyen d'expression

La presse Introduction: La presse fut marquée par l'invention de l'imprimerie et de la typographie. La liberté d'expression lui est accordée mais elle doit respecter les lois. Au XIXème siècle, l'économie et la politique étaient les sujets principaux des journaux. Durant la première Guerre Mondiale, la presse constitue un vecteur important de la propagande. I.De la genèse à l'age d'or: Au XIIIe siècle,les premiers écrits à la main remplacent au fur et à mesure la transmission orale des

système de valeurs en fonction duquel on se prononce. PHILOSOPHIE: jugement sans fondement rigoureux, souvent dénoncé dans la mesure où il se donne de façon abusive les apparences d'un savoir. L'interrogation sur la nature de la vérité et les moyens de l'atteindre a conduit nombre de philosophes à distinguer, entre les différents types de connaissance possibles, ceux qui conduisent effectivement à la vérité, et ceux qui en éloignent. En un premier sens, l'opinion est ainsi traditionnellement

la Déclarations des Droits de l'Homme et du Citoyen de 1789, il figure à l'article 11 que « La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’Homme […] » Ainsi, il demeure libre de s'exprimer par différents moyens tel que la télévision, internet, la presse mais aussi par la rue. Nous allons nous intéresser plus particulièrement à la « rue ». Ainsi nous verrons quelles sont les relations en le pouvoir et la rue. Pour cela nous définirons dans une première partie

France. Les droits concrétisent les libertés qui peuvent être individuelles ou collectives. certaines libertés sont très importantes : on les appelle les libertés fondamentales I) Les libertés fondamentales A) La liberté de conscience et d'expression p. 12-13 doc 1 p. 12 "La confession de Galilée" ( questions 1 et 2 p. 12 1) qu'a démontré Galilée ? comment y est-il parvenu ? 2) quelle ‘faute’ a-t-il confessée ? pourquoi ? doc 2 p. 13 "La tolérance" ( questions 1, 2 et 3 p. 13

est adulte. Les ennemis des Lumières considèrent donc que l'ordre social et la religion, qui pour eux est un élément essentiel de l'ordre établi, sont menacés si chacun vit selon son propre jugement. Ainsi ils veulent mettre fin à la liberté d'expression et de publication  font appel à la raison : lutte contre les superstitions, les préjugés et les croyances (voir le texte de Fontenelle)  proclament la foi dans le progrès B – Esprit critique et curiosité intellectuelle • Réflexion sur les

utilisent différents moyens. Certains utilise des faits vécu ou réel, d'autre invente une fiction. Alors quelle est le meilleure moyen entre le réel ou la fiction,pour l'écrivain pour faire entendre son opinion au sujet de question importante dans le monde ? Nous verrons donc dans un premier temps, les aspects qui rendent le réel convaincant puis dans une seconde partie nous aborderons les arguments qui font que la fiction est plus prenant que le réel. Le réel est un moyen de persuader le lecteur

"La liberté de parole, l’artiste et son message, Morrison Miami 1969 ou Rose Bonbon, Dali et Franco ; l’art peut-il, au nom de l’art et de la liberté d’expression, verser dans le saugrenu ou l’incompréhensible ? Musique dodécaphonique, fauves, cubisme, l’art dégénéré. Spinoza. Pas oublier que la question d’autrui ne se pose aucunement en termes antiques (zoon politikon) J’aborde le politique par la question de la liberté. Capitale à 18 ans parce que c’est justement le moment de la vie où l’on

trois ans. 4- pourquoi censurer ? Autrefois on censurait le plus souvent pour maintenir les moeurs, mais aujourd'hui on censure surtout pour protéger la vie privée d'autrui ainsi que la vie publique, et les droits de l'homme. 5- quels sont les moyens utilisés ? Aujourd'hui il existe Un nouveau dispositif de « contrôle de la pensée » a été mis en place et pase par la bibliothèque nationale. Cette structure chargée d'enregistrer un livre en lui délivrant automatiquement un numéro d' ISSBN, épluche

les opinions sont-elles tolérables ? (corrigé de dissertation, fait par I. Smadja) Voici la problématique de ce sujet (qui ne doit pas apparaître dans le devoir qu’intégrée à l’intro cf ci-dessous): D’un côté, nous savons bien que la liberté d’expression est un droit fondamental de l’être humain, qu’interdire à quelqu’un de s’exprimer, de dire son opinion, c’est en quelque sorte lui refuser le droit d’avoir un statut dans le monde, c’est quasiment lui refuser le droit d’être. Bref, nous savons

libère en nous des possibilités d'expression qui sommeillaient.   L'erreur est ici de s'en tenir à une conception qui prend le langage au mot, conception plate selon laquelle un mot est un mot, un sens est un sens. En réalité, une langue ne s'offre pas comme un automatisme préétabli, auquel il suffirait purement et simplement de se rallier. La langue n'existe que comme condition virtuelle de la parole en acte; elle doit être reprise et actualisée par l'effort d'expression grâce auquel la personne s'affirme