Multipartisme

pourquoi, comme c’est le cas en Afrique, le passage du monopartisme au pluripartisme est un des critères les plus caractéristiques de la transition démocratique. Mais il ne peut être le seul. Sans élections vraiment compétitives et sélectives le multipartisme ne fait pas perdre à l’ancien parti unique ses comportements autoritaires et son rôle de garant du continuisme présidentiel. On ne reprendra pas dans ce rapport le débat sur la notion de démocratie qui au lendemain du second conflit mondial a

la répartition des sièges, le choix du mode de scrutin correspond à une conception de la vie politique, qu’il influence forcément. Les scrutins proportionnels conduisent souvent à un dysfonctionnement du système politique ; ils favorisent le multipartisme et donnent un rôle important aux petits partis charnières, souvent partenaires indispensables des majorités (cas de la IVe République en France ou de l’Italie). Le scrutin majoritaire à un tour favorise, lui, les alternances, mais entre seulement

premières élections libres ont lieu dans de nombreux pays de l'Est, URSS comprise. • Le paysage politique est alors entièrement transformé : (Élections, multipartisme, réhabilitation de dissidents). Par exemple, en République populaire de Hongrie, le parti au pouvoir, sous l'impulsion de Myklos Nemeth, accepte le principe du multipartisme dès février 1989. En juin, Imre Nagy et les protagonistes de l'insurrection de Budapest en octobre 1956 sont réhabilités. • En République populaire de Pologne

au suffrage universel les libertés politiques sont également garanties. La liberté de régime, l’expression de presse et d’associations sans exercer de la liberté il est impossible de vérifier l’addition des citoyens qui exercent le pouvoir. Le multipartisme est reconnu par la constitution du parti politique animant ainsi la vie politique par une démocratie transparente et le plus souvent ils alternent dans la conduite de l’action gouvernementale. « C’est l’alternance » en fin le pouvoir législative

2. Les échecs de la III ème République Le pluralisme politique aurait pu apparaître comme un des avantages du régime parlementaire français mais au contraire l'excès de pluralisme politique cause de nombreux problèmes. En effet ce multipartisme compétitif se traduit par l'augmentation du nombres de groupements politiques différents que la politique de « concentration républicaine » ne peut dissoudre. Ces différents partis ont un nombre de membre élevés mais n'ont pas mis en place d'organisation

fédéral avec -- séparation des pouvoirs : Démocratie présidentielle -- élections libres : chaque Américain est citoyen de l'union, il élit président et membres du Congrès / affaires locales = gestion par les institutions de chaque état -- et multipartisme : en fait plutôt bipartisme Républicains / Démocrates 2- Comment se construit le rêve américain ? (doc. 2 p. 52 + doc. 3 p. 53) -- dimension sociale et économique Société de consommation depuis les 1920's à abondance, rôle de la voiture

avec la IIIe république A. La rationalité des institutions B. La rationalité de l’organisation des pouvoirs publics II. Une république rationnelle mais non raisonnable A. Relations entre l’exécutif et le législatif B. Le multipartisme, fondement de la constitution

réformer l’exécutif pour faire face aux différents périls qui menacent la France, comme les guerres et les crises économiques par exemple. Suite au parlementarisme à la française, caractérisé par le légicentrisme, fait que tout passe par la loi, le multipartisme et l’instabilité ministérielle, le régime de Vichy dirigé par le maréchal Pétain s’est mis en place : les pleins pouvoirs lui sont confiés et le régime républicain français est abrogé. Ainsi, la Constitution de la IVème République agit contre

contenu des lois constitutionnelles B. La crise du 16 mai 1877 C. La “Constitution Grévy” (1879) Section IV. LA TROISIEME REPUBLIQUE (1879-1940) : RECHERCHE DE L’EQUILIBRE DU PARLEMENTARISME § 1. - Le Parlement et la structuration du multipartisme A. Le multipartisme parlementaire à la recherche de majorités de gouvernement B. Les facteurs institutionnels et politiques d’instabilité ministérielle § 2. - Le Gouvernement et l’institution du Président du Conseil A. Le Gouvernement B. Le Président du

droit face au roi qui règne mais ne gouverne pas. (Belgique) → République : Le peuple détient le pouvoir et délègue celui-ci à des représentants. (France) - Les libertés culturelles et de communication des idée et des hommes sont légitimée. - Par multipartisme et le suffrage universel, le peuple délègue le pouvoir à des mandataires. - L'éducation est valorisée afin d'assurer des choix libres et responsables. - Les règles de vie en commun permettent la protection des libertés et le respect des minorités