Multipartisme

nécessité pour la France d’avoir un régime politique efficace et stable, et comment il compte en arrivé là. Pour répondre à cette question, de Gaulle explique tout d’abord que la France est en pleine instabilité politique du fait d’un multipartisme néfaste pouvant la mener à une dictature(I) puis met l’accent sur le fait que la France est dans un besoin d’institutions fortes et stables en proposant des réformes pouvant la conduire à une stabilité politique .I- Une instabilité politiqueDans

IV. LA FEDERATION DE RUSSIE + récent exemple de présidentialisme : chute URSS, « pérestroïka » (restructurat°) ss l’influence de M.Gorbatchev en 85 → plan I°nel : remise en cause du rôle dirigeant du parti communiste + instaurat° du multipartisme. C° de 1988 crée poste de chef d’Etat élu au SU qui a autorité sur cabinet des min mais dislocation du bloc de l’Est en 90 → Russie proclame sa svté. Russie = E fédéral composé de 89 « sujets » représentés chacun par 2 déléués au Ceil de la Fédérat°

famille. Les années Déby Itno sont contrastées, en fonction du camp auquel on appartient. Ses partisans mettent en avant le fait qu’il a conduit le pays sur la voie du multipartisme grâce à la Conférence nationale de 1993. Quant aux adversaires du président tchadien, tout en reconnaissant son rôle dans l’émergence du multipartisme, dénoncent une « démocratie sous contrôle », « la permanence de la violence d’État », pensent que les infrastructures construites sont en deçà de ce que le gouvernement

politiques. À la suite de l'agitation politique qui frappe une bonne partie du continent africain après la chute du Mur de Berlin, une conférence nationale pour refonder le pays est ouverte en 1990, qui débouche finalement sur le rétablissement du multipartisme. Malgré cette certaine démocratisation, la situation économique du pays n'évolue guère, tandis qu'Omar Bongo et son parti présidentiel se maintiennent au pouvoir. En 1994, l'affaire Elf éclate en France et ne tarde pas à éclabousser Omar Bongo

moins sur le fonctionnement du régime : parti Unique, Parti dominant, bipartisme et multipartisme. Le parti unique c’est le système existant dans les régimes marxistes et les régimes fascistes et certains pays du tiers monde. Le parti dominant, on trouvera ce système dans des régimes variés, il dissimule parfois un système de parti unique (la Chine), parfois il représente une phase transitoire vers le multipartisme ou le régime autoritaire. Le bipartisme. Seuls deux partis peuvent raisonnablement

années 70) et du PC. 3) Comme énoncé dans la question 1, la topologie du système des partis décrit un multipartisme avec la multiplication des partis politiques. En effet il existe une bipolarisation entre les deux grands partis gaullistes et socialistes mais celle-ci est du uniquement aux aléas de la vie politique. La bipolarisation est alors considéré comme une structuration du multipartisme, en effet depuis la Vème république, la conquête à la présidentielle a pris une place plus qu’importante

américain afin de démontrer que celui-ci serait inadapté à la France. Effectivement, ce régime est inadapté à la France pour des raisons tout d’abord politique car aux Etats-Unis il y aurait un bipartisme tandis qu’en France on a un système de multipartisme ; de plus pour des raisons historiques mais aussi géographique (le fédéralisme serait plus avantageux par rapport à leur constitution). B. La prépondérance de la Ve république Enfin, nous pouvons dire que le régime américain est bien spécifique

correspond le mieux à leurs opinions politiques. Second tour : Il reste souvent deux partis à tendance opposé. Ils sont favoriser à faire des alliances pour attirer le plus d’électeurs possible. Intérêt : contrôle des alliances. •Proportionnel = multipartisme Partis n’ont pas besoin de se regrouper car élécteurs votent pour le partis qu’il souhaite vraiment et pas juste pour une tendance politique. Plus ou moins prononcé selon le type de proportionnel. Propo au plus fort reste favorise petits partis

choix est clair, bien qu’un peu réducteur, entre deux blocs politiques nettement opposés ; bizarrement, ce sont les électeurs du centre les plus velléitaires qui provoquent le changement. La RP pousse à l’élargissement de l’offre politique et au multipartisme indiscipliné. A la suite des élections (et donc « dans le dos » des électeurs) est constituée une majorité de coalition, souvent « centriste », nécessairement instable. Les nouvelles élections, consécutives ou non à une dissolution, ne permettent

s’allier à un parti politique plus petit. (ex : Allemagne) Multi-partisme : Concurrence entre + de 2 partis, les obligeant à faire des coalitions pour accéder au pouvoir. Multipartisme intégral : Aucun parti politique n’a une position privilégiée. Conséquences : Coalitions et gouvernements instables. (ex : PB, Belgique) Multipartisme avec un parti dominant : 1parti a 30% des voix, qui est le pilier de la coalition (ex : France) Cette distinction entre bi et multi ne suffit pas : Pour certain cette