Musset De La Tragedie

quantité (parallélismes,...) | XVII ème siècle LE CLASSICISME Corneille Racine Molière | -Chercher à plaire aux lecteurs en les faisant rire ou pleurer (comédie ou tragédie) -Instruire le lecteur -Respecter les valeurs morales et de symétrie | -Utilisation de règle -Emploi de langage soutenu en tragédie -Emploi de l'art des formes d'éloquence | XVIII ème siècle LES LUMIÈRES Voltaire Rousseau | -Développer l'esprit critique (raison) -Diffuser le savoir et lutter contre

questionnement théorique, principalement lié à la vraisemblance théâtrale, l'on peut penser au récit comme à un précieux indicateur générique. Faisant peut-être apparaître des éventuelles constantes, comme le récit de la mort violente à l'acte V signalant la tragédie, la technique du récit peut fonctionner comme un discriminant générique. Ainsi peut-on envisager, dans un corpus donné, les critères de fonctionnement du récit : le personnage du narrateur, l'événement raconté, la vision relatée, le moment du récit

Stendhal Stendhal est l'émissaire d'un mouvement libéral qui préconise autant la liberté politique que littéraire. En 1824, dans le polémique Racine et Shakespeare, il défend le "romantique" Shakespeare contre le classique Racine. il est contre la tragédie classique. Il propose une définition du Romantisme qu'il appelle "Romanticisme". Cette définition met l'accent sur l'innovation absolue du Romantisme et sur la coïncidence entre un mouvement littéraire et son contexte historique. b) "Préface de

spécificité le destine à être représenté. Par conséquent le texte théâtral n'est pas seulement fait pour être lu (et donc étudié de manière scolaire). Note quand même que certains écrivains romantiques ont pu composer des pièces pour être lues (Musset avec son "théâtre dans un fauteuil" par ex.). Le théâtre est donc généralement tout autant un texte qu'une représentation (mais il y a des exceptions suivant les traditions théâtrales). Une pièce n'est pas d'abord faite pour être lue, mais pour être

Etude des lieux dans Lorenzaccio de Musset Dès la création le problème du lieu se pose, puisque cette pièce est conçue comme un spectacle dans un fauteuil a échappé aux contraintes de la scène à l’italienne et aux toiles peintes. Pas de lieu scénique ou d‘espace de jeu vraiment envisagés du départ ce qui va ouvrir toutes les possibilités. Mais la profusion des lieux n’est pas uniquement une résultante de l’esthétique romantique, elle prend également sens dans l’économie de la pièce. I- Un drame

Au XIXe siècle, beaucoup de personnes vont au théâtre, (surtout à Paris), aussi bien les riches que les pauvres. A cette époque de nouveaux genres apparaissent ; d’un côté il y a des genres dit « nobles » tel que le drame romantique (et la tragédie et la comédie chez les « anciens » genres) et d’autres dit « populaires » comme le mélodrame, le vaudeville et la pantomime. Le théâtre classique est contesté par les romantiques à cause de ces nombreuses règles. La Scène : La scène du xIXe

genres : On devait écrire tragédie ou comédie mais on ne doit pas mélanger les 2. La règle de l'imitation des anciens : On devait le plus possible imiter les œuvres antiques car ils avaient atteint la perfection. Imiter mais pas copier = s'inspirer. Ex : Molière s'est beaucoup inspirer de Plaute ( Auteur latin ) Le but de toute ces règles était la vraisemblance, que l'action soit vraisemblable. Le but de la comédie est de plaire et d'instruire, celui de la tragédie est la cathorsis : il s'agit

LA TRAGEDIE DU MASQUE DANS LORENZACCIO Lorenzaccio a souvent été lu comme la pièce relatant les désillusions politiques de Musset après l’échec des « Trois Glorieuses ». D’une part, la Florence de la Renaissance a été une image de la monarchie de Juillet française bien perceptible pour les contemporains. Ils y ont sans peine reconnu la France de 1833 déçue. Alors, la pièce a sans doute été perçue comme une réflexion acerbe et douloureuse sur l’inanité de toute action politique après la révolution

nouvelles ont été agitées dans les conversations, les préfaces et les articles de journaux. La connaissance plus précise de Shakespeare et des dramaturges allemands, acquise d’abord par les émigrés, élargit le goût et fournit des arguments contre la tragédie classique. Des traductions précédées d’importantes préfaces permettent de comparer les systèmes dramatiques : adaptation du Wallenstein de Schiller par Benjamin Constant en 1808. A deux reprises, les Parisiens ont l’occasion de voir jouer les drames

Alfred de Vigny, Victor Hugo, Alfred de Musset et Théophile Gautier emboîtent le pas à Lamartine et participent à cette nouvelle ère poétique qu'il a initiée. - 1823-1825 : Racine et Shakespeare de Stendhal Stendhal se fait l’émissaire d’un mouvement qui préconise autant la liberté politique que littéraire. Dans cet essai sur le théâtre, Stendhal compare les dramaturgies racinienne et shakespearienne et remet en cause les contraintes esthétiques de la tragédie classique. Il encense le génie shakespearien