Musulman

Judiciaire Marocaine avant protectorat, La justice était rendue par le juge musulman, le Cadi. Sa compétence était générale et universelle. Le Cadi était compétent pour connaître  des affaires de droit commun. Dans la pratique, les parties se présentaient devant le Cadi, seules ou assistées d’un mandataire Oukil ancêtre de l’avocat. Elles pouvaient présenter des consultations appelées fétouas rédigées par des jurisconsultes  musulmans appelés les mouftis. Après échange de « conclusions » le Cadi rendait

confiance qu’il nous a accordée en acceptant de diriger cette recherche. Année universitaire : 2012/2013 [Tapez un texte] 1 | P age SOMMAIRE -Introduction -Section I : Les sources historiques du droit commercial Chapitre 1 : Le droit Musulman Chapitre 2 : L’impact du droit européen et du droit de protectorat -Section II : Les sources actuelles du droit commercial Chapitre 1 : Les sources internes Erreur ! Signet non défini.-Conclusion -Bibliographie&Webographie -TABLE DES MATIERES

A) Un nationalisme précoce : 1885 : création du parti de Congrès (Gandhi et Nehru) qui rassemble la majorité Indou. But : dès le départ= contester la présence britannique + indépendance unitaire 1906 : fondation de la ligue musulmane (Ali Jinnah en devient progressivement le leader) Qui s’épanouie dans l’entre 2 guerres : arrivé a la tête du parti du Congrès de Gandhi = protestations non violentes (boycott des élections, des produits britanniques, des écoles, des tribunaux

islamique : le Coran 1 Introduction Le monde musulman occupe désormais une place prépondérante dans les médias. Malheureusement, lorsque ce sujet est évoqué, ce n’est généralement pas en bien. En effet, il s’agit la plupart du temps de relater divers attentats ayant été commis à tel ou tel endroit de notre planète. Des scènes d’horreur et d’atrocité se succèdent alors devant nos regards ébahis. C’est donc une triste vision du monde musulman que relate le plus souvent le système médiatique. La

l’application respective varie selon les circonstances et les lieux. Ils ont affirmaient aussi que le droit marocain n’est pas fondé selon la logique mais plutôt sur les différents droits appliqués au Maroc autrement les ordres juridiques (coutumier, musulman, français) . Ces trois ordres juridiques ne se substituent pas l’un à l’autre, il lui est compétitif peu importe les matières ou l’endroit, le droit peut subir une transformation mais il reste reconnaissable car il garde ses traits fondamentaux 

d’un peu plus d’une cinquantaine d’années, la finance islamique est une forme de finance alternative qui trouve sa source dans les principes de la loi islamique, la Charia. La finance islamique est née et s’est développée dans les pays musulmans du Golfe et de l’Asie du Sud-Est. Elle suscite actuellement un vif intérêt de la part de nombreux pays occidentaux, en particulier la Grande-Bretagne et la France, et ce malgré la crise de Dubaï. Mais cette introduction des banques islamiques

nationalisme. L’islam en politique : L'islam politique est un nom générique pour l'ensemble des courants idéologiques qui visent à l'établissement d'un État fondé sur les principes de l'islam, que ce soit à l'échelle d'un pays ou de la communauté musulmane (Oumma) tout entière. En règle générale, il s'agit d'un synonyme d'islamisme, qui insiste plus sur la caractérisation politique de ces mouvements que sur leur aspect proprement religieux. Si le communisme a été adopté par des courants autochtones

contrôlaient le culte, l'enseignement et la jurisprudence, le XIXe siècle est le siècle de triomphe de la colonisation et de l'impérialisme européen. C'est aussi le siècle du déclin politique de l'Islam, avec un nombre de plus en plus grand de territoires musulmans qui sont soit conquis (en Afrique), soit dominés (Indonésie, Afghanistan et golfe Persique) par les Européens. Si l'Empire ottoman reste indépendant, il est très affaibli. Les Européens ont des vues sur « l'homme malade de l'Europe» pour reprendre

des sociétés musulmanes et cela sans directement rechercher à contrôler le pouvoir. Puis, il y a les Djihadistes (aussi appelée « Takfiris ») qui cherchent à imposer par la force un régime islamique dans les Etats des pays musulmans. Ils prônent le djihad et mènent ainsi des actions violentes contre les pays occidentaux, notamment les Etats-Unis, qu’ils considèrent comme les soutiens de ces Etats. Enfin, il y a le Salafisme dit réformiste qui est représenté par les Frères musulmans. Ce courant salafiste

affirment, en matière juridique, leur singularité : issus de la religion ou de la synthèse des droits occidentaux, les règles de droit de ces états mettent en évidence des particularismes. II. Droit, religion et particularismes. Le droit musulman est celui qui lie le plus religion et vie en collectivité. Le Coran y est fondamental : les juristes sont des hommes de Dieu. Basée sur le Coran, la Sunna (plus orale), l’Idjima, le Qiyas, la Charia consiste en l’ensemble des règles du droit islamique