Mydriase

Tachycardie,tension normale Échelle de Glasgow: Évaluation du niveau de conscience d'un sujet. Le score peut s'échelonner entre 3 (au pire) et 15 (au mieux). On estime qu'il y a risque vital lorsque ce score passe en dessous de huit (début du coma). Mydriase bilatérale : pupille Surveillance coma ACSOS : -Hypotension -Hypertension -Hypoxémie -Hyperthermie -Hypo/Hyperglycémie + anémie,hypo/hypercapnie,l'acidose. Apport théoriques : Entorse: Lésion traumatique de l'appareil capsulo-ligamentaire d'une

organes effecteurs Sympathomimétiques 1 Méthoxamine ; phényléphrine Sympatholytiques Phénoxybenzamine ; phentolamine…   Ephédrine, tyramine  Libération de la nora à partir des vesicules actions sympathique parasympathique Mydriase active (contraction…) Myosis ; accommodation Sueurs (glandes sudoripares) Sécrétions salivaire, lacrymale… Contrathion des sphincters Motilité et relâchement des sphincters Inhibition tonique du détrusor Contraction du détrusor ; trigone relâché

augmentation des doses pour maintenir le même effet. - Dépendance psychique : entraîne la recherche compulsive du médicament. - Dépendance physique qui entraîne un syndrome de sevrage très riche : bâillements, larmoiements, rhinorrhée, sudation, mydriase, tremblements, diarrhée, douleurs musculaires et abdominales, déshydratation etc... qui peut être expliqué par une hyperactivité noradrénergique entraînant l'utilisation de la clonidine (alpha 2 + qui diminue la libération de noradrénaline) pour

transfert du patient. Aggravation brutale de l’état neurologique,signes de localisation Durant sa surveillance , le patient initialement conscient s’aggrave brutalement : un coma s’installe, un déficit brutal de membre ou une asymétrie des pupilles (mydriase uni ou bilatérale) s’installe. Ce tableau clinique évoque la constitution d’un hématome extra-dural compressif par saignement artériel, d’un HSD aigu, d’un œdème cérébral. Le seul traitement salvateur est la réalisation d’un trou de trépan afin d’éviter

collyres contenant des vasoconstricteurs (phényléphrine et synéphrine), indiqués notamment dans les irritations conjonctivales non infectieuses, doivent être utilisés avec précaution et pour une durée maximale de 3 jours. Ils exposent à un risque de mydriase (contre-indication absolue si risque de glaucome par fermeture de l’angle), d’augmentation de la pression artérielle, à des tremblements et à des troubles du rythme cardiaque. Orgelet Kératite phototraumatique Infection, essentiellement

toux non productives gênantes. Effets indésirables : Effets neurovégétatifs : sédation ou somnolence (plus marquée en début de traitement). Effets anti cholinergiques à type de sécheresse des muqueuses, constipation, troubles de l'accommodation, mydriase, palpitations cardiaques, risque de rétention urinaire. Troubles de l'équilibre, vertiges, baisse de la mémoire ou de la concentration, * Doliprane 500 (3 à 4/j) : Traitement symptomatique des douleurs d'intensité légère à modérée. Effets indésirables :

infusion, décoction, teinture, capsules, essence, sirop, gouttes, crèmes, extrait et huiles essentielles. Granulocyte : c’est un leucocyte ou globule blanc. Iatrogénie : maladie provoquée par le médecin ou par la thérapeutique qu’il emploie. Mydriase : dilatation anormale de la pupille. Pérennisation : action de rendre durable. Pharmacovigilance : c’est la surveillance du risque d’effet indésirable résultant de l’utilisation des médicaments et produits à usage humain. Prurit : trouble

constipation, somnolence, nausée et vomissement. Antitussif antihistaminique : DCI/ nom commerciale : oxomemazine = toplexil® , fenspriride =pneumorel® ,alimemazine = Théralène®, promethazine = fluisedal®. Effets indésirables : sécheresse buccale, mydriase (= pupille dilaté), rétention urinaire, nausée, constipation et somnolence. Antitussifs classiques : DCI/ nom commerciale : Extrait de bave d’escargot = HELICIDINE® Effets indésirables : nausée, vomissement, sècheresse buccale Les mucolytiques

innervation, sympathique et parasympathique, l’inhibition de l’innervation parasympathique fait prédominer l’action sympathique. Ainsi, sur le système nerf ciliaire court-iris et muscle ciliaire, l’effet parasympatholytique se manifeste par de la mydriase et une paralysie de l’accommodation; sur la glande salivaire sousmaxillaire innervée par la corde du tympan, on observe une paralysie de la sécrétion; sur les organes innervés par le nerf pneumogastrique, cœur, poumons, tube digestif, on note respectivement

de connaissance plus ou mois brutale avec coma, aspect gris ou cyanosé du visage, pâle, livide, blême. Disparition des pouls carotidiens et fémoraux, arrêt respiratoire avec “gasp” (grandes inspirations espacées et bruyantes), très rapidement la mydriase apparaît. Le choc hypovolémique : collapsus et état de choc : Le collapsus est la chute importante et durable de la tension artérielle, le choc est la diminution de la perfusion tissulaire. L'état de choc accompagne des situations aussi diverses