Méditation Métaphysique Sixième

Fiche de synthèse TPE série scientifique Groupe : Enguérand Allan Steeve Quentin THEME : Avancées scientifiques et réalisations techniques. SUJET : L’humanisme de Descartes et l’amélioration des conditions humaines par la philosophie pratique. PROBLEMATIQUE : Comment Descartes a-t-il utilisé les sciences pour innover et améliorer les conditions humaines ? Ce choix était très intéressant car sa nous permis de faire

Descartes, c’est que nous existons. Comment pourrions nous alors ne pas être nous – même ? A. Le moi est ce dont on ne peut douter selon Descartes : on a le sentiment d’exister et ce sentiment est à l’origine du moi. Descartes prouve dans les Méditations Métaphysiques, que l’on ne peut douter de sa propre existence. Pour cela, il commence par oublier tout ce qu’il sait, afin d’établir une connaissance certaine. C’est le doute méthodique. Il doute de nos perceptions et de nos idées innées en s’imaginant

XVIIième siècle, René Descartes base sa philosophie sur le doute de la connaissance de soi et des choses. Les sens, les rêves, le malin-génie et les sciences ayant un rapport avec la matière sont des choses que remet en doute Descartes. À travers ses méditations, il engage un vocabulaire religieux afin d’exprimer son cheminement d’esprit dans la recherche de la vérité. René Descartes soutient que dans cette recherche de la vérité, l’esprit est plus facile à connaître que les choses ou le corps. Je suis

Dioptrique : phénomènes optiques Météores : phénomènes célestes et terrestres : matière Géométrie : tout problème de géométrie peut se transformer en problème d’algèbre Recherches métaphysiques et scientifiques (complémentaires cf Arbre) Bouleversements dans les sciences (révolution du XVI-XVII) entraine des changements dans la métaphysique. II. Bouleversement dans les sciences : 1. Contexte : la philosophie issue d’Aristote a. Géocentrisme : Aristote (-IV) : trois mondes : Monde sublunaire Monde lunaire

je ne peux pas me connaître, car je ne peux pas me contempler, me saisir comme un objet que je regarde et que je juge. Descartes d’ailleurs, au détour du doute méthodique n’apporte que la certitude de son existence. Le fameux passage des Méditations Métaphysiques où il écrit : Qui suis-je ? Une chose qui pense s’explique autrement que comme un passage autoritaire si nous expliquons que pour Descartes comme seule la certitude que nous pensons est indubitable, notre être se limite à l’activité de la

être trompeur car c’est le fait de notre raison et de nos désirs... L’idée de vérité appelle celle d’objectivité.  a) Remarquons que la plupart de nos certitudes sont plutôt des opinions, des "idées reçues", comme le dit Descartes dans ses Méditations métaphysiques : elles nous viennent de l’extérieur, de notre éducation, de la société ou des médias, et nous les avons admises sans avoir réfléchi. En bref, nous sommes souvent certains pour de mauvaises raisons. Prenons l’exemple du mythe de la caverne :

d'abord pratiqué par l'école antique du scepticisme est la suspension du jugement. Quand on ne veut pas préjuger (c'est à dire juger avant d'avoir tous les éléments pour le faire), on s'abstient. Descartes exploite le doute méthodique dans ses Méditations Métaphysiques : pour être sûr de découvrir en lui les premiers germes de toute connaissance, il feint de ne rien connaître et de remettre en doute tout ce qu'il a reçu comme des connaissances certaines depuis son enfance. Ce doute est radical mais à la

de soi. Œuvres Charmide, Phèdre René Descartes Pensée C’est la connaissance de ce que nous sommes (« une chose qui pense ») qui est la plus certaine de toutes, et qui nous permettra ensuite de construire une science véritable. Œuvres Les Méditations métaphysiques Sigmund Freud Pensée « Nous ne sommes pas maîtres en notre propre demeure » : la conscience n’est pas maîtresse de notre activité psychique, elle doit constamment composer avec les énergies et les pulsions issues de l’inconscient. Œuvres

pourrait-il y avoir sciences de l’homme si, à un moment donné le sujet humain ne devenait pas objet de sciences et d’études ? D’où vient, alors, l’idée que le sujet est bien ce qui se meut en face du monde pour le connaître et le juger ? Du sens métaphysique. En métaphysique, le sujet c’est l’être réel, par opposition à l’objet : c’est la substance ou le principe unificateur de toutes nos représentations. Il est « ce qui connaît tout le reste sans être soi-même connu » dira Schopenhauer. Avant de renvoyer

nécessaires lors de sa première méditation ? Je commencerai par le débat du doute afin de déterminé si il est démesuré ou non. Entreprendre une introspection était pour Descartes une obligation d'ordre mental. En effet, son mal-être et le besoin de vérité quant au convictions incertaines qu'il reçut dès sa naissance était trop grand pour ne pas en tenir compte. Comme il le dit lui même dans « la méditation première » de son recueil « Méditations métaphysiques », « (...) il me fallait me défaire