Métro Boulot Dodo

OSS 117) car c’est la légitimité historique du temps passé, c’est une autorité historique totalement dépassé avec son époque. 2 autres grands perdants : Université et la société industrielle. Sur la société industrielle il y a des critiques « métro boulot dodo », critique plus politisée H. Marcuse « L’homme uni dimensionnel » : la société industrielle est une société totalitaire, car le système de production amène à des individus sans aucune aspérité, totalement identiques. (chaîne de travail), cette

de la croissance, de la société de consommation et du bien-être matériel. Mais pour leurs enfants, ceux du baby-boom, cette formule du bonheur a quelque chose d’étriqué, de médiocre, d’ennuyeux, de répétitif. À bas la vie quotidienne et le métro-boulot-dodo ! Contre cet idéal du petit bonheur bourgeois, 1968 affirmera d’autres idéaux, l’utopie libératrice : la révolution, la sexualité libre, la libération des mœurs, les communautés utopiques et libertaires. On sait comment le capitalisme va récupérer

son métier : il répondait aux appels d’offre, il faisait les devis, il dirigeait les techniciens, établissait leur planning… « Nous » fîmes ensuite un devis pour Christian Dior. C’est à la fin de cette journée que je compris le rythme « métro-boulot-dodo ». Mercredi Je n’ai pas vu ce jour arriver ! C’était déjà le milieu de la semaine : le milieu de mon stage. Le temps passait trop vite ! La vie en entreprise est mouvementée et très intéressante. Le matin je me rendis utile :

apparaître des conflits sociaux pour les conditions de travail et de meilleurs salaires. Plus que de contester la répartition des richesses certains commencent à rejeter la société de consommation, le capitalisme. Une génération qui refuse la vie « métro, boulot, dodo » (ces rejets déboucherons sur les révoltes de mai 1968). d'autres refusent le modèle américain Certains contemporains se posent des questions sur le système économique des Trentes Glorieuses, sera t'il toujours possible de produire plus ? C'est

servitude. Non seulement les retombés de la technique ont saccagé le paysage détruit des espèces, pollué l’atmosphère mais ont touché l’homme dans son corps et son âme en induisant une vie et une philosophie que les tristes formules : « Métro, Boulot, Dodo » et « On n’arrête pas le progrès » résument assez bien quant aux caractères mécaniques et fatales de l’existence, les slogans vont dans le sens d’une dénonciation de la technique comme facteur d’esclave et destructeur. Le problème est donc

CNPF → patrons ). Tous les syndicats de gauches font la grève. Les étudiants voulaient plus de libertés, la majorité est à 21 ans, la jeunesse se rebelle contre les institutions ( Armée, Etat, Eglise … ). Les ouvriers manifestent contre le « métro – boulot – dodo », la télé était réglementée. Ils se révoltent pour travailler moins et gagner plus mais pas de chômage. Ils veulent plus de temps libre. 19 mai 1968 : il y a grève générale, la France est bloquée, il n'y a plus d'école, plus de transport et

gares, permet à la ville de se structurer, permet l’extension urbaine  quartier de la gare. 1 forme de lutte contre la distance. o 1920 – 1960 : le temps des transports publics urbains. « La structure en doigts de gants » tramway, métro. Séquence métro-boulot-dodo, le temps des banlieues. o 1970 - 1990 : l’automobile. Adopter la ville à l’automobile de « Buchanan », autoroute. On se trouve dans les périurbains, extensions nouvelles, rocade. o 1920 – 2011 : période multimodale, baisse de l’automobile

ect... Il souhaite alors sortir de ce travail car il n’en voit plus l’utilité, mais il ne peut pas car il a besoin d’argent pour subvenir à ses besoins et ceux de sa famille. La rat race Cette image représente parfaitement la routine « métro, boulot, dodo ». Les travailleurs se trouvent pris dans une course effrénée pour gagner de l'argent et améliorer leur situation financière, sans avoir de fin en vue. Ce mode de vie peut conduire à la pauvreté, malgré des heures de travail épuisantes

toute la journée, ils ne passent pas de temps ensemble. Les moments passés ensemble sont hors vie professionnelle. Les week-ends sont souvent vus comme un « rattrapage conjugal » où l’on passe vraiment du temps ensemble, en dehors de la routine métro/boulot/dodo. Le repas est également un moment important dans le couple et vu comme un moment clé ; ce n’est pas forcément ce qu’on mange qui est important, mais plutôt la réunion autour d’un plat, comme une sorte de communion. C’est le moment où l’on partage

Ce sont des lignes universels que chacun empreinte. Ces lignes scandent les événements bruyants de nos existences, les changements spectaculaires perceptibles par tous. Ce sont en ce sens les lignes les plus évidentes des individus. Metro/Boulot/Dodo // Dodo/Metro/Boulot. Ces lignes sont connues de tous, vécues par tous, et forment l’essentiel de nos vies en apparence (on verra par la suite toute l'importance de ce thème phénoménologique). Les lignes à segmentarité dure, que l’on appelera « molaires