Métro Boulot Dodo

que cette réalisation puisse avoir lieu, il faut que l’organisation sociale du travail limite l’aliénation que l’emploi peut susciter auprès du travailleur. On ne peut pas réduire le travail à un simple gagne-pain qui suivrait la règle du « boulot-métro-dodo », il peut aussi être un gain pour l’homme. Mais il faut faire attention que le travail reste un travail, un moyen de gagner sa vie et non une fin en soi de façon à ce que l’homme puisse s’affirmer pour ensuite se réaliser en tant qu’individu

unique de la sexualité… qui évolue vers union libre, procréation prénuptiale, montée des divorces, autorité parentale, libération sexuelle… Exemple Mai 68 et son refus de l’autoritarisme, sa recherche du rêve (sous les pavés…), son refus du « métro-boulot-dodo »… . Des sociétés de plus en plus cultivée par l’augmentation de l’âge de scolarité obligatoire // massification de l’enseignement : 1946 = 40% de scolarisés après 14 ans , 25% après 16 ans (fin de la scolarité obligatoire) 100% en 1975 (Création

béhaviorisme qui généreraient une déresponsabilisation des individus, une passivité croissante et une insatisfaction accrue par l’inquiétude sur l’avenir… Absurdité d’un monde voué à l’éternel recommencement dont les leitmotivs étaient : métro – boulot – dodo et travail – famille – patrie. Il était une fois un monde où les apprenants apprenaient et où les enseignants enseignaient… A cette époque, les professeurs étaient sur leurs estrades et les apprenants assis à leurs tables d’écolier…

Ariane Boeglin Chef Opérateur Alain Choquart Chef Décorateur Guy-Claude François Costumes Jacqueline Moreau Son / Mixage Michel Desrois et Gérard Lamps Attachée de presse Eva Simonet     INTERPRETES   Lulu Didier Bezace Dodo Jean-Paul Comart Marie Charlotte Kady Manuel Jean-Roger Milo Vincent Nils Tavernier Antoine Philippe Torreton Cécile Lara Guirao Kathy Cécile Garcia-Fogel Adore Claude Brosset     MUSIQUE   Orchestrateur : Hubert

logements one un confort minimum. Très rapidement, ces banlieues HLM deviennent le symbole du mal de vivre (zones où les équipements sont nuls, peu de centres de loisirs et d’animation). Ces banlieues sont assimilées à des ensembles dortoirs : métro, boulot, dodo. Le déclin de la France rurale : depuis le milieu des années 1930. Le phénomène s’accélère en 1962 avec la PAC. Les jeunes du baby-boom se sentent plus vraiment concernés par le monde qui les entoure. Ils veulent un changement : musique, mouvement

catégories de personnes sont exclues de la croissance : les SDF, les petits paysans et commerçants, les immigrés. ► Mai 68, ouvriers et étudiants »Consommez plus, vous vivrez moins » ‘’Vous finirez tous par crever du confort’’, dénonciation du ‘’métro boulot dodo’’=> contestation d’une jeunesse qui n’a pas connu les temps difficiles de guerre et ne voit que la déshumanisation du travail sur laquelle se base le mode de régulation fordiste. Donc il y a une remise en cause sociale des conséquences indues

essentielle. Elle est une essence de l’homme, quelque chose de naturel, car ce dernier sait rompre avec le présent. (Par exemple, si on analyse l’expression « avoir une vie de chien », c’est-à-dire une vie une vie qui se résume au quotidien « métro, boulot, dodo ». Cela illustre bien la notion du « vivre au jour le jour », en somme, de se contenter du présent que l’on subit.) Non seulement la philosophie ne sert à rien, mais elle ne sert rien ! Besoin Cause En effet, elle ne doit servir aucun

(confrontation entre le caractère irrationnel du monde et notre désir éperdu de clarté dont l’appel résonne au plus profond de l’homme). Il y a un non-sens de la vie: l’homme est esclave de ses habitudes : il a un caractère machinal : « la routine du métro-boulot-dodo » * Le temps conduit à l’anéantissement de nos efforts et, in fine, à la mort. Le mythe de Sisyphe « Cet univers désormais sans maître ne lui paraît ni stérile ni fertile. Chacun des grains de cette pierre, chaque éclat minéral de cette

une chose importante dans le couple, même si certains ne l’avouent pas. Les débuts de relations sont souvent torrides mais ces instants intimes ne durent qu'un temps et, au bout de quelques années, laissent place à une vie monotone qu'est le métro-boulot-dodo. L'évolution d'une baisse de la libido est très lente et ne se remarque pas dès le début, la fréquence des rapports diminuent et deviennent rares au fil des années. Pour y remédier, l'envie sexuelle envers son partenaire est primordiale ! Il

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