Nation Réalité Naturelle

Chinois, les Russes et les Japonais. Et bien sûr elle a un lien direct avec la guerre russo-japonaise qui était concentré dans cette zone territoriale. Les ressources naturelles D’après nous une des raisons de l’envie du contrôle de la Mandchourie par les Japonais est le fait que cette région contient de bonnes ressources naturelles comme la fôret qui recouvrait 90% du territoire de 1,42 km² de la Mandchourie et aussi la possibilitée de créer des mines qui allait pouvoir être utiliser pour construire

Relations Internationales Introduction Qu’est ce que les relations internationales ? * Objet d’études, relations entre les nations, ou Etats et rôles des autres acteurs (ONG, firmes multinationales, …) sur la scène internationale * Spécialité de la science Po (sciences sociales) On étudie des relations entre Etats (relation internationale de la France), ou des relations entre Etats et acteurs internationaux, ou encore des questions tel que : Pourquoi guerre au Darfour ? Quel est le

précisément DG. Quelle idée de la France développent les Mémoires ? I La France réelle : un pays Certes, la France est une réalité concrète, un pays, au sens historique et géographique. DG l’évoque notamment dans le chapitre VI «Désunion» : La France est un pays dont il juge les frontières «mauvaises ». Cette observation laisse entendre qu’il existe des frontières naturelles…(Le Rhin, par exemple). D’emblée, l’on observe que l’idée que DG a de la France est précise. En effet, pour évoquer la France

hégélienne : nous avançons sans réellement savoir vers où nous sommes portés. Hegel n’a pas seulement voulu construire un discours cohérent comme le firent un nombre assez conséquent de philosophes, avant ou après lui, il a voulu « comprendre  la réalité dans l’unité une de la vérité » (Merleau-Ponty). Il n’a pas simplement voulu comprendre mais a voulu tout comprendre. Ce texte, donc, se situe dans l’œuvre d’Hegel juste à la suite de l’exposé sur l’esprit objectif  et précède celui qui aura pour

Pendant cette période de révolution, les périodes vont changer, mais pour toujours revenir au point de départ. Le mot révolution est définit comme un mouvement qui ramène les choses à leur point de départ. La révolution est donc un phénomène naturel. Etant naturel, il est irrésistible.Les hommes peuvent lʼobserver et restent donc passifs face à ce mouvement. Ils pourront observer la révolution, mais ne pourront pas la faire. Revenant à ce point de départ, ce mouvement nʼapporte aucune nouveauté. A partir

par lesquels il exerce autorité et pouvoir; la légitimité de cette autorité repose sur la souveraineté (du peuple ou de la nation par exemple). Le pays désigne une entité géographique tandis que le gouvernement est l’une des institutions par lesquelles l’État exerce son pouvoir ; la nation quant-à-elle ne se confond pas toujours avec l’État sauf dans le modèle de l’État-nation. A.Blanqui: « Ll'armée, la magistrature, l'Eglise simple haie, l'ignorance bastion formidable. » Si le peuple est ignorant

• Rôle des médias : accès au savoir du monde politique. • Rôle du philosophe : idéal de solidarité et de justice sociale. Logique de l'élucidation : le but n'est pas de dire la vérité mais de comprendre de façon systématique la réalité telle qu'elle est. ● Le politique Ce qui touche au monde politique. A l'origine les affaires de la cité. ● Question politique Enjeu important, concerne beaucoup de personnes. Implique un aspect idéologique (point de vue, valeurs...). Elle génère

d’actualité, ne serait-ce que parce que parce que l’humanité n’a jamais cessé de faire la guerre. 1. Ecrire sur la guerre Hors de la littérature, dont le programme vous propose deux exemples, écrivent sur la guerre les militaires, ce qui est assez naturel, les historiens, les politiciens, dont je ne parlerai pas ici (qui sont parfois d’anciens militaires), et les philosophes. Les militaires écrivent ou bien pour faire le récit de leurs campagnes, comme le fait par exemple César dans le Bellum gallicum

du 11 mars 1882, publiée sous le titre de Qu'est-ce qu'une nation ?, Ernest Renan analyse une idée claire en apparence, mais dont les interprétations multiples peuvent données lieu à des malentendus dangereux : le terme de nation. L'enjeu du texte est donc double. Il s'agit d'une part de critiquer les mauvaises définitions de la nation, définitions que l'on peut qualifier de « fondamentalistes » au sens où elles cherchent à fonder la nation dans la race, la langue ou dans tout autre élément particulier

qu'interpréter diversement le monde, il s'agit maintenant de le transformer.» La philosophie de Marx est une philosophie matérialiste, en rupture avec la philosophie idéaliste (hégélienne) de son temps: pour un matérialiste, il n’y a de réalité que la réalité matérielle, et la matière obéit à des lois déterminées. Marx est donc un déterministe qui, en ce qui concerne les sociétés humaines (la «matière» humaine), pense qu’elles sont régies par des lois déterminées : l’«histoire des sociétés jusqu’à