Nation Réalité Naturelle

de l’homme et du citoyen PROFESSEUR : ZAKPA KOMENAN ASSISTANT : Mr. KOBI EXPOSANT : COULIBALY DIDIELHIN SEVERIN PLAN DE TRAVAIL ▪ INTRODUCTION ▪ I- UN PREAMBULE CONSACRANT L’UNIVERSALITE DES DROITS ▪ A- LES DROITS NATURELS DANS LA DECLARATION D’INDEPENDANCE DES ETATS UNIS ▪ B- L’AFFIRMATION DES DROITS NATIONAUX ET DES DROITS DE L’HOMME DANS LA DECLARATION DES DROITS DE L’HOMME ET DU CITOYEN ▪ II- LES RAISONS DE LA PROMULGATION DES DECLARATIONS

Cependant le marcher conduit il a l'equilibre general ? Peut ont faire confiance aux forces du marcher pour resoudre tous les maux de l'economie ? Pour y repondre nous allons voir, dans un premier temps grace aux forces naturelles des choses et grace au penchant naturel conduit l'economie vers l'equilibre general. D'un point de vue theorique, nous nous appuierons sur le liberalisme economique. Mais nous verrons dans un second temps que le marcher est loin d'etre parfait et qu'il peut conduire

des besoins quasiment illimités, l'homme dans un espace où les ressources sont rares. L'homme vie dans un monde de rareté. Pourquoi rares ? Car il peut y avoir de multiples sources (exemple : l'argent...). Ce qui remonte aussi sont les ressources naturelles (le boulot, les matières premières qu'on va utiliser, trouver de l'énergie, on les trouve dans notre environnement, certaines sont en quota illimité. On a aussi une ressource du temps L'homme est obligé de faire des choix. Gestion = Organisation

l’Etat => édicter les règles, * Question titulaire de la souveraineté : qui le préside ? => non dénuée d’une arrière-pensée politique (Sieyès) : détacher souveraineté de la nation et souveraineté du peuple * « Souveraineté une, indivisible, inaliénable et imprescriptible. Elle appartient à la nation. Aucune section du peuple ou partie du peuple, aucun individu ne peut s’en attribuer l’exercice » (constitution de 1791). => se retrouve presque au mot près en 1958, art 3 de la Constitution

La réaction des Nations Unies aux attentats du 11 septembre 2001 Introduction. Un attentat est le fait de commettre un ou plusieurs actes de violence de nature à porter atteinte à l’intégrité du territoire national, élément constitutif de l’Etat, le passage à l’action violente qui constitue un crime contre la Nation. « L'Organisation internationale des Nations Unies a été fondée en 1945, après la Seconde Guerre mondiale, par 51 pays déterminés à maintenir la paix et la sécurité internationales

l’ordre commun, que nous devrions appeler plutôt sauvages. [...] Ces peuples me semblent donc barbares, dans le sens où ils ont reçu fort peu de formation intellectuelle, et ils me semblent encore fort proches de leur nature originelle. Les lois naturelles leur commandent encore, fort peu abâtardies2 par les nôtres ; mais c’est à un état si pur, qu’il m’arrive de regretter qu’ils n’aient pas été connus plus tôt [...]. Il me semble que ce que nous voyons par expérience en ces peuples surpasse non seulement

auteurs contractualistes, de Hobbes à Rousseau, l’Etat, en tant que qu’entité représentant une nation sur laquelle elle exerce un pouvoir suprême, serait précisément l’institution qui permettrait d’éradiquer la violence naturelle au sein de chaque communauté. Selon d’autres, comme Proudhon, l’Etat serait par essence une domination violente qui userait de sa force pour soumettre et contraindre. La réalité emprunte en fait à ces deux thèses. En effet l’institution de l’Etat a pour but la cohabitation

- Qu’est-ce que la croissance économique ? Selon l’économiste français François Perroux (1903-1987), la croissance économique correspond à « l'augmentation soutenue pendant une ou plusieurs périodes longues d’un indicateur de dimension, pour une nation, c’est le produit global net en termes réels ». On peut alors définir la croissance économique comme l’augmentation soutenue de la production de biens et services d’un pays sur une période longue. À court terme, on parle plutôt d’expansion : augmentation

domination qui caractérise une démocratie. La fonction publique et sa sociologie: Les fonctionnaires sont libres et n’obéissent qu’au devoir de leur fonction et non aux ordres d’un maître. Pourtant cela n’est pas toujours vrai au regard d’une certaine réalité sociologique (les contrats ne stipule pas qu’une secrétaire doit faire le café). En principe les concours sont ouverts à tous les citoyens sur la base des compétences de chacun anonyme. Pourtant sommes-nous égaux face aux concours. C’est à quoi s’interroge

le 7 Novembre Séance n°3 (débat-discussion) : le 14 Novembre Résumé : La question du libéralisme est évidemment au cœur des conceptions contemporaines de la liberté… L’idée d’un régime prônant la liberté de tous et de chacun est généreuse ; la réalité est souvent plus discutable… mais pour se prononcer, il faut d’abord se poser la question de quel libéralisme parle-t-on ? Jean-Robert Alcaras propose ici de revenir sur la genèse du libéralisme au 18ème siècle, comme libéralisme total (politique