Nécessité et contingence

location des véhicules plutôt que pour leur acquisition Des décisions commerciales : sponsoriser un cycliste Des décisions industrielles : remplacer le cuivre par de l’aluminium dans nos produits II – Les facteurs de contingence dans la prise de décision Des facteurs de contingence tels que la structure de l’entreprise, le niveau de rationalité ou la nature de la décision influencent la prise de décision et déterminent sensiblement le choix des solutions adoptées. A – La structure de l’entreprise

entrant dans le processus de prise de décision1. Cette vision des systèmes est particulièrement intéressante dans la mesure où elle est facilement transposable au domaine de la gestion et de la comptabilité. Dans toutes les types d’entreprises, la nécessité de disposer de comptabilité fiables et performantes apparaît comme une évidence alors que son mise en œuvre n’est pas une affaire toujours très aisée. De multiples questions se posent en termes d’organisation et de management des systèmes comptables

culture? C'est un fait que partout et toujours l'homme réalise son humanité dans et par la culture dans laquelle il nait et est élevé, éduqué. Il n'y a nulle part d'homme à l'état de nature si bien qu'on peut se demander si la culture relève d'une nécessité "naturelle", inscrite dans la "nature" de l'homme, constitutive de son essence ou bien si on peut faire l'hypothèse des hommes à l'état de nature qui aurait librement institué la culture. Quelle est finalement la fonction de la culture?, à quoi sert-elle

organisations avec leur environnement ainsi que la nécessité d’assurer la stabilité du système de production ont nécessité le développement de la structure des organisations. On identifie aisément les opérateurs réalisant les activités primaires de l’entreprise. De même, il nous est facile de concevoir l’existence dans une organisation de membres investis du pouvoir de décision: les managers. Lorsque la taille des entreprises augmente, apparaît la nécessité de confier à des cadres intermédiaires la mission

1 École des relations humaines 3.2 Les théories issues de la socio-psychanalyse 3.3 Les théories issues de la psychologie sociale 3.4 Les approches cognitivistes 4 Les approches de management 4.1 L'école socio-technique 4.2 L'école de la contingence 4.3 Autres approches de management 5 Les approches sociopolitiques 5.1 La théorie de l'acteur stratégique 5.2 La théorie de la régulation sociale 5.3 La sociologie des logiques d'action 5.4 Approches macro et micro sociologiques 6 Notes et

Résistance dès son retour à Paris au début de 1941. Il fonde avec Merleau-Ponty « Socialisme et Liberté », un groupe intellectuel de résistants et écrit sa pièce Les Mouches pour convaincre les Français de la responsabilité de leur condition, de la nécessité pour chacun d’eux d’assumer le destin collectif et du devoir de s’engager dans la lutte présente comme seul acte de liberté possible. Ainsi qu’il l’a expliqué lui-même (« La guerre m’avait enseigné qu’il fallait s’engager »), c’est la guerre

étant déjà inscrit dans le passé. Cette vision rapproche au fatalisme Stoïcien selon lequel le monde est régi par une rationalité providentielle aux allures de destin ou de fatalité qui confère à tout ce qui se produit un caractère d’absolue nécessité : ce qui arrive arrive parce que cela devait arriver ; c’était déjà écrit. C’est ce que communément on appelle le destin. Selon ces deux vision quelles que soient nos décisions, nos choix et nos actions, rien ne pourrait empêcher que les choses

possibles → cela peut sembler plutôt normal pour un mathématicien (triangle de pascal) → relations existantes entre institution sociale, purement crée par les H sensée assurer l'égalité de tous, et une loi naturelle, innée. → insitstance de la nécessité de l'existence de la force /=/ justesse/ sagesse de l'existence du juste → la justice est impuissante par essence car elle ne dispose pas par elle meme et en elle meme d'1 force qui serait celle du juste. → titre original : Apologie de la religion

opportunités qui se présentent à elle ou que ce dernier lui offre. On peut dire donc que l’entreprise est un système : ouvert vivant contingent I. Système ouvert : L’entreprise est une organisation qui ne pt guère vivre en autarcie, sa pérennité nécessite qu’elle interagit avec ses différents partenaires. Elle doit également être a l’écoute de son environnement pour pouvoir suivre les perpétuels changements et innovations existantes. La concurrence accrue oblige les employeurs à imposer une veille

qu’il appelle Idées, s’incarnent imparfaitement. C’est pourquoi il oppose le monde intelligible, monde des essences pures ou des Idées, au monde sensible. 2. Pour Platon, l’essence, parce qu’elle présente les caractères du vrai (universalité et nécessité) a plus d’existence et de dignité que les objets sensibles. C’est cette priorité de l’essence que contestera le nominalisme à travers la fameuse querelle des universaux. Pour le nominalisme, l’essence n’est qu’une idée générale, construite par l’abstraction