Nécessité et contingence

dessus sur l’intérêt individuel. 7) Le principe de la juste rémunération : Rémunération proportionnelle à l’effort fourni. 8) Le principe de centralisation : Le degré de décentralisation qui dépend de l’activité. 9) Le principe de hiérarchie : La nécessité de communication latérale 10) Principe d’ordre : ordre matériel et moral 11) Principe d’équité 12) Principe de l’initiative : L’initiation au niveau de la conception et de l’exécution 13) Principe de l’union du personnel : esprit d’équipe Il estimait

issues de la socio-psychanalyse o 3.3 Les théories issues de la psychologie sociale o 3.4 Les approches cognitivistes * 4 Les approches de management o 4.1 L'école socio-technique o 4.2 L'école de la contingence o 4.3 Autres approches de management * 5 Les approches sociopolitiques o 5.1 La théorie de l'acteur stratégique o 5.2 La théorie de la régulation sociale o 5.3 La sociologie des logiques d'action

de causalité. Dans cet extrait, LAPLACE va d'abord éclaircir sa position et nous montrer qu'il croit au rapport de cause a effet et critiquer, voir même réfute l’antithèse qui n'est, pour lui, qu' illusion et ignorance. Ensuite il va montrer la nécessité de l’hypothèse du déterminisme en rejetant totalement le principe de libre-arbitre. Pour enfin exposer les conséquence que peut avoir cette hypothèse sur notre vie, sur nos connaissances. A partie de ce texte nous pouvons nous poser quelque questions :

est donc le secret d’une vie libre et heureuse ?        La règle d’or consiste à apprendre à distinguer ce qui dépend de nous et ce qui n’en dépend pas.     Ce qui ne dépend pas de nous c’est ce sur quoi nous n’avons aucun pouvoir et ce qui a sa nécessité propre. Il y a en effet un ordre des choses qu’il nous est possible, grâce à la raison, de comprendre.    Exemple : Tout vivant est exposé à la maladie, à la mort. C’est ainsi selon la loi naturelle. Ce que les autres pensent de moi, ce qui arrive

Herzberg 2-4) Douglas MC GREGOR : la théorie X Y 2-5) Les travaux de K.Lewin et R.Likert 2-6) Etude critique de l'Ecole des relations humaines II- Les autres Ecoles de la théorie des organisations : 1- L'école de la décision 2- L'école de la contingence 3- L'école de l'analyse systémique 4- L'école de l'analyse stratégique des organisations  5- L'approche de l'économie industrielle Conclusion Introduction : « Les organisations sont omniprésentes dans les sociétés modernes. Les individus

responsabilité, contrôle implicite plutôt que formalisé… 2. Les déterminants de la structure de l’entreprise Plusieurs éléments internes ou externes à l’entreprise influencent et déterminent la structure adoptée. Ces éléments appelés « facteurs de contingence de la structure » montrent qu’il n’existe pas de structure déterminée et idéale. 2.1 Dans quelle mesure la stratégie influe-t-elle sur la structure ? L’historien des affaires A. Chandler met en évidence le lien entre stratégie et structure

cité : il voit dans le totalitarisme l’aspect propagandiste, mais aussi il interprète son succès pendant l’idée d’une nécessité et une tendance constitutive de l’homme à la foi. Un résultat théorique remarquable est l’aspect – peut-être partialement – transcendantale relevé par les religieux catholiques et protestantes : ils ont été d’accord à croire que ce n’est pas la contingence spatio-temporelle politique d’une époque particulière à apporter aux états totalitaire, mais au contraire ils sont le

l’approche « rationnelle », résultante d’une analyse ex post par trop réductrice, sous-estime grandement la complexité du processus. Il rend alors hommage à la singularité des histoires de l’innovation, singularité qui constitue une représentation de la contingence. L’auteur nous montre, principalement à travers les cas des entreprises Zodiac et Salomon, mais aussi Tefal ou Sony, comment se sont liées, concrètement et sur plusieurs décennies, innovation et réussite durable. Ces histoires servent ensuite à

vu comme le masque d’une nécessité (qui s’oppose à la contingence du choix libre), c’est ce que souligne Schopenhauer en disant que nous nous pensons attirés devant alors que nous sommes poussés par derrière, par une force qu’il nomme le « vouloir-vivre » et qui est la raison de nos désirs, si nous en sommes la cause. Donc on pense pouvoir désirer librement, alors que l’on ne peut pas ne pas désirer. Face au désir, nous sommes comme face au besoin : face à la nécessité, non vitale, mais essentielle

définition de chacun à partir de ce qui comblerait sa sensibilité. D’où cette question : en quoi la conscience commune est-elle si intéressée à ce que chacun soit heureux ou du moins fasse tout pour l’être ? Cet idéal de l'imagination est exclu de la nécessité exigée par sa propre notion Kant, penseur de la réflexion et dont les positions sont pour cette raison paradigmatiques, fait remarquer que l'idée de bonheur est d'emblée contradictoire. D'une part, dans son aspect formel, elle renvoie à une totalité