Nécessité et contingence

INTRODUCTION)A)LA)GESTION)ET)AUX)ORGANISATIONS) ! ! ! ! ! 1 Introduction Nous vivons dans un monde d’organisation, dans lequel on ne cesse d’échanger avec ces organisations. Chaque objet qui a été crée et chaque action qui est faite nécessite l’utilisation d’une ou plusieurs organisations. La matière IGO permet de comprendre l’ensemble des organisations qui se manifestent derrière un événement. Qu’est-ce qu’une organisation ? Définition: Un ensemble de personnes qui se mettent

vérité universelle l.26 à 30 : Leibniz évoque la non nécessité de la terre et du soleil faisant référence à sa théorie du meilleur des mondes possibles que Dieu à crée en choisissant (liberté + raison mathématique) parmi tous les mondes possibles le meilleur des compossibles (ceux qui sont possibles entre eux). Ainsi, le monde dans lequel nous vivons icompris le soleil et la terre ne sont marqué à cause de la création de Dieu par la contingence : il aurait été possible que la terre et le soleil n’exista

individuelles et organisationnelles de performance destinées à ce que chacun donne le meilleur de lui-même ; maintenir un climat social propice à l’efficacité, etc. Le MRH est incitatif Au service de l’entreprise, pas de ses salariés ! Sa contingence ou sa contextualisation Il n’y a pas une « bonne façon » de faire du MRH (pas de one best way universel) Il y a que des solutions dont la pertinence dépend des contextes dans lesquels il s’applique La GRH implique toujours des choix et des

elle est la marque de la « toute puissance », dans l’autre, celle d’une déficience ontologique. Seule la liberté de D… est une liberté créatrice, car D… est l’auteur des valeurs et des vérités. Il crée à partir d’une contingence radicale, alors que l’homme est soumis à la nécessité de la création continuée. Monde est le meilleur parce que D… l’a voulu ainsi, et non l’inverse (cf. Leibniz). La liberté de D… est absolue parce qu’il est un être « complet et indépendant ». Qu’en est-il alors

interne ou externe ; ils ont un début et une fin (Brilman, 2001). Manager un projet, c’est orienter, sur un même objectif et pour une durée déterminée, des hommes et des ressources affectés habituellement à d’autres activités. La structure par projet nécessite le déploiement d’une organisation spécifique pour favoriser la réalisation des projets, tout en assurant la pérennité de l’entreprise. Cette organisation spécifique pose des problèmes de gestion des hommes ; la difficulté réside dans son caractère

Les données sont obtenues par questionnaire rempli par un cadre responsable de la gestion des ressources humaines à l’emploi de 312 organisations. Les résultats montrent que contrairement à ce que suggère la littérature normative, les facteurs de contingence habituellement utilisés pour justifier le recours à la rémunération basée sur les compétences n’ont pas d’influence sur l’adoption de cette pratique. De même, la rémunération basée sur les compétences n’a pas les effets attendus en termes de gestion

existence d’être social, en quoi le faudrait-t-il ? Se questionner s’ « il faut » n’est envisageable que si l’action est contingente, qu’elle peut ne pas être. L’obligation que questionne le « faut-il » de l’énoncé n’étant pas une fin, comme l’est la nécessité mais bien une valeur, elle ne peut s’imposer qu’a un être libre de choisir d’admettre ou de ne pas admettre les opinions qu’il recueille. Nous envisagerons d’abord l’homme dans sa condition d’animal homme et dans celle d’animal politique puis dans

Nous la trouvons dans la préface de la partie IV consacrée à la servitude humaine et à la force des sentiments, où Spinoza annonce le plus explicitement du monde « cet Être éternel et infini, que nous appelons Dieu ou la Nature, agit avec la même nécessité qu’il existe ». Le Dieu de Spinoza n'est donc ni plus ni moins que la Nature, et la connaissance de Dieu dont il fait la source de la puissance humaine n'est finalement que la science en général telle que nous la pratiquons aujourd'hui. De la même

cas chez Hume de se construire une identité personnelle. -Qu'est-ce qui nous empêche dès lors de dire à la fin de notre vie " je suis tout ce que j'ai été." ou encore " je suis la somme de mes actes." ? Rien, à condition de ne pas oublier la contingence radicale de ce que je suis. Il ne faut pas transformer le je en destin. Mais encore une fois, n'est-ce pas la structure de la phrase qui créerait la fiction d'un sujet autonome ? Hume ouvre effectivement cette voie mais ne l'exploite pas. Au

par l'application d'une règle et sous l'autorité des leaders, assure la coopération des individus à une oeuvre commune, dont elle détermine la mise en oeuvre et répartit les fruits » (F. BOURRICAUD) → notion complémentaire : cette organisation va nécessité des règles, il va falloir définir qui fait quoi, puis va se construire des relations informelles et des leaders vont apparaître, certains vont diriger, et d'autres vont suivre. Il peut y avoir des buts individuels dans une organisation → il peut