Nicolaïsme

dû sa carrière à un physique avantageux et à la faveur de la reine douairière Agnès de Courtenay (mère de Baudouin IV), Ridley Scott nous montre un personnage proche de la réalité (d’où son authentification) : jouisseur, faible, lâche, adepte du nicolaïsme (mariage des clercs) mais toutefois un véritable exégète du droit canon (il a étudié à l’université de Bologne). Le film aurait pu néanmoins insister sur son aisance aux manœuvres et intrigues politiques au sein de la cour. Ajoutons qu’il fut le

favorable à la primauté romaine pour lutter contre la féodalité. Les idées sont conservées par le moine Humbert de Moyenmoutier dans une Collection en 74 titres, qui prône le droit romain. ⁃ 1058 : Il met en place une nouvelle doctrine autour du nicolaïsme (prêtres indignes), simonie (trafic de fonctions ecclésiastiques) et investiture laïque (ce sont eux qui sont à l’origine de ces maux). Il faut donc s’allier à la papauté pour y mettre fin, et libérer l’église de la tutelle impérale. 2ème étape

développer la curie pontificale qui contrôle ce qui se fait dans l'Église. Enfin, le pape multiplie les interventions pontificales. L'une des plus connues est matérialisée par le Décret de 1059 réformant l'élection pontificale et interdisant le nicolaïsme et la simonie. 34/ La Querelle des deux glaives (Crassus et Salisbury) Les deux glaives est l’expression pour désigner les 2 pouvoirs. Le pouvoir temporel est avant tout un pouvoir de coercition. Le pouvoir spirituelle se traduit par le pouvoir

Germanie sont hantés par le voyage d'Italie, qui leur permet de se faire sacrer empereurs. La papauté passe sans cesse du joug impérial à celui de l'aristocratie romaine. Or, l'élite de la chrétienté, attachée à la lutte contre la simonie et le nicolaïsme, veut pouvoir compter sur une papauté indépendante. Soutenu par le marquis de Toscane et par le Normand Robert Guiscard, dont il accepte la vassalité pour les Pouilles et la Calabre (1059), le pape Nicolas II supprime le contrôle du roi de Germanie

et la réforme n’est qu’une partie des aspirations spirituels de la population européenne. Condamnation violente des 3 grands maux de l’église catholique : Le Nicolaïsme, le népotisme et simonie. Simonie : vendre des choses pieuses. Népotisme : (< neveu) le fait de placer à des postes importants les membres de la famille. Nicolaïsme : mariage des prêtres. On s’attaque également à l’ignorance du bas clergé.  Ces protestations ne sont pas seulement de la part des protestants mais aussi

la violence et les hérésies Pendant la période féodale, les synodes s'attachent à lutter contre les violences seigneuriales (Paix de Dieu, Trêve de Dieu), la vente des sacrements et des fonctions ecclésiastiques (simonie), les clercs indignes (nicolaïsme), et enfin contre les hérésies. Ces dernières se développent sporadiquement (autour de l'an Mil) et, très rarement, s'installent durablement comme en Languedoc, avec le catharisme ou en Bohême, avec Jean Hus (1369 – 1415), etc. À partir du XIIIe

des églises. Cette réforme est complexe et touche à beaucoup de domaines, le but de cette réforme étant d'affirmer son indépendance et de la libérer de la souillure u monde. Au plan spirituelle, la réforme interdit et pénalise le nicolaïsme et la simonie. le nicolaïsme c'est le trafique des choses simples: tous ce qui permet de se procurer de l'argent en s'appuyant sur la foie religieuse par exemple encourager les fidèle à faire des dons afin d'obtenir le pardon devant dieu. La réforme grégorienne

elle existe, est donnée. ( Le rôle de l’Eglise Népotisme : Attitude de certains papes qui accordaient des faveurs particulières à leurs parents. Simonie : Trafic d’objets sacrés, de biens spirituels ou de charges ecclésiastiques. Nicolaïsme : Pratique de ceux qui n’admettaient pas le célibat ecclésiastique, mariage ou concubinage des prêtres. Paix de Dieu : Vise à interdire, sous peine de châtiment ecclésiastiques, de s’attaquer aux clercs, de forcer la porte des églises, d’arrêter

quand elle existe, est donnée. ( Le rôle de l’Eglise Népotisme : Attitude de certains papes qui accordaient des faveurs particulières à leurs parents. Simonie : Trafic d’objets sacrés, de biens spirituels ou de charges ecclésiastiques. Nicolaïsme : Pratique de ceux qui n’admettaient pas le célibat ecclésiastique, mariage ou concubinage des prêtres. Paix de Dieu : Vise à interdire, sous peine de châtiment ecclésiastiques, de s’attaquer aux clercs, de forcer la porte des églises, d’arrêter

réaction qui commence sous le pouvoir de l’Eglise pontificat de Nicolas II et se poursuit sous celui du pape Grégoire VII (1073-1085) et sa réforme grégorienne. - Enjeu social : rétablissement d’une vie digne dans le Clergé = mesures contre le nicolaïsme et la simonie + oppositions à l’institution et croyances jugées hérétiques réprimées. -Enjeu politique : s’affranchir du pouvoir des princes, du pouvoir temporel, pour imposer en Europe le pouvoir de l’Église de Rome = interdit l’investiture