Nicolaïsme

(trafique des biens ecclésiastiques). Au niveau du clergé inférieur : lui aussi est simoniaque, c’est-à-dire qu’ils se font payer pour tout se qu’ils font, ils sont d’une ignorance tout a fait totale, de plus, la plupart des clercs sont mariés : nicolaïsme, les prêtes peuvent-ils être marié? Avant XIème s, oui, le problème étant que ceux-ci avaient des enfants et comme on été dans l’hérédité donc ils trouvaient normale que leurs fils leur succédait or ceci était choquant, car on est pas forcément

autrement dit qui vit au contact de la population, dans le monde. Le clergé régulier comprend les moines soumis à une règle, qui vivent en retrait du monde ou du moins avec obligation de vivre en communauté et astreints à l’obéissance. Nicolaïsme Référence biblique au partisan des nicolaïtes identifiés comme une secte de fornicateurs. Simonisme Référence à un passage de la Bible où Simon le Magicien offre de l’argent à l’apôtre Pierre pour acquérir les pouvoirs de l’Esprit

monarque étant le pape. Pour mettre en place cette réforme, Grégoire VII met en place certaines règles : impossibilité de prêter hommage, ou de recevoir hommage ; lutte contre la simonie ( ?) = contre le marché des objets pieux ; lutte contre le nicolaïsme ( ?) = pratique de mariage ou de concubinage des prêtres (l’introduction du célibat des prêtres a été introduite au 10e s. et a d’abord concerné le haut clergé=évêques, puis s’est étendu a l’ensemble du clergé). Pour faire respecter cette immense

église sale et souillée; c’était une église sanctifiée, pure; “dix vierges allèrent à la rencontre de l’Époux”. Qu’est-ce que cela signifie? Ce sont toutes des églises. Non pas jusqu’ici, dans le Catholicisme; mais jusque dans les dénominations, le Nicolaïsme. Les Baptistes prêchent la seconde venue de Christ; les Méthodistes prêchent la seconde venue de Christ; les Méthodistes prêchent la seconde venue de Christ, les Nazaréens prêchent la seconde venue de Christ, les Pèlerins de la Sainteté prêchent

l’église catholique => réforme grégorienne Grégoire VII (1060). Cette réforme réagit contre les pratiques qui s’étaient instaurées dans la pratique féodale et qui essaye de restaurer des règles de vie conforme à la pureté primitive de l’église (nicolaïsme et simonie). Quelques années avant, avait eu lieu le schisme entre l’église d’orient et d’occident. C’est cette réforme qui fait du pape le chef de l’église catholique dite église catholique romaine depuis le Schisme. Passage à la monarchie pontificale

en place par les Carolingiens. Font l’objet de transactions de droit privé. Crise morale : - simonie : trafic de charges spirituelles ou de sacrements contre des espèces sonnantes et trébuchantes (du nom de Simon le magicien) ; - nicolaïsme ; oblitération de la dimension religieuse de la fonction sacerdotale pour faire de celle-ci un instrument de domination des hommes ou de plaisir personnelle. Nombreux exemples d’évêques indignes, vivant en grands seigneurs guerriers, dispersant

l’Eglise aux nouveaux vassaux). L’empereur romain nomme les évêques et le pape. Il y a trois grands problèmes : 1. les investitures ecclésiastiques sur lesquelles il y a une emprise laïque 2. la simonie (trafic des charges ecclésiastiques) 3. le nicolaïsme = mariage des prêtres (vie licencieuse du clergé) Une première réaction : l’abbaye de Cluny Fondée en 909 par Guillaume Cluny. d’Aquitaine. Reçoit en 932 du pape Jean XI le privilège d’exemption, c.a.d., l’affranchissement de la domination des

biens et des fonctions ecclésiastiques notamment le frère du comte qui est nommé évêque ou abbé c’est un seigneur qui passe plus de temps a la chasse au bordel qu’autre part. On veut lutter contre la simonie : trafic de bien ecclésiastique et le nicolaïsme : mariage des clercs . Les réformateur ecclésiastique veulent lutter contre ces mots et donc instaurer une hiérarchie indépendante des autorité séculières . Les moines de Cluny veulent restaurer un ordre moral et politique au sein de l’Eglise

faveur et fonction ecclésiastique accordées indument par certains papes à leurs « neveux », euphémisme qui désigne leurs fils naturels, et aussi l’hérédité, s’installent dans les fonctions papale et épiscopale. Cette déviation porte le nom de « nicolaïsme », du nom d’un diacre marié, Nicolas. Un autre vice s’insinue dans l’Eglise : la « simonie », du nom de Simon le Magicien. La simonie est l’achat ou la vente, par une volonté refléchie, d’une chose spirituelle : un sacrement, une fonction

les curés des petites églises et en les considérant comme leur patrimoine. Ces curés sont amenés à vendre leurs services religieux pour vivre et même parfois leur charge. Cette simonie se généralise bientôt à tous les niveaux de l’Eglise et le nicolaïsme se développe également : le non-respect des obligations des ecclésiastiques comme le célibat. Les moines entament une réflexion qui les pousse à croire que si l’Eglise est en si mauvais état, c’est en partie parce que les laïques ont la mainmise