Nietzsche 335

Nous avons tous fait l’expérience d’un sentiment de vengeance : une humiliation réelle ou vécue, une blessure ou un acte que nous voudrions faire subir à autrui. La vengeance se définit en effet comme «l’action par laquelle une personne offensée, outragée ou lésée, inflige en retour et par ressentiment un mal à l'offenseur afin de le punir. La plupart du temps la vengeance n’est pas directe ou elle est intégrée dans un système de compétition sociale. Il s’agit ici de savoir si la vengeance fait partie

Dans ce poeme d’albert lozeau, il est vrai qu’il y a beaucoup d’ambiguité par rapport au sentiment qu’il éprouve envers l’automne, qui est considéré comme sa saison favorite. Selon moi, Lozeau est charmé par la beauté de celle-ci. Cependant, comme le titre de son poeme l’indique, il y voit aussi le côté sombre de ce charme. En effet, il accuse l’automne de mener les gens vers la mort, plus précisement ceux possédant une âme faible. Selon moi, la raison pour laquelle l’auteur pense cela s’explique

monsieur, est comme un tas d’ordure. » ; Dès lors, vous pouvez vous demander si l’oubli n’est pas une condition de l’existence ou si, pour le dire en d’autres termes, il n’y a pas une vertu de l’oubli. Ici, vous pouvez vous reporter aux analyses de Nietzsche au début des Secondes considérations inactuelles, texte dans lequel il aborde notre rapport à l’histoire et la nécessité de ne pas courber l’échine devant le passé. Il montre ainsi dans l’extrait indiqué au bas de cette réponse que l’oubli est sans

philosophiques que nous nous posons, de façon rationnelle, tout en ayant recours à la sagesse et à l’éthique. Par la suite, toujours selon ce même dictionnaire, la vie provient du mot latin vita, qui signifie « existence ». Selon Friedrich Wilhelm Nietzsche (1844-1900), un philosophe ayant une grande influence sur la philosophie contemporaine1, la vie est synonyme de « volonté de puissance ». C’est donc un effort constant. C’est également quelque chose qui anime tous les vivants et ce, depuis toujours

L’opposition des 2 mondes ou il vit : Jacques meurt d’ennui à l’école et dans le monde ou il vit, ces endroits ou il faut se tenir bien droit et jouer le rôle des gens respectables. Il vit dans un monde ou la violence punitive s’exerce de haut en bas .Les punitions qu’on inflige au petit Jaques à l’encontre du petit Viltare.Car Jaques est alors fils de pion et Viltare fils de professeur. A coté de cela ,il y a un univers tout autre ou l’on peut être vrai, ou il est possible d’être soi-même

réflexion et la critique de Nietzsche sur la philosophie platonicienne. En effet Nietzsche prône le retour aux mythes, à l'illusion, à l'apparence car il faut de la fiction et de la vérité pour créer quelque chose de concret. Pour bien expliquer cette idée prenons Apollon et Dionysos, ces deux dieux sont opposés mais nous avons besoin des deux pour qu'il y est une création musicale. « L'art traite l'apparence en tant qu'apparence, il ne veut donc pas tromper, il est vrai » Nietzsche Transition : Donc

large maximum * inconscience : Sens 1: Perte de conscience momentanée. Sens 2: Absence de jugement. * valeur : Qualité ou signification d'une chose abstraite (le vrai, le bien). C'est à partir de Nietzsche que la notion de valeur a été introduite dans la philosophie. Nietzsche a critiqué de façon radicale les valeurs chrétienne, trouvant l'origine de toute valeur chez l'homme. * excuse : C�est une justification ou une échappatoire : c�est une raison apportée pour se disculper

car l'homme pourrait s'évader et se faire plaisir grâce à ce travail ? Dans un premier temps nous tenterons d'expliquer si le travail est réellement une malédiction, avec les pour et les contre et dans une seconde partie nous parlons du texte de Nietzsche sur la glorification du travail - Le travail serait-il une malédiction? En tout les cas c'est ce qu'affirme le 3ème chapitre du livre de la Genèse. Après qu'Adam goutta au fruit défendu, la pomme, dieu se retourna vers lui et dit « à force de

Lorenzaccio (Musset) Acte 1 Scène 4 pages 30 à 32, lignes 103 à 183 Dans cette quatrième scène, Lorrenzacio nous apparaît plus ambiguë qu’il ne semble l’être, alors que le Duc se complaît toujours dans sa débauche. LECTURE METHODIQUE PAR AXES : I. Le personnage du Duc. II. Le dualisme de Lorenzo. III. La scène de l’Epée. I. LE PERSONNAGE DU DUC. Le Duc nous a déjà été présenté dans les scènes précédentes comme un personnage débauché aux moeurs des plus douteuses : prostitution

L’être et le néant, SARTRE Dans le texte « L’être et le néant », Sartre semble vouloir exprimer sa vision de l’amour. Pour lui, on ne peut désirer l’asservissement, le mécanisme, l’automatisme d’un être aimé, car ça serait la définition même d’un amour irréel, d’un amour déterminé et établi psychologiquement, l’amant serait ainsi comparable à un automate, ça ne serait plus de l’amour, ni même un sentiment et deviendrait presque irrationnel. Mais il faudrait que l’amant puisse pouvoir posséder