Nietzsche Aussi Longtemps

d'Aristote, contrairement à Erasme, par exemple. Ainsi, dans sa Préface (Livre I), il explique: "Albert a montré l'erreur d'Aristote touchant à l'arc-en-ciel, en ce qu'il dit qu'il n'advient pas la nuit, chose notoirement fausse, et par conséquent aussi la raison d'Aristote, comme à vrai dire il n'y a rime, ni raison." Enfin, Bodin, malgré toute son érudtion, ne tient jamais compte dans son ouvrage de l'existence d'une culture populaire qui colporte ces histoires de sorcellerie et de lycanthropie

Passez entre les fleurs et regardez : Au bout du pré c'est le charnier. Pas plus de cent, mais bien en tas, Ventre d'insecte un peu géant Avec des pieds à travers tout. Le sexe est dit par les souliers Les regards ont coulé sans doute ; - Eux aussi Préféraient les fleurs * A l'un des bords du charnier, Légèrement en l'air et hardie Une jambe - de femme Bien sûr - Une jambe jeune Avec un bas noir Et une cuisse Une vraie, Jeune - et rien Rien. * Le linge n'est pas Ce qui pourrit le plus vite

basée sur une vision économique et sociale du monde : celle d'une partie du mouvement anarchiste. Si les préoccupations écologiques sont latentes chez les premiers penseurs de l'anarchisme, comme chez William Godwin (pré anarchiste) qui hésita longtemps entre une glorification de l'homme maître de la nature et la recherche d'une loi naturelle dans laquelle l'évolution de l'espèce humaine devrait s'inscrire, elles semblent être évidentes chez Pierre Kropotkine et Elisée Reclus. Tous deux sont

devoir, est-ce renoncer à sa liberté ? ». La liberté est chérie des poètes, qui écrivent son nom sur des pages tremblantes, des sculpteurs, qui l’érigent illuminant le monde, des peintres, qui la dessinent guidant le peuple. Chez les philosophes aussi, elle a de nombreuses émules qui cherchent à libérer l’homme de ses chaînes, notamment de celles de l’ignorance. Mais comment concilier l’idée de liberté et la nécessité d’obéir, de faire son devoir ? Car toute notre vie, nous devons faire face à des

plus seulement comme un vécu , un état. C’est ce qui se passe quand je porte attention à quelque chose dont j’ai par ailleurs la sensation. Il y a pas seulement le froid, il y a désormais le froid pour moi. - d’appropriation, de synthèse : il y a aussi moi dans le froid. Percevoir qu’on perçoit, c’est en même temps que l’on prend conscience de l’état de conscience ( distanciation ) , prendre conscience que cet état de conscience est le mien : c’est moi qui ait froid. Ce qui signifie qu’en même temps

conformiste ; ainsi, le conformiste suit les idées actuelles de l’opinion publique ; en politique, si l’opinion général est socialiste, on sera socialiste ; si elle devient subitement libérale, on sera ainsi libéral (notons qu’en politique, on parle aussi d’opportunisme pour désigner cette attitude). Le conformisme s’implique donc dans un processus d’intégration que l’on définit communément par la formule suivante : « Faire comme les autres, être comme les autres, ne pas se distinguer des autres ».

tirer du néant. Au sens artistique, c'est qqe chose de nouveau. Lien avc création divine =>un artiste est capable de faire ce qui n'a jamais été fait. C'est pk certaines religions condamnent l'art car interdit de rivaliser avc Dieu. L'art, c'est aussi le domaine des chefs d'oeuvre : objets exceptionnels, de contemplation, susceptibles de provoquer une émotion, un plaisir esthétique. Il est à relié au sens artisanal : objet de maitrise accompli par un apprenti qui veut passer maître, qui passe de

« Aspects philosophiques », « Aspects littéraires » et « Réception et actualité » — est un découpage habituel de la critique beauvoirienne, mais Thomas Stauder insiste, à juste titre, sur la non-étanchéité des frontières entre les sections, trop longtemps perçues comme des champs cloisonnés : « Ces entrecroisements peuvent même constituer un avantage pour le lecteur ; il comprendra que les différentes parties de l’œuvre beauvoirienne ne sont pas isolées mais étroitement apparentées […] » (p.11). La

effort par lequel la conscience se détermine elle-même, devient puissance de réalisation et de création d’e01lle-même, le désir est liberté. II) Le désir a une réelle positivité néanmoins ce qui enchante la vie peut aussi désespérer, ce qui est principe de création peut être aussi source de destruction, ce par quoi on tend vers la liberté, la moralité et le bonheur peut être vecteur de servitude, de malheur et d'immoralité. 1)Schopenhauer montre bien le lien du désir au besoin et au manque. Ainsi

en quelques minutes sans se déplacer sur Internet et même là, l’abstention a franchi la barre des 50%, c’est sans doute un détail en apparence mais bien significatif de la totale indifférence à l’égard des élections au Parlement européen. A noter aussi, dans le même ordre d’idées, que les britanniques, les suédois et les danois ne font pas parti de la zone-euro alors qu’ils respectent toutes les conditions requises. Ce choix montre à quel point l’Europe ne reste qu’un « idéal d’états unis ». De ce