Nietzsche Généalogie De La Morale

nature mais c’est un roseau pensant. » « Toute notre dignité consiste donc en la pensée. C’est de là qu’il nous faut relever et non de l’espace et de la durée, que nous ne saurions remplir. Travaillons donc à bien penser : voilà le principe de la morale. » La conscience ouverte au monde : Phénoménologie : mettre en évidence les problèmes / critères d’objectivité de ces représentations en décrivant leur façon spécifique de se présenter à la conscience. On s’aperçoit qu’on appréhende toujours

philosophes illustres). La forme moderne et contemporaine de la théorie et de la doctrine du désir comme besoin est ce qu’on pourrait appeler la thèse du désir comme devoir : nous ne devons satisfaire que ce que nous estimons bon, affirme le rationalisme moral, c’est-à-dire que ce que notre raison dégage comme principe nécessaire, universel (Kant). Ainsi, l’analyse philosophique classique des désirs a-t-elle toujours fondamentalement consisté dans l’affirmation d’une puissance rationnelle de domination de

rien de concret, d’objectif, n’est pas un objet et est présupposée dans l’acte même par lequel elle est pensée. Parle-t-on de tout organisme vivant, de toute vie humaine ? La démarche est différente mais, dans tous les cas, dictée par une posture morale, religieuse, écologique… Si le respect est une notion claire et rigoureusement définie –par Kant notamment –la vie n’est en revanche ni une réalité, observable et indiscutable, ni une substance. Toute vie, en tant que vivant et vécu, a-t-elle des

de la nature, mais c’est un roseau pensant[…] Toute notre dignité consiste en la pensée. C’est de là qu’il nous faut relever et non de l’espace et de la durée, que nous ne saurions remplir. Travaillons donc à bien penser : voilà le principe de la morale». Pensées 347-348, Pléiade. Conclusion Tout homme possède une dignité : par nature ? Quoi qu’il fasse ? Quoi qu’il pense de lui-même ? On remarque un hiatus entre la conception stoïcienne (l’homme doit s’élever pour s’accomplir et devenir digne

moderne, et a entraîné réhab° du devoir de mémoire. II. Le devoir de mémoire réhabilité « Etre dans le vent, une ambition de feuille morte » (Gustave Thibon) Modernité trouve ses limites, et redonne au devoir de mémoire tte sa dimension morale. Ds les socT africN, culte de l’ancêtre reste très présent. ( diffT d’intégration. A. Les impasses de la modernité Remise en cause de la rupture délibérée av le passé. On commence par ex à réhabiliter les seniors. Remise en cause

religion Introduction 2 I. Le fait religieux 2 A. Essai de définition du fait religieux 2 1. La dimension sociale 2 2. Le profane et le sacré 3 3. La règle du jeu 4 B. La religion comme dispositif moral et politique 4 1. Religion et morale 4 2. Religion et politique 5 C. Approche phénoménologique : les sentiments religieux et mystiques 6 1. Le sentiment « océanique » 6 2. Le frisson métaphysique 6 3. L’amour 8 II. Logique de la religion

Qu'est-ce qui fait la valeur d'une valeur morale? Les valeurs morales, idées qui guident le jugement d'un individu à l'appui d'un « code moral », ou système de référence éthique, semble s'imposer à la conscience individuelle comme aspiration à un idéal, ce dernier relevant au premier abord du « bon » ou du « juste ». Si l'étude sociologique ou anthropologique est susceptible de révéler la transmission d'une valeur morale par une idéologie singulière, une religion, une société humaine, l'homme

après lui. Sommaire [masquer] 1 Le cogito cartésien 1.1 Origine 1.2 Dans la philosophie de Descartes 1.3 Portée 2 Postérité 2.1 Un principe à inscrire dans son contexte 2.2 Une métaphysique oubliée ? 2.3 Kant 2.4 Auguste Comte 2.5 Nietzsche, structuralistes 2.6 Husserl 3 Cogito ergo sum et concepts philosophiques 3.1 Concepts philosophiques apparentés 3.2 Le sujet 3.3 Cause première et causalité 3.4 Cause finale 3.5 Cogito et substance 4 Citations 5 Anecdotes 6 Annexes 6

Ici « tu dois » comporte une double signification, la première se rapporte au devoir des individus. Le devoir représente une obligation morale envisagée comme une loi que l'on se donne à soi-même, il est donc en adéquation avec la volonté de l'individu. A l'opposé, « tu dois » évoque également la contrainte, celle-ci consiste en une violence physique ou morale exercée sur un individu pour l'obliger à agir contre sa volonté ou pour l'empêcher d'agir selon sa volonté (de la suivre). La contrainte

Quelques lignes plus loin, Camus relativise toutefois les raisons du sang aux nécessités du réel et encadre la révolte : "Le Paris qui se bat ce soir veut commander demain. Non pour le pouvoir, mais pour la justice, non pour la politique, mais pour la morale, non pour la domination de leur pays, mais sa grandeur." (2) Voilà établis, six ans avant sa parution, les fondements de 'L'Homme révolté'. Le drame n'habite pas la violence elle-même, mais sa justification ou son institutionnalisation. L'odeur des