Nietzsche La Presse

fondamentales ». 2.Et surtout : le génie ne signifie pas l'absence de toute règle, mais se définit par l'invention de nouvelles règles ou plutôt par l'invention d'un style.Extrait très riche en dépit des apparences, et qui nous permet d'approcher de plus près la question du génie. 1/ Niveau le plus superficiel mais intéressant malgré tout : la représentation qui est faite de l'individu social Mozart. Ce qui est suprenant dans le film est que mozart nous est dépeint comme un individu plutôt grossier et

qu'on souhaite faire quelque chose, on rêve qu'on le fait. La vie consciente, elle, a pour difficile tâche de concilier le désir et la réalité. Vivre, c'est ins¬crire ses désirs dans une réalité qui n'était pas faite pour les accueillir. D'après Nietzsche, l'homme est pour le moins enclin à confondre son besoin de croire à quelque chose avec une quête de vérité. En effet, « croire, c'est tenir pour vrai ». Or, pour vivre et pour agir, nous avons sans cesse besoin de croire. Ce que nous appelons «

alors ils sont allés consulter l'oracle qui lui dit d'envoyer sa fille sur une colline et l'attacher sur un rocher et un dragon( symbole de l'énergie sexuelle) volant amènera sa fille . Le père envoie sa fille, le zéphyr arrive et envoie sa fille près d'un château. Psyché est dans le château, elle s'endort dans un lit, et toutes les nuits un mystérieux amant la rend visite : EROS ( plaisir). Pb : les deux soeurs de Psyché étaient très jalouses et ont convaincu que ce mystérieux visiteur est un

Rouge et le Noir, en 1830, Stendhal a quarante-sept ans. Ce n'est que son second roman, après Armance, publié trois ans plus tôt. Il faut savoir que sa carrière d'écrivain-romancier n'a duré que douze ans. Cependant, Stendhal est considéré selon Nietzsche comme «le dernier grand philosophe Français». Le "monde" du roman. L'histoire commence en 1826, époque contemporaine à l'auteur puisque Stendhal a publié Le Rouge et le Noir en 1830. Dans cette oeuvre, Julien Sorel, le héros, fils d’un

nombreux philosophes tels qu’Aristote, Plotin ou Saint Augustin. On peut également citer différents écoles qui s’inscrivent tout droit dans cette lignée: les cyniques, l’école cyrénaïque ou mégarique. Plus près de nous, on trouve des philosophes très célèbres tels Montaigne, Hegel ou encore Nietzsche. A noter aussi que Xénophon a également écrit une apologie de Socrate. II) Comprendre A. Le sujet traité. Cette œuvre a été écrite par Platon sous la forme d’un véritable discours, celui

qui possède la vérité, ne serait possible que par la philosophie ou les maths car il faudrait utiliser un raisonnement abstrait qui nous détourne des images. De même, si le libre arbitre était une illusion, alors la vérité le serait elle aussi. Nietzsche, philosophe allemand, y répond par l’affirmatif. Cette illusion ne serait qu’une invention pour punir et juger l’homme. Ainsi, une personne extérieure qui nous dit une vérité même mauvaise nous permet de sortir de nos illusions. Cela nous empêchant

sorte de construction plus ou moins illusoire. Pour Nietzsche, loin d'être un facteur de libération, l'État pourrait bien être une de ces constructions imaginaires dont la fonction est de tromper les hommes : il dénonce en l'État un moyen, le plus redoutable produit par l'histoire, de réduire l'humanité à une masse amorphe et dépossédée de sa force vitale et créatrice. Si pour Hegel l'État est la condition même de la liberté de l'individu, pour Nietzsche au contraire l'individu libre ne doit pas se soumettre

Théodicée augustinienne 3.5 Les Présocratiques 3.6 Platon et néoplatonisme 3.7 Stoïcisme 3.8 Épicurisme 3.9 Cyrénaïsme 3.10 Gnosticisme 3.11 Spinoza 3.12 Leibniz 3.13 Kant - Définition du mal 3.14 Friedrich Wilhelm Joseph von Schelling 3.15 Nietzsche 3.16 John Rawls - Théorie de la justice 3.17 Norman Spinrad 3.18 Marxisme 3.19 Michel Henry 4 Source du mal 5 Le problème du mal et la croyance en Dieu 5.1 Différentes conceptions de Dieu 5.2 Différentes conceptions du mal 5.3 Difficultés

S5 Manque cours du 17/09/2010 23/09/2010 II) La relation entre Nietzsche et Schopenhauer 1. Une culture de la Sainteté Qu’est-ce que faire un homme dans la modernité? On ne peut pas faire un homme sans maitre mais ce maitre n’en est pas un s’il ne conduit pas à une surhumanité. Dans le texte on y voit émergé quelque chose de très étrange car d’une part Nietzsche développe une culture de la sainteté ( Nietzsche célèbre Schopenhauer) ; d’autre part en quoi l’œuvre peut être concerné

possible que lorsqu'on mène une vie libérée de la contrainte du travail : cette idée ancienne viendra jusqu'à nos jours, portées par les anciennes classes dominantes (le travail est l'activité ignoble par excellence). On retrouve aussi cette idée chez Nietzsche et chez d'autres auteurs nostalgiques du passé grec et elle y est utilisée comme critique d'un monde moderne soumis à la rationalité technicienne. Pour cette raison même, la critique du travail comme étant, par essence, esclavage pourra se retrouver