Nietzsche La Presse

qu'amour n'est féminin qu'au pluriel." [ Albert Willemetz ] "Les Français sont si fiers de leurs vins qu'ils ont donné à certaines de leurs villes le nom d'un grand cru." [ Oscar Wilde ] "Tout ce qui a son prix est de peu de valeur." [ Friedrich Nietzsche ] "Ne rien faire n'est vraiment agréable que si l'on a beaucoup de travail en retard." [ Jerome K. Jerome ] "La vie c'est comme le football, seul le résultat compte !" [ Anonyme ] "L'amour, c'est de la physique, le mariage c'est de la chimie." [

recommander à l'enfant de ne pas suivre n'importe quel individu, ou au vieillard isolé de ne pas ouvrir à n'importe qui. Pourtant notre auteur ne doit pas être si naïf puisqu'il dénonce la naïveté de l'attitude animiste. Si l'on regarde de plus près on s'aperçoit que la maxime morale d'ALAIN s'adresse à celui qui est en position de force par rapport à autrui. Que ce soit l'éducateur, le mari ou l'homme politique, il s'agit toujours de celui qui n'est pas menacé dans sa survie par l'autre

il apparaît. D’une démarche lente mais déterminée, il s’approche. Le sourire est déjà malicieux, l’œil aux aguets. À la question de savoir s’il connaît Liège, il évoque d’emblée le « Torê », symbole fédérateur des beuveries estudiantines. Et pendant près de deux heures, Jacques Vergès va, pour nous, évoquer ses souvenirs, les destins qu’il a croisés (Mao, Sankhara, ses confrères défenseurs du FLN, Barbie, Schleicher), se laisser aller à narrer de savoureuses anecdotes ou décocher quelques traits lapidaires

(fortement influencé par la philosophie orientale[5]) que Richard Wagner deviendra végétarien et défenseur de la cause animale dont il développera une apologie dans Art et Religion[6]. Il transmettra plus tard, mais temporairement, ce point de vue à Nietzsche. La seconde source d'inspiration de Wagner fut le poète et écrivain Mathilde Wesendonck, la femme du riche commerçant Otto von Wesendonck. Il rencontra le couple à Zurich en 1852. Otto, grand admirateur de Wagner, mit à sa disposition une petite

par la seule charité, insuffisante pour prendre en compte la société dans son ensemble La charité privée – non pas à but lucratif, mais exercée par des personnes individuelles- a été remise en cause par des philosophes tels que Spinoza, Kant ou Nietzsche, arguant que l'Etat aurait un rôle à jouer dans la lutte contre la pauvreté. Dès le XVII e siècle, Spinoza affirme que « porter secours à chaque indigent dépasse de loin les force et l’intérêt d’un homme particulier. Car les richesses d’un homme

quelques temps après, le 27 juillet 1890, il se tira un coup de revolver et décéda deux jours plus tard.Contexte historique : Le 8 mai 1889, pleinement conscient de son état suicidaire, il quitte Arles, ayant décidé de lui-même d'entrer dans un asile près de Saint-Rémy-de-Provence où il va y rester pendant une année. Son état varie de la dépression profonde aux phases de rémission et d’activité intense, qui entraînent de nouvelles modifications de son style : il donne à ses tableaux les mouvements mêmes

autres comme une méchante moquerie ou une insulte. L'humour permet à l'Homme de prendre du recul sur ce qu'il vit, comme le soulève Joseph Klatzmann dans son ouvrage L'Humour juif[2] en souhaitant « rire pour ne pas pleurer ». Plus pessimiste, Nietzsche affirme « L'homme souffre si profondément qu'il a dû inventer le rire », se rapprochant du cynisme. Au sens strict, on distingue l'humour, manière de faire rire de soi, et l'esprit, manière de faire rire des autres. Sommaire [masquer]

L’homme peut se connaître prcq l’h est un être chez lequel il y a unification du monde intérieur et des perceptions intérieures. En cela, l’homme est supérieur à l’animal, dont nous savons qu’il n’est qu’une simple machine. Première critique :NIETZSCHE Il s’en prend surtt à Descartes. En effet, il considère que le « je pense » est une imprudence de Descartes. Voici le raisonnement : à partir du moment où je regroupe le constat qu’il y a de la pensée en moi et le constat que j’existe

consentement qu’il suppose. Le suicide, comme le saut, est l’acceptation à sa limite (1, 256). Si Dieu existe, explique Camus, tout dépend de lui et nous ne pouvons rien contre sa volonté. S’il n’existe pas, tout dépend de nous. Pour Kirilov comme pour Nietzsche, tuer Dieu, c’est devenir dieu soi-même – c’est réaliser dès cette terre la vie éternelle dont parle l’Évangile (1, 293) « La faculté de la mort » Et en passant au plan « phénoménologique » on voit que le suicide, ou la mort volontaire sans « nécessité

nous sommes des carcasses en puissance. Si je vais chez un boucher, je trouve toujours surprenant de ne pas être là, à la place de l’animal »[9]. On retrouve également la pensée philosophique, de Kant à Hegel et de Engels à Nietzsche, qui ajoute à la pensée anarchiste leur réflexion sur l’individu comme le noyau qui doit conquérir sa liberté avant d’enter dans la société[10]. Les artistes du body art, adhèrent eux aussi à cette conception « Pour moi, la destruction était une