Nietzsche Le Dernier Homme

personnes), la théorie de Nietzsche est également un exemple majeur du refus de l'État. Dans le chapitre « De la Nouvelle idole » de son livre Ainsi parlait Zarathoustra, Nietzsche nous fait par la voix du personnage Zarathoustra – repris à d'uniques fins littéraires par l'auteur – une virulente critique de l'État. Nietzsche développe en parallèle sa théorie du surhomme et sa vision dualiste des Hommes ; en effet, il distingue « les grandes âmes » et « les destructeurs ». Nietzsche soulève d'importantes

histoire, politique, littérature et philosophie. Sommaire [masquer]  * 1 Nihilisme politique * 2 Nihilisme et littérature * 3 Le nihilisme philosophique * 3.1 Le nihilisme de Gorgias ou ses propos sur le non-être * 3.2 La pensée de Nietzsche * 3.3 La pensée de Heidegger * 3.4 La pensée de Léo Strauss * 4 Nihilisme et bouddhisme * 5 Notes et références * 6 Voir aussi * 6.1 Bibliographie * 6.2 Articles connexes | Nihilisme politique Articles connexes : Narodnaïa

tradition en montrant que c'est la raison ("raison pratique", en l'occurrence) qui nous permet de voir où est notre devoir. Notre devoir, en effet, ne coïncide pas forcément avec nos goûts et nos préférences, ni avec nos sympathies (on a vu ça l'an dernier rappelle toi). Si nous ne venions en aide qu'aux personnes que nous aimons nous risquerions mal agir (en les aidant alors qu'elles ne le méritent pas ou/et en n'aidant pas d'autres qui le méritent). D'autre part si le motif de notre action était "pathologique"

précurseurs de ce mouvement littéraire sont les philosophes Søren Kierkegaard et Friedrich Nietzsche. Les existentialistes célèbre sont: - Pascal - Kierkegaard (1813-1855) - Nietzche (1844-1900) - Heidegger (1889-1976) - Sartre (1905-1980) - Camus L’existentialistes est né dans l’outre-Rhin, les précurseurs de ce mouvement littéraire sont les philosophes Søren Kierkegaard et Friedrich Nietzsche. Mais c’est Jean-Paul Sarthe qui a répandu ce courant littéraire en France après l’avoir

PHILOSOPHIE DE NIETZSCHE CHAPITRE PREMIER LF. CARACTÈRE DE NIETZSCHE On se ferait, je crois, une idée très fausse de Nietzsche si l'on considérait ses ouvrages exclusivement comme l'exposé d'une théorie philosophique, et si l'on se préoc- cupait uniquement de grouper en un système aussi bien lié, aussi logique que possible, les idées qu'il a semées, sans plan d'ensemble apparent, dans les huit volumes de ses œuvres complètes. On a le droit, sans nul doute, de construire

La Naissance de la tragédie à partir de l’esprit de la musique (Die Geburt der Tragödie aus dem Geiste der Musik) est une œuvre du philosophe allemand Friedrich Nietzsche, qu’il publia en 1872 à l’âge de 28 ans. Elle fut rééditée en 1886, sous le titre de La Naissance de la tragédie, ou Hellénisme et Pessimisme (Die Geburt der Tragödie, Oder: Griechentum und Pessimismus). Ce texte, hybride de philologie et de philosophie, que l’on peut, pour cette raison, qualifier de « centaure »1, traite de

NIETZSCHE : ŒUVRES : Le gai savoir Introduction théorique sur la vérité et le mensonge au sens extra-moral L’antéchrist Par delà le bien et le mal Ainsi Parlait Zarathoustra LA MORALE , LES VALEURS DE LA SOCIÉTE DISPARAISSENT, LAISSANS L’HOMME SANS REPÈRE Toutes les morales défendues jusqu’à présent ont consisté à nier la vie. L’exemple type d’une telle morale négatrice de la vie est la morale chrétienne, qui se prolonge en Europe sous forme de socialisme, d’anarchisme, de bouddhisme, de libéralisme

VideL homme observe Nietzsche, dit "je me souviens", ci qui l'oppose a l'animal qui "oublie aussitôt". Cette affirmation peut tout de même surprendre car un chien ne reconnaît il pas son maître, après une longue séparation? Ou un quelconque animal ne reconnaît il pas son habitat après une longue absence? Il faut donc accordée à l'animal une mémoire car sans celle ci, il serait perdu dans un monde qui Lui serait toujours nouveau etrange. Cette mémoire constitue une mémoire élémentaire et spontané

en renonçant à l'intérêt personnel et au plaisir immédiat. Si l'homme est capable ainsi de mettre en action sa liberté, c'est parce qu'il est sensible à quelque chose de plus noble que l'intérêt. Agir par intérêt, ce n'est en effet pas agir en homme libre, car c'est être poussé par une impulsion animale. Selon Kant, cette chose qui serait supérieure à l'intérêt, ce serait le sens du devoir qui nous enjoint à un respect inconditionnel envers la loi morale. La loi morale se formulant en ces termes

une œuvre. Mais pas n’importe quelle œuvre, une œuvre qui possède les déterminations d’une œuvre d’art (Cf. Kant, Critique de la faculté de juger, § 44 de l’analytique du sublime où il distingue les arts mécaniques des arts esthétiques et parmi ces derniers les arts d’agréments (dont la fin est que le plaisir accompagne les représentations en tant que simples sensations) des beaux arts (dont la fin est le plaisir qu’accompagne les représentations en tant que modes de connaissance)). Et encore aujourd’hui