Nietzsche Le Dernier Homme

traditionnel dogme de la volonté cher à de nombreux philosophes depuis l’Antiquité. On retrouve la remise en cause de l’idée même de liberté, l’illusion d’être maître de ses choix et l’impossibilité d’échapper à sa finitude mais la fatalité chère à Nietzsche est ici doublée d’un certain cynisme selon lequel la notion même de libre-arbitre aurait été créée pour endiguer encore davantage tout espoir d’émancipation de la condition humaine. On peut dès lors s’interroger sur la façon dont l’auteur perçoit

DM numéro 1 : texte de Nietzsche Le texte proposé à l’explication philosophique est extrait du livre Sur l’avenir de nos établissements d’enseignement de Friedrich Nietzsche. Il a pour thème l’élargissement et la réduction de la culture dans l’éducation et cherche à répondre à la question : pourquoi les deux tendances apparemment opposées de l’extension et de la réduction de la culture sont-elles identiquement néfastes et aliénantes ? Le problème auquel il s’attache

Nietzsche est un philosophe allemand du 19ème siècle. Dans Le Gai Savoir, l’œuvre dont est extrait ce texte, il tente de cerner le caractère et la nature de l’homme et de déterminer quels sont les problèmes de la société. Dans ce texte, il s’intéresse plus particulièrement à la conscience et à son origine. Il produit une thèse selon laquelle la conscience n’est ‘’qu’un réseau de relations d’homme à homme’’. Il explique tout au long du texte qu’il n’y a pas de conscience sans relation entre les hommes

étudié ici « De l'âme des artistes et des écrivains «  est issu de l'essai de F. Nietzsche , « Humain trop humain » . Le thème général du texte est le génie L'auteur ici tente de savoir si l'idée de génie est recevable . F. Nietzsche défend le fait que cela relève d'une certaine mystification . Il avance d'abord l'idée que l'homme cherche à se différencier de ces individus , par le « culte du génie » . Puis F. Nietzsche tente de rationaliser le génie , avec la mise en comparaison de l'homme , notamment

Nietzsche est un philosophe allemand de la fin du XIXe siècle qui a voulu contester toute l'histoire de la philosophie qui a, selon lui, mal pensé. Il s'est inspiré de Schopenhauer duquel il a repris le concept de la volonté de puissance. Il a vécu sous Bismarck, un ministre autoritaire et exigent. Nietzsche est connu pour avoir des œuvres telles que : Le Gai Savoir, Ainsi parlait Zarathoustra et Aurore dont est extrait ce texte. Celui-ci traite du travail et plus précisément de sa glorification

Friedrich Wilhelm Nietzsche (prononcé en allemand [ˈfʁiːdʁɪç ˈvɪlhɛlm ˈniːt͡sʃə ], souvent francisé en [nit͡ʃ ]) est un philologue, philosophe et poète allemand né le 15 octobre 1844 à Röcken, en Prusse, et mort le 25 août 1900 à Weimar, en Allemagne. L'œuvre de Nietzsche est essentiellement une critique de la culture occidentale moderne et de l'ensemble de ses valeurs morales (issues de la dévaluation chrétienne du monde), politiques (la démocratie, l'égalitarisme), philosophiques (le platonisme

Nietzsche dénonce la tartufferie, en parlant des philosophes qui sont des séducteurs mais il ne s'en cache pas contrairement à d'autres, il ne veut pas que le lecteur soit nietzschéen. Une hypocrisie morale de l'individu. Pas d'intérêt dans l'action morale qui est désintéressé. le sujet en tant qu'individu n'existe plus. Kant est une sorte dhypocrite. N prend des exemples bien précis pour justifier son discours. Il cite spinoza avec son amour de la sagesse, forme mathématique que N critique

Les oeuvres de Nietzsche sont essentiellement une critique de la culture occidentale. Ainsi il a été amené a s'interesser au Christianisme. Dans l'Insensé il aborde donc le thème de la relation entre l'Homme et la religion. Pour cela il utilise la parole d'un personnage qui apparait comme délirant. Le philosophe athé évoque dans ce texte le fait que si Dieu est mort, c'est parce que l'Homme l'a tué. On peut alors se demander quel role donne Nietzsche au personnage insensé qui s'exprime ? Ce texte

texte Dans cet extrait du Crépuscule des Idoles, F. Nietzsche nous parle de l'immortelle déraison à partir du quel il évoquera son jugement personnel. Cet auteur défend le fait qu'il ne faut pas inversé cause et conséquence, en effet ce n'est pas la vertu qui méne au bonheur mais bien l'inverse. Ainsi il met en place la théorie que le bonheur méne à l'instinct, élèment rendant possible la bonté et donc la vertu de l'âme. Alors comment Nietzsche argumente sa vision qui renverse les conventions religieuses 

» et les « faibles ». Il entend trier l’humanité mais semble démuni devant les piètres résultats de son action. Cette froideur, ce mépris, cette utilisation cynique de la prétendue faiblesse des individus trouve son écho dans la critique par Nietzsche du « plus froid des monstres froids », de ce « Dieu mortel » qu’est l’Etat autoritaire. Il a trouvé son théoricien en Hobbes, philosophe anglais du XVIème siècle. Il écrit dans son Léviathan « qu’en vertu de cette autorité qu'il a reçue de chaque