Nietzsche Le Dernier Homme

vertu, c’est le bonheur 7 d. Être conscient des maux qui nous guettent 7 e. Conclusion 8 2. Un Stoïcien original : Spinoza 8 C. Le pessimisme 10 1. Schopenhauer 10 2. Bouddhisme 11 3. Christianisme 11 D. La sublimation 11 1. Platon 11 2. Nietzsche 12 3. Freud 13 II. Bonheur et temps 14 A. Le bonheur se distingue du plaisir par sa durée 14 B. Il faut chercher le bonheur dans l’instant présent 14 1. L’espoir nous empêche d’être heureux (Pascal) 14 2. Le désespoir est la clef du bonheur

7 c. La vertu, c’est le bonheur 7 d. Être conscient des maux qui nous guettent 7 e. Conclusion 8 2. Un Stoïcien original : Spinoza 8 C. Le pessimisme 10 1. Schopenhauer 10 2. Bouddhisme 11 3. Christianisme 11 D. La sublimation 11 1. Platon 11 2. Nietzsche 12 3. Freud 13 II. Bonheur et temps 14 A. Le bonheur se distingue du plaisir par sa durée 14 B. Il faut chercher le bonheur dans l’instant présent 14 1. L’espoir nous empêche d’être heureux (Pascal) 14 2. Le désespoir est la clef du bonheur (Comte-Sponville)

7 c. La vertu, c’est le bonheur 7 d. Être conscient des maux qui nous guettent 7 e. Conclusion 8 2. Un Stoïcien original : Spinoza 8 C. Le pessimisme 10 1. Schopenhauer 10 2. Bouddhisme 11 3. Christianisme 11 D. La sublimation 11 1. Platon 11 2. Nietzsche 12 3. Freud 13 II. Bonheur et temps 14 A. Le bonheur se distingue du plaisir par sa durée 14 B. Il faut chercher le bonheur dans l’instant présent 14 1. L’espoir nous empêche d’être heureux (Pascal) 14 2. Le désespoir est la clef du bonheur (Comte-Sponville)

règles qui définissent ce qui est bien ou mal en matière de conduite humaine. Les moeurs définissent le comportement au quotidien au sein d'une société. Ex ; règles de bien-séance. La morale prescrit des manières d'être dans les rapports d'homme à homme. Elle devrait être universalisable. En réalité elle est variable d'une culture à l'autre. Autant il est relativement facile de tolérer les moeurs des autres, autant il est beaucoup plus difficile de tolérer dans le domaine de la morale. Ethique :

: etre vivant pour l’apparence. Le dandy frole le scandale sans jamais y entrer. ( différent du snob ) Peut on retrouver la figure du dandy dans différentes époques ? Dépense face économie… Le terme dandy fait avant tout référence à un homme qui se pique d´une suprême élégance et dans sa mise et dans ses manières. Bien qu´une certaine indépendance financière soit indispensable pour une telle conduite, le dandy français du romantisme n´était pas forcément riche. A cette époque le dandy

d’accomplissement. 3) Cette croissance morale n’est peut-être alors que le fruit d’une peur des conséquences du mal, et donc de la mauvaise conscience (Nietzsche) Celui qui agit pour la première fois ne connaît pas les conséquences malheureuses de ses actes. L’enfant fait le mal sans le savoir : irréflexion, essai, “test”, tentative au hasard … Pour Nietzsche (Généalogie de la morale), cet état d’innocence est l’état idéal de l’humanité. Puis vient la mauvaise conscience née de la peur ressentie par l’homme

qui les séparent. Ils forment des classes distinctes : « ils sont en effet en partie inorganiques c’est à dire inanimés, en partie organiques, c’est à dire vivants, ceux-ci se divisant à leur tour en plantes et en animaux. Nous retrouvons ces derniers, malgré le fait qu’ils se ressemblent pour l’essentiel et qu’ils correspondent à leur concept, sur une échelle fort diverse et finement nuancée menant à la perfection, en partant des échelons très proches des plantes et difficiles à distinguer de

dans ceux que j’ai faits seuls et à pied. La marche a quelque chose qui anime et avive mes idées ; je ne puis presque penser quand je reste en place ; il faut que mon corps soit en branle pour y mettre mon esprit. » (Id., p. 201) Voici qui annonce Nietzsche dans le « Prélude » au Gai Savoir, dans « Ecrire avec le pied » (Gai Savoir, p. 87). D’ailleurs, si l’on suit, chez Rousseau, la logique des verbes : penser, exister, vivre, être soi, on peut parler d’une sorte d’éclosion existentielle : Je pense

Léonard de Vinci explique par exemple, dans son Traité de la peinture, que pour dessiner un enfant il faut savoir que sa tête mesure un cinquième de son corps et non un huitième comme un adulte. Il faut donc connaître l'anatomie pour représenter un homme, comme en architecture il faut connaître les lois de la pesanteur pour construire son édifice. On n'échappe pas à la connaissance des règles de la nature. Mais l'art fait écho à son étymologie grecque tekhnê qui renvoie à la technique, également

sur la recherche et l’atteinte des plaisirs, pouvant aller jusqu’à celles de l’assouvissement de cette pulsion baptisée Eros par Freud pour désigner la libido, dans une approche hédoniste, semble pouvoir s’accomplir exclusivement par le vice. Ce dernier pourrait alors tout aussi bien s’inscrire dans une forme d’accomplissement de l’homme, telle cette « puissance » nietzschéenne comme alternation de soi et seul dynamisme à poursuivre qui nous délivrerait de tous nos préjugés moraux. Une telle perspective