Nietzsche Le Dernier Homme

......9 2. Le langage corrompt la pensée (Nietzsche, Sartre)...................................................................................10 a. La primauté de l’intuitif sur le discursif (Schopenhauer).....................................................................11 b. Les concepts de la langue déforment la pensée originale.....................................................................11 c. Le langage suggère une métaphysique (Nietzsche)..........................................

Rabelais de ses crimes d'apostasie et d'irrégularité. Citations : « Ignorance est mère de tous les maux.  » « Jamais homme noble ne hait le bon vin.  » « Rire est le propre de l’homme.  » Montaigne (1533-1592) Michel Eyquem de Montaigne, né le 28 février 1533 et mort le 13 septembre 1592 à Saint-Michel-de-Montaigne (Dordogne), est un écrivain, philosophe, moraliste et homme politique français de la Renaissance, auteur d’un livre qui a influencé toute la culture occidentale : les Essais. Fondateur

des talibans d’Afghanistan détruisant les Bouddhas de Bâmiyân le 8 mars Figures de l’art 14 En faisant de la phénoménologie téléologique de l’Esprit hégélienne une phénoménologie de l’éternel retour de la volonté de puissance de l’art, Nietzsche ramène le narcissisme de cette vision occidentale du monde, habile à faire de l’Europe chrétienne la fin de L’Histoire de l’humanité toute entière, à une légende dorée sur le déclin. Sa généalogie, moquant non sans humour l’outrecuidance de la grande

objectif d’acquérir l’expérience sur les modalités de penser, se préoccupant seulement de savoir comment se mouvoir dans cette brèche. Les trois premiers chapitres de ces exercices de pensée politique sont plus critiques qu’expérimentaux et les cinq derniers plus expérimentaux que critiques. Il s’agit de redécouvrir les origines réelles des concepts traditionnels pour, de nouveau, en extraire l’esprit originel. Hannah Arendt a composé son ouvrage en trois parties. La première traite de la rupture

en valeur par Proust tout au long d'A la recherche du temps perdu. Si le premier tome (Du côté de chez Swann) s'ouvre par la réception mondaine que donne Mme Verdurin, une snob ambitieuse qui cherche à attirer chez elle les meilleurs esprits, le dernier tome (Le temps retrouvé) se termine par la réception que donne cette même Mme Verdurin devenue Duchesse de Guermantes. Être dans les faveurs de cette femme, c'est devenir son égal. Beaucoup de personnages n'ont donc pour seule préoccupation que de

travail semble paradoxale car elle est à la fois recherchée et à la fois évitée. Celui-ci se présente comme la réalisation personnelle mais également sociale de l'homme. Mis à part la volonté de travailler afin de subvenir à la survie de l'homme, ce dernier fait également preuve d'aliénation. Le travail peut être source de désir, de liberté mais également de besoin et de nécessité. Le travail n'est-il qu'un moyen pour l'homme de subvenir à ses besoins ? Chaque jour l'homme est confronté au travail

Chapitre 3 : Qu’est ce que la beauté ? « Nous avons l’art afin de ne pas mourir de la vérité » F. Nietzsche (La volonté de puissance). On ne peut accepter la vérité, car elle est insupportable, regarder le soleil en face nous tue. La vérité est l’idée que dans le monde tout change sans arrêt. Il n’y a rien de fixe, rien de fiable. L’homme à besoin de penser que les choses ne changent pas, il se construit l’illusion pour rendre les choses supportables : la revalorisation de l’illusion. Le monde de

faire son deuil de la mort de La Boétie : il est inconsolable de la perte de cet ami : on peut dire que les Essais sont « le tombeau de La Boétie » : c’est l’œuvre d’un homme triste : c’est un auteur en quelque sorte tragique au sens où il n ‘escamote pas au réel ce qu’il y a de tragique et d’inacceptable. De même pour Nietzsche qui est un auteur tragique : pour lui il faut prendre le réel tel qu’il est, même si celui-ci est monstrueux, inacceptable : on n’a pas le choix. Les Essais sont le contraire

expressionniste par le jeu entre l'ombre et la lumière... André Malraux, dans Le musée imaginaire, définit l'art comme le domaine où « les formes deviennent style » c'est-à-dire que les formes qui se manifestent dans une pluralité d'objets permettent à ces derniers d'entrer dans un rapport d'expression qui s'établit selon des formes constants. Le style peu donc être définit comme un système de formes, un ensemble cohérent, qui insère l'objet dans une filiation, une hérédité. Le style dépasse le simple sens

philosophie. Il obtient son bac en 1932 et poursuit ses études en lettres supérieures. Il a pour professeur de philosophie Jean Grenier, à qui il restera lié d’une amitié fidèle. Sous l’impulsion du professeur, il lit Sainte-Thérèse d’Avila, Schopenhauer, Nietzsche, Dostoïevski, Proust. Jean Grenier influence notamment Camus dans son idée d’instituer une littérature méditerranéenne qui transcende les oppositions et les déchirements entre Français et Arabes. Pendant cette période d’apprentissage intellectuel