Nietzsche Par Delà Bien Et Mal

l’entre-deux guerres, Alain écrivait : « Penser le mal, c’est penser mal » , formule doublement paradoxale puisqu’elle émane de quelqu’un qui s’employa à dénoncer la guerre et à prôner le pacifisme, et qu’elle paraît en outre comporter une contradiction logique : comment dénoncer une faute, un défaut de la pensée sans faire référence implicitement à une norme de la pensée correcte, et donc reconnaître du même coup une pertinence à la notion de mal ? Le paradoxe d’Alain s’éclaire si l’on considère

idées. Evitez les citations des poètes, des chanteurs, des peintres,… Citez que des auteurs philosophes ! Doxographique : choses généraliste. Utiliser des idées concrètes. Eviter expression, dicton, proverbe. Sauf pour démontrer que c’est faux. Bien choisir ses exemples. Ne pas utiliser des exemples bibliographiques, sur sa vie personnelle ou autre. Une conclusion : La conclusion ne fait qu’une seule chose, elle conclue et ne fait que conclure. On ne doit pas y trouver de nouveau exemple ou

font nous mouvoir. Vont faire la différence entre ce qui est bien et ce qui est mal. « au delà du principe... » source de douleur sauf chez l'homme plaisir (le masochisme). Si la personne trouve dans ses sens du plaisir a la douleur, donc ca va être pour lui sa conduite et son plaisir maximum. L'éthique des règles du bien et du mal sont donné pour tous, seul les sens pose la question du bien ou du mal, qu'est ce qui peut être bien ou mal? Le plaisir de l'un et de l'autre, élément de lien social

Ainsi le réel est donc purement matérialiste et les sciences, en ce sens, peuvent résoudre toutes les questions le concernant, à travers leurs méthodes. Les questions au sujet desquelles la science n’a pas réponse sont peut-être sans intérêt ou mal posées. 2°) La science ne permet pas de connaître la réalité Piaget identifie le principe d’inséparabilité qui montre que c’est l’interaction entre le phénomène à connaître et le sujet connaissant qui forme la connaissance. Ainsi

puissance  et  augmenta on  du  sen ment de vie. Parce que la pilosité a este de l’énergie  vitale  commune  à  l’humain,  à  l’animal  et  au  végétal,  elle  est la « part maudite », l’expression de la grande santé qui,  pour Bataille  lecteur de Nietzsche, s’inscrit en faux contre  les  puritanismes  anciens  ou  actuels  qui  caractérisent  les  idéaux ascé ques. Déchet de la civilisa on, le poil n’en est  pas  seulement  le  malaise  mais  aussi  la  limite  subversive  et  joyeuse.  Chasser,  traquer 

apporté ? Quelle place y a-t-il eu alors pour la philosophie ? Mais il n’est pas dit que le philosophe soit réellement utile et bénéfique à une société donné. A quoi ressemble une société sans philosophes ? N’ont-ils pas parfois fait plus de mal que de bien à leur société ? Ont-ils réellement influé sur leur propre société ? Le philosophe est pour le moins un personnage de la société qu’on ne peut négliger. Et lui-même se pense très important, il a raison, il est source de savoir. Depuis Platon

conscient des maux qui nous guettent 7 e. Conclusion 8 2. Un Stoïcien original : Spinoza 8 C. Le pessimisme 10 1. Schopenhauer 10 2. Bouddhisme 11 3. Christianisme 11 D. La sublimation 11 1. Platon 11 2. Nietzsche 12 3. Freud 13 II. Bonheur et temps 14 A. Le bonheur se distingue du plaisir par sa durée 14 B. Il faut chercher le bonheur dans l’instant présent 14 1. L’espoir nous empêche d’être heureux (Pascal) 14 2. Le désespoir

figure de l'artiste totale. Elle renvoie à la conception antique de l'Idée tragique de l'art, Idée platonicienne que développera Aristote dans sa Poétique, et qui conçoit la Tragédie comme la synthèse de tous les arts, ce qu'affirmera également Nietzsche. Corinne est elle même donnée comme la représentation allégorique et mythologique de l'Idée d'art total dans le passage, incarne cette synthèse. Elle suggère un changement d'époque et de siècle. Madame de Staël commence à s'éloigner de l'imaginaire

science prend la place d’une norme jugée imaginaire ou illusoire mais toujours à partir d’une croyance : croyance en l’objectivité. A. Comte affirme s’en tenir à la connaissance des phénomènes et delà en tirer des lois (de la nature). Mais quelle sera la valeur de ces lois ? Nietzsche, Par-delà bien et mal, § 22 : « ces « lois de la nature » dont vous, physiciens, parlez avec tant d’orgueil, ces « lois » où tout se passe « comme si » elles n’existent qu’en vertu de vos interprétations (…) Elles n’ont

et impartiale que possible, sans emportement ni passion excessive ? Ce regard froidement lucide, cette sagesse mesurée pourraient définir la philosophie occidentale dont on attribue traditionnellement la naissance à une exigence de rationalité, au-delà des opinions irréfléchies et des sentiments spontanés qui égarent le jugement. Dès lors, comment la ferveur pourrait-elle avoir une valeur pour cette connaissance objective ? La ferveur semble en effet être un emportement irréfléchi, qui n'est pas