Nivôse

les textes légaux) et Le Courrier du Département de l’Ourte. - 1797 : apparition du timbre fiscal. - Après le coup d’Etat du 18 Brumaire, on entre dans la période du Consulat (intention de Bonaparte de contrôler la presse). Décret du 17/1/1800 (27 nivôse an VIII) : limitation du nombre de journaux à paraître, autorisation de paraître, autorisation pour l’utilisation d’une presse, censure préalable. Raidissement en 1810-1811 : on limite le nombre de libraires et d’imprimeurs, soumis au serment de fidélité

les Indulgent veulent un Comité de clémence, c’est-à-dire l’ouverture des prisons prélude évident à une politique de paix ; cette proposition est contraire à la politique du gouvernement qui la rejette. Billaud-Varenne fera rapporter le décret le 6 nivôse an II (26 décembre 1793). - Frédéric Bluche Danton Perrin 1984, p. 413-414-417 - Jacques Solé op. cit. p. 561 – Robespierre encouragera, dans un premier temps, le journal de Desmoulins « Le Vieux Cordelier » en qui il voit un rival du journal d’Hébert

C. La légitimation du gouvernement révolutionnaire Trois textes : - décret du 10 octobre 1793 : texte inspiré en grande partie par Saint Just - décret du 4 décembre 1793 (14 frimaire an 2) - rapport de Robespierre du 25 décembre 1793 (5 nivôse an 2) Le gouvernement révolutionnaire n'est qu'un gouvernement provisoire qui doit durer jusqu'à la paix : c'est donc un gouvernement de guerre justifié par les "circonstances extraordinaires" (Robespierre). L'opposition entre gouvernement constitutionnel

jour complémentaires , janvier février supprimé. Les noms de nos mois actuel ne vienne pas de la religion catholique mais de la religion romain païenne. Les ois d’autonome se termine en R vendémiaire brumaire , frimaire pour l’hiver se termine en OS nivôse ensuite pluviôse et enfin ventôse le printemps termine en AL germinal , floréal ensuite prairial . Été tout les mots en OR maicidor mois des moissons thermidor et enfin fructidor. Trois exemple faire disparaître le dimanche le jour du dominus mais

les caractéristiques du régime que l’on a appelé « régime du bon plaisir », régime souvent contesté sous l’Ancien Régime mais constamment maintenu par l’édit de Saint-Germain-en-Laye de 1666, l’édit d’Aguesseau de 1749, l’avis du Conseil d’État du 3 Nivôse an XIV. La justification économique de ce régime était la méfiance à l’égard des biens dits de « mainmorte » 4, sa justification politique, la méfiance du souverain à l’égard des « corps intermédiaires » quels qu’ils soient et en particulier des congrégations

de France ; * caisse des dépôts ; * OSEO ; * agence française de développement ; * la Poste ; * voir encore le FSI. B. Les principales instituions financière publiques 1) La Banque de France Créée le 18 janvier 1800 (28 nivôse an VIII), à l'époque sa mission principale était d'émettre des billets payables à vue et au porteur et l'idée était de favoriser la reprise économique après la forte récession de la période révolutionnaire. La crise financière éco de 1848 à permis

public avec retard, c’est la peine des Fers : l’équivalent du bagne. Et toute falsification de bulletin des lois est passible de la peine de mort. Un rapport voté par la convention présenté le 25 décembre 1793, c’est un rapport de Robespierre, 5 Nivôse an II. Ce rapport est important pour une seule raison : il change la raison d’être du gvt révolutionnaire. Celui-ci avait été établi en vue de rétablir la paix, Robespierre ns annonce que le gvt révolutionnaire a pour mission de fonder la république

presque complètement, parce qu'on lui a fait sentir la liaison qu'ont avec lui tous les nouveaux objets qui l'environnent. Jean Itard - Mémoire (1801) et Rapport (1806) sur Victor de l’Aveyron 31 bas ou d'en haut. Je fis, au commencement de nivôse, une observation plus intéressante. Un jour qu'il était dans la cuisine occupé à faire cuire des pommes de terre, deux personnes se disputaient vivement derrière lui, sans qu'il parût y faire la moindre attention. Une troisième survint qui, se

semblait même reconnaître l'endroit d'où partait le son. Car s'il l'entendait en descendant l'escalier, il ne manquait jamais de remonter ou de descendre plus précipitamment, selon que ce cri partait d'en bas ou d'en haut. Je fis, au commencement de nivôse, une observation plus intéressante. Un jour qu'il était dans la cuisine occupé à faire cuire des pommes de terre, deux personnes se disputaient vivement derrière lui, sans qu'il parût y faire la moindre attention. Une troisième survint qui, se mêlant

chef de l’Etat et rendu public jeudi, tranche vigoureusement sur ses prédécesseurs. Jean-Jacques Urvoas, président de la commission des lois de l’Assemblée et de la présidence tournante de la DPR, s’est senti une âme de constituant : son rapport de nivôse s’intitule sobrement « Contrôler les services de renseignement : An I » […] Le rapport, d’un réel intérêt, vise un triple objectif – outre prouver la hauteur de vue de son distingué président – : conforter le pouvoir du Parlement, rassurer les services