Nœud sinusal

si l’on respecte les contreindications (chirurgie hémorragique difficilement contrôlée, hypovolémie, hypersensibilité connue au principe actif ou à l’un des excipients, bradycardie inférieure à 60 c/mn, bradyarythmie sévère due à une maladie du nœud sinusal ou un bloc auriculoventriculaire du 2ème ou 3ème d egré). De plus, ils sont modestes, eu égard à la fréquence de survenue et à la gravité potentielle des effets indésirables de la morphine. A ce propos, la clonidine n’entraîne pas de dépression

nystagm(o)mobile, mobilité -cine pituitmyx(o)-, -myxie blenn(o)muc(o)mut(i)-clonie pléthysm(o)muscul(o)myosphinctér(o)buccin(o)-, buccinateur nanonatal narc(o)physionauneur(o)-, névr(o)- Nerf vague ou pneumogastrique (Xe paire de nerfs crâniens) Nez Nez Nœud, enlacement d’un fil, d’une corde Noir Noir Nom, mot Nombreux Nombreux, plusieurs Nombril, ombilic Non tamisé Nourrir, action d’assimiler les nutriments Nourriture, développement Nouveau, jeune Noyau Noyau Noyau péname, caractéristique des pénicillines

d’irritation (coqueluche). Elle est préconisée comme antiulcéreux dans les ulcères gastro-duodénaux, comme anhidrotique dans les sueurs profuses des tuberculeux, comme antiparkinsonien. Elle est employée comme régulateur cardiaque dans le bradycardie sinusale et nodale (maladie du pouls lent) et dans la syncope cardiaque primitive de l’anesthésie générale. Elle est administrée aux doses de 0,25 à 0,5 mg per os, par voie sous-cutanée et par voie intraveineuse, sous forme de sulfate. Elle est inscrite

et anti arythmiques Toxicité dose dépendante environ 10 fois la dose thérapeutique : - Isoptine 2 g - Tildiem 1,5 g - les dihydropyridines (nifédipine-like) 200 mg Apparition des symptômes en 1 à 3 H DIAGNOSTIC : Signes cliniques : Bradycardie sinusale, blocs sino auriculaires, blocs auriculo ventriculaires I, II, III Hypotension, état de choc Confusion, coma, convulsions Signes de gravité : Mauvais état cardiovasculaire Choc cardiogénique PIEGES : Tachycardie et collapsus avec les dihydropyridines

du sujet âgé et les calcifications valvulaires visualisée sur une radiographie pulmonaire standard, sans qu'il existe pour autant une cardiopathie sous-jacente. Tissu nodal • le noeud sinusal : le nombre de ses cellules diminue avec l'âge parallèlement à la diminution des cellules musculaires auriculaires. • le noeud auriculo-ventriculaire : la réduction cellulaire est moindre. • le faisceau de His : son fonctionnement peut être altéré par les «coulées calcaires» à point de départ mitral ou aortique

périphérie) 5- La pauvreté du réticulum sarcoplasmique 6- La rareté des mitochondries Dr A. BELLAL ■ Le cœur comporte 2 tissus: ● Le tissu myocardique, aux propriétés contractiles ● Le tissu nodal, aux propriétés électriques Il est fait de - 2 nœuds, sinusal "NS" (sinoauriculaire de KEITH et FLACK) et auriculo-ventriculaire "NAV" (ASCHOFF et TAWARA) faits de cellules automatiques (pacemaker) sièges de "dépolarisations spontanées" à l'origine de l'automatisme cardiaque - Voies de conduction: faisceau

nicotin(o)-] de l’herbe à Nicot, c’est-à-dire du tabac ; se rapporte à la nicotine, C10H14N2, alcaloïde du tabac. nigra Du latin niger, nigra, nigrum, noir. noci- Du latin nocivus, de nocere [noci-], nuire, douleur. nod(o)-, nœud, nodal Du latin nodus [nod(o)-, nœud], enlacement d’un fil, d’une corde. -noïa, -noïaque Du grec nous, ennoia [-noïa, -noïaque], l’esprit, la pensée. -nome, -nomie, nomique Du grec nomos [-nome, -nomie, -nomique], loi. noo- Du grec nôos [noo-], esprit, raison

cellules nodales sont des petites cellules musculaires peu différenciées, elles sont regroupées dans deux amas de la paroi de l’oreillette droite : le nœud sino-auriculaire et le nœud auriculo-ventriculaire. Ces cellules sont douées d’autorythmicité et sont à l’origine de l’automatisme cardiaque. Les cellules de conduction sont des grandes cellules issues du nœud auriculo-ventriculaire s’étalant en lignes dans le septum inter-ventriculaire. Elles conduisent l’information électrique vers les ventricules.

engendrées par l'activité électrique cardiaque, c'est-à-dire par la circulation d'un courant électrique. Figure 5 : Circuit électrique du cœur L'influx électrique prend naissance dans le nœud sinusal (ou sinus auriculaire, siégeant dans l'oreillette droite), puis envahit les deux oreillettes, atteint le nœud auriculo-ventriculaire (situé à la jonction entre oreillettes et ventricules). L'influx électrique est alors véhiculé par le faisceau de His, pour envahir la totalité des ventricules et la

vaisseaux se collectent de proche en proche pour déverser la lymphe dans deux gros troncs collecteurs : un conduit thoracique et un conduit lymphatique droit. Les vaisseaux sont très peu visibles mais ce qu’on peut facilement détecter ce sont les nœuds lymphatiques (ou ganglions) filtrant la lymphe d’une même région. Certains sont superficiels, d’autres sont profonds. Ils peuvent être hypertrophiés lors d’une inflammation de la zone de drainage, mais ils sont également un site de passage privilégié