Nominalisme

un naturalisme déiste déterministe en cela qu'il est lié au concept de nécessité5. Nominalisme : Le nominalisme est une doctrine logique, philosophique et théologique qui a vu le jour au sein de la scolastique médiévale. Son fondateur est Roscelin. On utilise aussi le mot occamisme pour désigner le nominalisme de Guillaume d'Occam, principal représentant de cette école dans la scolastique tardive. Le nominalisme est une des réponses possibles au problème des universaux qui trouve sa source antique

celui des Idées platoniciennes ? Pour éviter de telles implications métaphysiques, nombre d'auteurs ont été amenés à s'en tenir à la phrase, qui est quelque chose de perceptible aux sens et, si l'on peut dire, de « palpable ». C'est ainsi qu'un nominalisme extrême en viendra, en appliquant le précepte occamien de ne pas multiplier les êtres sans nécessité, à attribuer le vrai et le faux à la phrase elle-même. Ce qui ne va pas sans maintes difficultés, auxquelles les nominalistes ont essayé d'échapper

soulignent quant à eux que l'on ne peut comparer des expériences qu'à d'autres expériences et que la pensée humaine ne peut donc se déterminer sur la possibilité de la découverte d'une vérité. Moyen-Age [modifier] On peut citer principalement le nominalisme médiéval de Pierre Abélard (1079-1142) et Guillaume d’Occam (1285-1347). Ce dernier déclare que « l'ordre que nous percevons n'est peut-être pas l'ordre réel de la nature ; nous ne pouvons connaître la réalité en soi ; nous ne connaissons que les

anticipera les valeurs du groupe auquel il souhaite appartenir. Conception nominaliste (Weber, Warner, Boudon) : elle considère les classes moyennes comme des strates, des groupes superposés mais pas nécessairement opposés. nominalisme : -frontières entre les classes sont floues et mouvantes. Elles sont crées plus ou moins artificiellement par le sociologue pour les besoins de son analyse. -les rapports entre les classes reposent

contradiction sur leurs signification mais cette querelle et aussi présent au 11 siècle. On peut distinguer 3 partis bien distincts. Leurs querelles vont être une discussion philosophique sur la chose et le concept. Donc 3 partis : le premier est le nominalisme qui dit que le concept vient après la chose (il y a un objet et ensuite on le décris) : cela rejoins la pensée de Platon le deuxième es le réalisme qui dit que le concept vient avant la chose (l’objet ne peut être décris que par des concepts

| |4 Croyance | |5 Réflexivité | |6 Nominalisme | |7 Questions fondamentales | |8 La question : « Qu'est-ce que “ Dieu ” signifie ? »

 (époque  d’Abelard),  querelle  des   universaux  liée  au  langage:  Lorsqu’on  prédique  un   universel,  prédique-­‐t-­‐on  un  terme  ou  une  chose  ?   - Théories  en  présence:  le  Vocalisme  (nominalisme   strict)  de  Roscelin  de  Compiègne.  Pour  lui,  on  prédique   toujours  un  terme  d’un  terme  car  seuls  les  individus   existent.  Les  universaux  sont  de  simples  mots   composés

Nelson Goodman (7 août 1906 ; † 25 novembre 1998), est un philosophe, logicien et collectionneur d'art américain. Disciple de C. I. Lewis et Carnap, ami de Quine, il appartient à la philosophie analytique et fait sien le credo nominaliste de ne jamais hypostasier des classes et des ensembles. Il est connu pour sa réflexion sur le problème de l'induction à travers laquelle il a développé, dans la tradition de la logique cognitive, un paradoxe resté célèbre. Il se fait connaître aussi dans le cadre

la conscience est-elle comme un miroir du monde? Introduction: « monde » est d'abord un mot de notre langue produit par la conscience. Cette définition est à la fois la plus simple et la plus proche de nous. Est ce satisfaisant de penser que la conscience est un miroir du monde? Partie 1: pensée et conscience l'une des manières les plus courantes de caractériser la conscience est de la définir comme instrument de communication on insiste sur le rapport entre sujets, et l'on définit la

doit parler que du particulier. Selon lui, l’universel n’est qu’un nomet ceux qui prétendent que la science doit être d’universelle font partie de « la via antiqua ». Pour la « via moderna », la science doit s’interroger sur les objets réels. Le nominalisme prépare le terrain de l’empirisme, très rependu en Angleterre au 16èmesiècle (Francis Bacon, Thomas Hobbes, John Locke). Réalistes (Le Grand, d'Acquin, Scot) Science de l'universelle « la via antiqua » Nominalistes (d'Occham, Oresme) Science du