Nominalisme

l’accepte, le débiteur pourra se libérer en offrant une prestation en espèces (et inversement en nature). - Obligationmonétaire (le débiteur doit verser la somme due telle qu’elle a été fixée par le contrat ou le jugement) - le principe du nominalisme : en euros  - la dépréciation monétaire : supportée par le créancier. → Dans les contratsinternationaux, la jurisprudence admet les clausesmonétaires : paiement dans une monnaieétrangère ou une monnaiedecompte (on concocte un indice (dollar

pp. 109-121. LE PROBLÈME DE L'ESPRIT DAUTRUI 451 STRAWSON, P.F., Individuals, London : Methuen, 1959. THOMSON, J.F. « The Argument from Analogy and our Knowledge of Other Minds », in Mind, 60, 1951, pp. 336-350. THURSTON, B. «Against Meaning-Nominalism», in Mind, 90, 1981, pp. 184-200. TURING, A. «Computing Machinery and Intelligence», in Mind, 59, 1950, pp. 433-460. WITTGENSTEIN, L. Philosophical Investigations, Oxford : Basil Blackwell, 1953. YOUNG, G. « Castaneda on Other Minds », in

Concernant la restitution du prix, obligation monétaire soumise au nominalisme monétaire. Principe pas remis en cause car tout principe inverse serait facteur d’inflation mais assez injuste car l’acheteur va devoir subir l’inflation monétaire. Pour l’acheteur il va devoir restituer le bien, en nature ou parfois en équivalence, il devra donc verser au vendeur une somme correspondant à la valeur du bien et afin de faire le pendant avec le nominalisme monétaire la valeur du bien sera évaluée au jour de la conclusion

 servir  aussi  bien  de  monnaie   que   de   comptes,   c’est-­‐à-­‐dire   qu’il   faudra   converGr   dans   la   monnaie   naGonale,   ou   bien   de   monnaie   de   paiement.   (Principe   du   nominalisme   monétaire  :   unité   monétaire   actuelle   aura   la   même   valeur   dans   10   ans   et   qu’il   y   a   10   ans.   Exclusion  des   clauses  d’indexaGon  car  :  raison  poliGque

résultat d’exploitation multiplié par (1 - taux d’impôt nominatif). Nantissement Voir gage Nominalisme - principe (pour plus de détail voir page 87) Ce principe comptable veut que les biens acquis par l'entreprise soient inscrits à son bilan pour leur coût d'acquisition appelé valeur historique et qu'ils soient maintenus à ce prix au cours du temps, sauf à être amortis ou provisionnés. Le nominalisme est également appliqué pour la comptabilisation des dettes. Ce principe est appliqué assez strictement

lors, c'est toute la conception traditionnelle de l'homme et de la société qui s'effondrent : les mots "loi" et "société" ne sont rien d'autre que des concepts fabriqués par l'homme, et leur réalité résulte d'une décision volontaire des individus (nominalisme). Le droit naturel objectif devient alors subjectif : ce sont les droits fondamentaux de l'individu, désormais au centre de la philosophie moderne. La critique du modèle traditionnel : - critique philosophique : dans la philosophie traditionnelle

résultat fiscal imposable §1. Les produits imposables A. Le principe de la comptabilité d’engagement 1. Enoncé du principe 2. Applications : date de livraison du bien, date d’exécution des prestations. B. Le principe du nominalisme monétaire C. Les principes en matière de rattachement et d’évaluation des stocks §2. Les charges déductibles A. Les conditions de déduction 1. Le critère de rattachement des dépenses à l’exercice 2. Des dépenses dans l'intérêt

Notre propos n’est pas ici de retracer la genèse du concept moderne de droit naturel. La Modernité, dont on s’accorde a situer le commencement au début du XVIIe siècle, s’est, en réalité, préparée de longue date, dès l'expansion, au XIVe siècle, du nominalisme occamien. Par l’affirmation d’un volontarisme absolu, la philosophie d’Occam sans poser encore véritablement les problèmes spécifiques de la pensée moderne, avait néanmoins ébranlé la, métaphysique onto-théologique devenue traditionnelle et engendré

en Europe », 1992), de mettre à disposition des universitaires un laboratoire de recherche sur la critique d'art. Thierry de Duve, né en 1944, est un professeur d'art moderne belge. Il défend une théorie nominaliste de l'art actuel. Son ouvrage Nominalisme pictural- Marcel Duchamp, la peinture et la modernité publié en 1984 en posait les fondements. Il n'y a pas de différence pour lui entre art moderne, post-moderne et contemporain : la même logique se déploie depuis le départ. L'art n'a pas d'essence

: on comptabilise des salaires fictifs, on respecte la technique, mais comme on est en fraude => on ne répond pas à cet objectif de régularité  sincérité  image fidèle o faut respecter les principes comptables français :  le principe de nominalisme : ne figure pas dans le code de commerce, mais dans le code civile qui implique que la valeur d’entrée d’un actif acquis 1.000 est bien enregistré à 1.000 sans avoir à s’interroger sur les modalités de paiement (s’il y a de délais de paiement