Norbert Elias Du Temps

Norbert Elias est un écrivain et sociologue allemand, né le 22 juin 1897 à Brelau, mort le 1er aout 1990 à Amsterdam. Il a publié sa thèse, la Société de cour en 1969 en Allemagne et en 1974 en France. Le texte étudié est un extrait du chapitre II de sa thèse. Dans un premier temps, nous verrons la différence entre l’éthos social de la bourgeoisie professionnelle et la consommation de prestige, puis nous étudierons la noblesse. D’après Norbert Elias, il existe deux modes de vie dans notre société

vocation d’homme politique » Norbert Elias est un écrivain et sociologue allemand, né le 22 juin 1897 à Breslau, mort le 1er août 1990 à Amsterdam. Il est l'auteur d'un ouvrage majeur de sociologie historique, Sur le processus de civilisation, paru, en France, en deux volumes,  « La Civilisation des mœurs et La Dynamique de l’Occident. » Nous allons dans un premier temps dégager les principales pistes de réflexions de Max Weber, puis dans un second temps celles de Norbert Elias. Puis nous pourrons conclure

Théories sociologiques Intervenant : S.Delzescaux 3 séances sur Norbert Elias (1897/1990) Table des matières I. Norbert Elias, l’homme. 2 A. Bibliographie 2 B. Vocabulaire 2 C. Le parcours 2 II. La posture méthodologique d’Elias 3 A. La neutralité 3 B. La pluridisciplinarité et le primat de l’historicisation 4 C. L’importance de la psychanalyse 4 III. Le procès de civilisation 4 A. Les processus de formation de l’Etat 5 B. Les processus de curialisation 5

son corps n’est donc pas naturelle dans le sens ou elle est influencée par son époque et les représentations que celles-ci transmet. Selon Norbert Elias il est primordial de dire que « tout est dû à une évolution historique », les changements de conceptions du corps ne sont pas anodins. On observe deux mouvements indissociable l’un de l’autre depuis quelques temps : l’individualisation et l’individuation. Cela consiste à expliquer le fait que l’homme à travers le processus de civilisation à changer

vieux, la perception de la violence diffère. Ce que nous qualifions de violence, ou tout au moins ce qui est ressenti comme telle, dans nos sociétés occidentales modernes, n’a certainement pas la même signification en d’autres lieux et en d’autres temps. « La violence dans son exercice et dans sa perception est donc socialement, spatialement et temporellement contextualisée[9] [9] Dominique Bodin, Sports et violences, Paris, Chiron, 2001,... suite. » 8 Très souvent également sont amalgamés des faits

Savoir et pouvoir Les documents en présence : Norbert Elias, Engagement et distanciation-contribution à la sociologie de la connaissance, traduction Michèle Hulat, Fayard, 1983. René Descartes, Discours de la méthode, 1637 Présentation du thème : Les sciences ont en quelques siècles changés les perspectives qui s’offraient à l’humanité. Aujourd’hui si la notion de progrès n’est plus remise en cause, on observe deux types de comportements face aux sciences et aux questions qu’elles posent :

substituer le seront aussi. Cela pose un problème, vue que la technique nous restreint de la connaissance sur la sensibilité de la matière brute, il serait impossible de tout connaître.Néanmoins, il admet également que la science se perfectionne au fil du temps, nous permettant de nous approfondir et faire progresser des anciennes techniques. Les techniques peuvent se perfectionnent à mesure qu’on se détache de nos sens, de façon que le plus on détache, le plus il sera possible de perfectionner la technique

La civilisation des mœurs de Norbert Elias L’œuvre que nous nous proposons d’étudier s’intitule « La civilisation des mœurs ». Son auteur, Norbert Elias est un sociologue atypique. Né en 1897 en Allemagne, à Breslau, ce dernier s’est d’abord orienté vers la médecine puis vers la philosophie avant de s’intéresser à la sociologie. On peut d’ailleurs signaler qu’il fut en 1930 l’assistant de Karl Mannheim à l’Institut für Sozialforschung de Francfort. En 1933, il se retrouve contraint de fuir l’Allemagne

l'armée. Norbert Elias s'est donc intéressé à ce processus. Il introduit alors la notion de sociogenèse de l'État, pour lui la formation de l'État résulte de ce qu'il appelle le mécanisme de la monopolisation : La concurrence entre des entités quel qu'elles soient, équivalentes (taille, ressources, puissance) et interdépendantes conduit inévitablement à un affrontement entre ces entités dont le résultat est de faire disparaître certaines de ces entités au profit des autres. Elias cherche a

question de savoir quelles sont les étapes qui ont amené à la création de l'État et quelles sont ses spécificités majeures qui en font une entité transcendantale, au dessus du simple intérêt individuel? Nous tenterons de répondre à ces questions en deux temps: nous verrons d'abord comment s'est déroulée la formation de l'Etat, puis nous verrons quels en sont ses caractéristiques fondamentales. I] La formation de l'Etat Genèse de l'État: le processus de monopolisation des activités de pouvoir