Norbert élias

esthétique) 2 axes d’analyse : - Valeurs d’individualisation - Corps normé de l’extérieur On est soumis par le jugement d’autrui. Le corps interroge les libertés individuelles et les normes collectives. 2. L’effacement du corps Cf. Norbert Elias : règles de civilité Effacement progressif du corps dans les rites et pratiques du quotidien. Attention, la situation de maladie bouleverse ce rapport au corps. Conclusion • Le corps humain revêt une dimension sociale et culturelle.

s'agit donc pas d'une véritable sociologie comparée du politique puisque le comparatisme est ici moins un « opérateur d'individualités » (Paul Veyne) que d'analogie. Par ailleurs, la démarche historienne aurait peut être du se doubler, comme chez Norbert Elias, d'une recherche « psychogénétique et sociogénétique »4. Tout en expliquant le processus, l'auteure ne revient pas sur les motivations profondes des élites du XVIIIè et du XIXè siècles dans leur démarche. Au plan psychologique la nécessité du sentiment

La dynamique de l’Occident, Norbert Elias Première Partie : La sociogenèse de l’Etat : Introduction : De la seigneurie féodale au royaume. Le rôle attribué à la couronne dépend de l’évolution sociale, mais certaines fonctions du roi ont toujours été les mêmes (ex : guerre). Au XIIe siècle le royaume franc d’Occident s’est désagrégé pour devenir une multitude de dominations indépendantes et les groupes féodaux deviennent des Etats quasi indépendants dont les rapports avec le roi sont réduits

Communications, 1995 « La vie du corps dans Surveiller et punir, une transposition aux thèmes sportifs ? », Georges Vigarello, STAPS, Revue des sciences et techniques des activités physiques et sportives, oct. 1995 • • • • « L’œuvre de Norbert Elias, son contenu, sa réception », Georges Vigarello, A. Burguière, R. Chartier, A. Farge, M. Wieviorka, Cahiers internationaux de sociologie, 1995 « Le temps du sport », Georges Vigarello, in L’avènement du loisir, A. Corbin (dir.), Aubier, 1995, p

[trad. de l’ed. originale, 1919], 232 p. Séance 13 : Les sorties de conflits 14/01 - Exposé 1 : Les acteurs de la résolution des conflits - Exposé 2 : Les dilemmes de la justice transitionnelle - Présentation du dossier de réflexion sociologique : ELIAS, Norbert. “Les transformations de l’équilibre nous-je”, dans La société des individus. Paris: Pocket, 2004 [trad. de l’ed. originale, 1987], 301 p. Séance 14 : Conclusion 21/01 - Bilan des travaux du semestre - Méthodologie de la dissertation et conseils

identiques. B- Un pouvoir politique Cette approche kelsenienne pèche par son juridisme dogmatique. Il faut étudier l’Etat dans une perspective de sociologie historique qui a l’avantage de mettre en évidence des éléments objectifs relevant de ce que Norbert Elias a appelé la « sociogenèse de l’Etat ». L’organisation étatique se donne à voir comme une organisation caractérisée par la division du travail social, la spécialisation des rôles sociaux et les impératifs d’ordre. Dans cet ordre d’idée, Max Weber

bénéficie du monopole de la violence légitime. B. Genèse de l'État moderne Pour Norbert ELIAS, le monopole de la violence physique est indissociable du monopole fiscal car : → contrainte nécessaire pour prélever l'impôt → argent nécessaire pour exercer la contrainte Ces deux monopoles sont les monopoles clefs. 1. Elias : Formation de l'État moderne a. La loi du monopole Elias se place à l'époque féodale et constate qu'il existe une multitude d'unité de domination

autre forme de lutte : le combat ou la règle. La politique est donc une lutte réglée et une lutte retenue. Il oppose la politique à la guerre. Cela rejoint les travaux de Norbert ELIAS. Il a montré avec DUNNING, qu’historiquement le développement du parlementarisme est parallèle au développement de la partie sportive. ELIAS rapproche ce double mouvement avec le processus de civilisation des mœurs. Ce sont les effets d’une grande dynamique qui traverse l’histoire de l’Europe : la civilisation des

sanction. La déviance s’oppose donc à la conformité qui est le respect des normes sociales.Maintenant, si on remonte un peu dans le temps, et que l’on considère que le repas a lieu au Moyen Age à la table d’un seigneur. Si l’on se réfère à Norbert Elias, la scène change totalement de nature. Les convives mangeaient avec les doigts, se servaient directement dans le plat, posaient la viande sur un morceau de pain, reposaient les os dans le plat de service... Les manières de table ont ainsi évolué

Gordon Allport et Leo Postman. et les nombreux travaux qui prolongèrent la connaissance psychosociologique des rumeurs Des études anthropologiques également, avec les approches sensiblement divergentes proposées par Max Gluckman, Robert Paine, Norbert Elias ou plus récemment Stephen Ellis. Des travaux sociologiques enfin, depuis l’approche interactionniste élaborée par Tamotsu Shibutani jusqu’aux théories structuralistes de Françoise Reumaux, en passant par les études de la « sociologie clinique »