Norbert élias

travail de la sociologie est donc de faire la part entre représentations subjectives et faits subjectives. La sociologie représente toutes les situations où les fins objectives et subjectives ne coïncident pas. Schéma que l'on retrouvera chez Norbert Elias (cf. son travail sur la société de cour en France). Selon lui, le sociologue doit être un chasseur de mythes, pour qui l'essentiel des phénomènes sont des phénomènes cachés. Dijonction entre les faits et les représentations. => Théorie

Puisqu'un individu intériorise au cours de son éducation et de sa vie, on pourrait penser que le degré de civilisation se mesure à l'importance du surmoi. + la civilisation est évoluée, + le surmoi est important. Autodiscipline > du surmoi. Norbert Elias, Civilisation des moeurs, anthologie de manière de tables, de savoir-vivre. On peut penser que l'éducation fera tjrs refouler qques tendances et il faut bien comprendre le sens du concept de refoulement. 20e siècle: Michel Foucault Ts les

moment où nous n'avons pas été dans des relations sociales avec d'autres individus et nous n'avons donc pas pu échapper aux relations sociales. La vie in-utérine n'est pas non sociale. Lorsqu'on naît, on est pris dans les relations sociales   Norbert Elias « Chaque individu est par nature fait de telle sorte qu'il a besoin des autres qui étaient là avant lui pour pouvoir grandir. L'une des conditions fondamentales de l'existence humaine est l'existence simultanée avec les autres » (La société des

d'autres variables telles que la psychologie . Pour d'autres , la sociologie s'interesse aux actions sociales ,c'est a dire aux actions individuelles qui ont un sens subjectif par rapport auquel s'oriente le déroulement de cette action Pour Norbert Elias dans «Qu'est ce que la sociologie» (1970) , la sociologie doit avoir pour objet les relations entre individus et non l'individu dans la socioété.Les individus sont le produit et les producteurs de la société 2)Quelques grandes approches en sociologies

contrainte. C’est ceci qui caractérise aujourd’hui l’état, le processus d’expropriation de cette contrainte. C’est au cours de ce processus que sont apparus les deux grands monopoles que sont la force (armée, police) et le fisc (argent, ressources). Norbert Elias, autre sociologue postérieur à MW (La dynamique de l’occident), il a cherché à tirer toutes les explications historiques, ceci en analysant le processus de formation de l’état. C’est ce qu’il appelle la sociogenèse de l’état. La formation de l’état

l’identification à un personnage où à une classe de personnages (le passage du il au je ou au nous) assurent sa densité à la représentation. Seul l’esprit partisan donne du sens, de l’intérêt à la confrontation que l’on regarde. C’est ce que Norbert Elias et Eric Dunning traduisent par « the quest of excitement » (la recherche d’émotions) du spectateur. - Mais si le sport est devenu un des spectacles emblématiques du monde moderne, c’est parce qu’il montre au public que les jeux ne sont pas

compromettre sa sûreté. L'affirmation de soi passe aussi par la confrontation brutale avec l'autre. Didier Robin, dans la face cachée de la violence des jeunes en 2007, note que les adolescents retourne la violence sur eux mêmes. Il reprend la pensée de Norbert Elias dans la société des individus en 1991 qui montre que l'individu se repli sur lui même du fait que tous les liens d'appartenances s’avèrent maintenant révocables. Pour Robin l'expression de la violence par les actes auto-agressifs s'explique par

l'urbanisation. La ville est donc ici réputée à l'origine de l'intériorisation de sa violence par l'Homme : l'évolution au sein de masses lui a imposé plus de retenue dans ses actes. Le refoulement de la violence à la marge des villesÀ la suite de Norbert Elias, l'historien Jean-Claude Chesnais a souligné à son tour la baisse tendancielle de la violence dans les sociétés modernes en n'étudiant cependant que la violence proprement physique[4]. Mais d'autres théoriciens sont venus contredire cette idée

la citoyenneté, prise entre les intérêts de l’individu et ceux de la collectivité nationale. C’est justement le but de l’éducation morale et civique d’apaiser ce conflit latent. Cela passe par la poursuite de l’entreprise d’auto-contrôle dont Norbert Elias a mis en évidence l’apparition dans la société de Cour du XVII° siècle - procès de civilisation - et qui avait commencé à toucher les enfants des milieux populaires par l’intermédiaire de la pédagogie des Frères des Ecoles Chrétiennes - Les Règles

* MEYNAUD, Sport et politique, édition : Payot * ANDREFF / NYS, l’économie du sport, Que sais-je n°2294, édition : PUF * FATES, sport et Tiers monde, édition : PUF * POCIELLO, Sport et Société, 1er chapitre, édition ; Vigot * ELIAS / DUNNING, Sport et civilisation, édition : FAYARD * BOZONNET J.F, Sport et société, édition : Le monde poche On va considérer le sport qui nait dans la société britannique, le modèle sportif anglais à la fin du 19ème et au début du 20ème.