Notion De Choses

La responsabilité sans faute Le principe de responsabilité est une notion essentielle en droit français ; en effet, il est explicitement mentionné dans le Code Civil, dans les articles 1382 et suivants : « Tout fait quelconque de l’homme, qui cause à autrui un dommage, oblige celui par la faute duquel il est arrivé, à le réparer » (art.1382) ; « Chacun est responsable du dommage qu’il a causé non seulement par son fait, mais encore par sa négligence ou son imprudence » (art.1383). Cependant

Rédiger, en une vingtaine de lignes, une réflexion sur le sujet suivant : « Le réveil de l’art. 1384 al. 1 du Code civil de 1804 »I- La choseDocument 1 : Civ. 2ème, 5 juin 1991De quelle chose s’agit-il en l’espèce ? Quelle lecture ont les juges de la notion de «chose» ? L’arrêt Jand’heur trouve-t-il dans cette lecture une consécration ?1° En l'espèce, la sonnerie d'un portique de contrôle s'est déclenchée lors du passage de deux clients qui sortaient d'un magasin.2° Les juges présument que la chose en

s’appuie sur un marché fondée sur le codage, le traitement et la circulation de l’information, des mots et des chaines signifiantes. (Ex : Google, Hollywood, Internet considéré comme « un annuaire des choses » d’après Bomsel). La nouvelle économie est alors une nouvelle représentation de l’économie des choses. L’information, le discours prend une place de plus en plus importante. Les biens immatériels prennent place au sens : monnaie, marques. L’information est la nouvelle essence de l’économie L’information

définissent l’ordre des choses, en définissant des habitus qui sont fonder sur le pouvoir-savoir assurant des spécialistes de la gestion (c’est a dire, des clergés) de ce sacré (une domination) sur le bout, des non spécialistes. La conséquence de cette définitions est que : le sacré n’est qu’une construction, donc elle existe parce qu’on la créer. Le sacré serait donc au service d’une structure de domination, d’un groupe de spécialistes. Ces deux définitions exclus complètement la notion de croyance, c’est

recueil «Le Parti pris des choses», a été publié au milieu de la Seconde Guerre mondiale, en 1942 par Francis Ponge. Il s’agit de poèmes écrits en prose décrivant des « choses », des éléments du quotidien. Le poète nous fait remarquer que nous négligeons souvent l’importance des petites choses. Les poèmes choisis sont centrés sur des objets désuets, des plaisirs banals, redonnant aux petites choses leur importance capitale. Francis Ponge, dans « Le parti pris des choses » , montre sa sensibilité,

d’article qui disparaitraient, voir plus ). On a choisi d’introduire des termes plus compréhensible et des définitions de certains concepts qui pourtant couramment utilisé avaient un contenu vague. Ex : concept de patrimoine.( apparition d’article) et notion de bon père de famille ( suppression de l’article). La modernisation a été prudente , basé sur l’arbitrage sur des théorie classiques et modernes. Ex : choix d’une modernisation serait supprimer les actions possessoires, serait introduit une possibilité

abordées. Dans ce texte Alain développe plusieurs grandes idées, la première sans aucun doute c’est l’acceptation et la résignation des évènements et des choses qui sont hors de notre volonté, ces choses c’est ce qu’il va appeler dans son texte “l’avenir qui se fait “. L’avenir qui se fait ne dépend d’aucune manière de notre espérance, en effet ici la notion d’espoir est abordée, Alain nous dit que face aux évènements qui ne peuvent pas dépendre de notre volonté il ne sert à rien d'espérer mais plutôt de

permettant ainsi de ne pas être condamner pour les malversations qu’ils ont commises. De plus, l'argent participe beaucoup aux distractions, lorsqu’elles sont payantes, permet aussi de voyager à l’étrange, de faire des activités payantes. Enfin, la notion de partage peut rendre heureux. Une personne riche qui partage son argent a l'impression de se rendre utile grâce à sa bonne action. Par exemple, une personne se sent fière et heureuse lorsqu'elle fait un don à une association ou une œuvre de charité

situation d’épanouissement personnel. Quant à la notion de calculable elle est relative aux mathématiques : une matière qui fait appel à des lois constantes et qui sont vérifiables, elle peut être mis en relation avec la réflexion et la pensée… Cependant l’humain est soumis à ses désirs mais l’est aussi face à ses besoins (=la finitude de l’Homme) donc certaines choses sont hors de notre contrôle comment faire pour les éviter et comment calculer une notion aussi abstraite que l’est le bonheur. « Tous

NOTION DE LA BEAUTE Notion abstraite. Philo : indéfinissable mais on sait que ce qu’elle n’est pas. « définition » de beau : caractéristique d’une chose qui au travers d’une perception proccure satisfaction et plaisir. Abordée en philo, en esthétique, histoire… Hegel => Beauté : nature et l’art. Beauté de l’art au dessus => accomplissement de soi. Platon : beau associé au bien. Se rapproche d’un idéal =>assimilé à la beauté, perfection esthétique. Hippias majeur, Platon. Hippias et Socrate