Nouvelle Théologie

se libérer de l’ignorance. Il y a aussi la théologie, une science qui étudie Dieu, elle est né de l’étonnement du croyant en constatant d’être capable de croire dans la révélation de Dieu, elle est l’initiative de la foi qui se met à la recherche de la raison. Elle est aussi un effort rationnel de l’homme qui nait de la relation entre foi et la pensée de l’homme. Il est extrêmement important et nécessaire d’utiliser les yeux de la raison dans la Théologie pour pouvoir mieux comprendre la révélation

LEURS CONTRIBUTIONS DANS LA THEOLOGIE Les pères Africain de l’Eglise primitive ont beaucoup contribués par leurs écrits dans la théologie chrétienne. Certains parmi eux ont été les pères fondateurs de plusieurs disciplines théologiques. Voici la contribution de quelques pères Africain : Clément d'Alexandrie est un des premiers théoriciens de l'Église à avoir présenté le christianisme comme une philosophie, en cherchant à réconcilier les prophètes bibliques et

généralement les «Primitifs» créent, à partir du modèle traditionnel régnant en Italie depuis des siècles (la «Manière grecque» inspirée de Byzance), un nouvel art de peindre basé sur l’humanisation de la figure, l’introduction du paysage dans le cadre pictural et les premières tentatives de création de peinture architecturale. Ils insufflent ainsi une nouvelle impulsion artistique qui va changer les arts plastiques en Italie, puis plus tard en Europe occidentale. De la Toscane à l’Ombrie, leur créativité

novice chez les Franciscains et entre dans un couvent où il étudie la théologie*. De 1521 à 1524, Rabelais se passionne pour les langues anciennes, notamment le grec et il fréquente un groupe d'humanistes (L'humanisme est un courant intellectuel des XVème et XVIème siècles, qui place l'homme au centre du monde. En se référant sur un modèle, celui de l'antiquité grecquo-romaine, l'humanisme veut tout connaître en utilisant de nouvelles méthodes scientifiques: des démonstrations dont un des buts est la

respect et amour pour tous les hommes » J. P. II. Cette question du rapport à la foi chrétienne avec les autres religions existe depuis longtemps même à l’origine des premières communautés chrétiennes. Il est certain que cette problématique a pris une nouvelle ampleur depuis le concile Vatican II. L’Eglise catholique s’y est engagée, considérant que cela fait partie de sa mission évangélisatrice. Il est donc important de déterminer quels en sont les fondements théologiques car c’est une condition

Conclusion Introduction Il y a de cela plusieurs siècles que les premiers missionnaires occidentaux apportèrent l’Évangile sur le continent africain. Leurs travaux consistaient à implanter, étendre et soutenir les premières communautés par une théologie importée. Celle-ci étant marqué par des courants religieux, ethnographiques et anthropologiques.1 La communauté chrétienne s’est développée sans oublier la montée en force de théologiens africains. André KAMARAGA renchérit en disant : « Le christianisme

Introduction Une des grandes questions qui secoue le monde scientifique et théologique est de considérer la théologie comme science. Mais le débat ne se limite pas seulement entre scientifiques et théologiens. Entre les théologiens eux-mêmes, il y a controverses. Controverses entre théologiens d’une part, et controverses entre théologiens et croyants d’autre part, mais aussi controverse entre croyants. C’est la nature et la valeur de la Parole divine qui pose ce problème de controverse. De nombreux

facilitant l'accès à l'université de Wittenberg. Luther y obtient plusieurs titres (baccalauréat, licence, doctorat, tous entre 1509 et 1512) ainsi que la fonction de prédicateur à l'église de la ville en 1514. Devenu prêtre, il étudie et enseigne la théologie et finit par s'interroger sur la grâce divine et les moyens d'accéder à la vie éternelle (Paradis). En étudiant l'épître aux Romains de St Paul, il est frappé par la phrase "Le juste vivra par la foi". Par cette révélation, il acquiert la conviction

philosophes latins parlent peu de théologie, un passage de Varron - reprenant probablement une tripartition théorisée précédemment par l'école stoïcienne[8] - est resté célèbre : il y distingue la théologie mythique, la théologie physique et la théologie politique. Ce passage a été repris par les écrivains chrétiens pour justifier leur propre démarche[réf. nécessaire] ou comme Augustin d'Hippone qui, reprenant cette division, en réfute deux pour ne retenir que la théologie physique comme interprétation

1951, il étudie la philosophie et la théologie à l’Institut supérieur de Freising et à l’Université de Munich. Il est ordonné prêtre le 29 juin 1951. L’année suivante, il commence à enseigner à l’Institut supérieur de Freising. En 1953, il obtient son doctorat en théologie avec une thèse intitulée : « Peuple et maison de Dieu dans la doctrine de l’Église chez saint Augustin ». Quatre ans plus tard, sous la direction du renommé Professeur de théologie fondamentale Gottlieb Söhngen, il obtient