Nouvelle école Keynésienne

les finalités de l'investissement productif : Les entreprises ont trois motivations quand elles investissent. L'investissement de capacité : achat de capital fixe (nouveau matériel) pour augmenter la capacité de production; pour faire face à une nouvelle demande, ce qui créer de l'emploi (effet positif). L'investissement de remplacement : acquisition de nouveaux biens qui remplaceront le capital obsolète, usé. Cela s'appelle aussi l'amortissement; il n'y a pas d'effet sur l'emploi. L'investissement

(cf réunion à Canne du 3 et 4 Novembre). - Vers un nouveau SMI (système monétaire international) système multipolaire ? (euro, dollars, yuan) - Certes, nouvelles règles de régulation… ex : Les banques doivent avoir un minimum de fonds propre (7%)… - Mais « banques de l’ombre » (shadow banking) qui échappent aux nouvelles règles. (ex : paradis fiscaux) BCE : décision surprise le 3 Novembre. - Nouveau président : Mario raghi (1er novembre) - Baisse du taux directeur de

est vrai qu’au niveau individuel, un entrepreneur a intérêt à verser des salaires faibles pour augmenter ses profits ; si tout le monde agit ainsi, la consommation, la consommation globale et donc les profits seront faibles. C’est l’approche keynésienne qui repose sur des agrégats c’est-à-dire des quantités globales et sur la comptabilité nationale. 2) L’impossibilité de prendre part au débat politique Ensuite, il faut comprendre quels sont les enjeux de cette condition.

acceptent et reprennent les préceptes de l’école classique. Ils vont approfondir certains points de l’analyse économique et notamment l’idée qu’il faut analyser les comportements individuels. B. Les préceptes économiques fondamentaux *Une nouvelle théorie de la valeur (la valeur utilité) *Pour calculer la valeur d’un bien il faut savoir l’utilité de ce bien (rareté) c’est une conception très subjective *Cout de production des biens produits, du dernier bien produit (l’utilité marginale)

révolutions scientifiques ; les deux plus grosse : newton, Einstein mais aucune de ces révolutions n’a donné lieu à un retour en arrière. En économie, les paradigmes vaincus ne le sont pas définitivement et les idées anciennes peuvent réapparaitre sur de nouvelles formes et remettre en question les théories qui les avaient momentanément invalidées. Est ce à dire que nous ne savons rien en économie ? Contrairement aux sciences dures, où l’expérimentation est souvent possible, il est quasiment impossible

• Bouleversements géostratégiques et nouvelle donne économique mondiale : - Poids de la Chine et des émergents (BRICS, MIST, CIVETS…), situation des autres grandes zones économiques, réveil de l’Afrique. - Poids des questions énergétiques, alimentaires et environnementales. • Bouleversement des repères et des cadres traditionnels de l’analyse économique : - Année 1989 : « la fin d’un monde ». - Nouvelles(s) approche(s) du libéralisme et de l’économie

sont ceux de la politique économique générale : « Carré magique » de Kaldor (faible taux de chômage, croissance soutenue, stabilité des prix, équilibre extérieur). La BC doit privilégier un de ces quatre objectifs. Les débats théoriques sont entre keynésiens et monétaristes. Dans l'UE, on adopte plutôt l'approche monétariste, de ce fait, la communauté se donne pour objectif d'obtenir un niveau d'emploi élevé et une croissance durable et non inflationniste (article 2 du traité sur l'UE). En sachant que

décroissants. La théorie des rendements décroissants pour l'agriculture est la suivante. La population augmente. Il faut donc nourrir plus de personnes. Cela nécessite de mettre en culture des terres nouvelles. Or, comme les terres les plus fertiles sont celles qui ont été cultivées les premières, les nouvelles terres mises en culture seront forcément moins rentables. Les rendements agricoles seront donc décroissants. • La rente différentielle. Avant Ricardo, on parlait de « rente additionnelle », car

de mort) et Guerre de 100 ans. En 1450 : reprise démographique, hausse de l’espérance de vie (27 ans pour les hommes et 33 pour les femmes). Il y a une relance des échanges, d’une nouvelle industrie, d’un essor économique centré sur l’Italie. Il y a une pénurie de métaux précieux (manque d’or et d’argent). Une nouvelle classe émerge ce sont les industriels, les banquiers et les marchands. * ------------------------------------------------- Une économie de monde : c’est un système d’échange

l’Etat, pour une sociale démocratie de l’innovation Cet article a été écrit dans le cadre du cours « Grands défis planétaires » donné par Hubert Bonal dans le cadre de la Majeure Alternative Management, spécialité de troisième année du programme Grande Ecole d’HEC Paris. Résumé : Repenser l’Etat, comme de nombreux ouvrages post-crise, interroge le rôle et l’efficacité de l’action de l’Etat à l’aune des grands défis contemporains. En se fondant sur une méthode de benchmarking, les auteurs mettent en lumière