Novalis

enfant du siècle, autobiographie à peine déguisée dédiée à George Sand, dans laquelle il transpose les souffrances endurées. De 1835 à 1837, Musset compose son chef d'œuvre lyrique, Les Nuits, rivales de celles d'Edward Young, James Hervey ou Novalis. Ces quatre poèmes — les Nuits de mai, d'août, d'octobre, de décembre — sont construites autour des thèmes imbriqués de la douleur, de l'amour et de l'inspiration. Très sentimentaux, ils sont aujourd'hui considérés comme l'une des œuvres les plus

Ce mouvement se manifeste partout en Europe et dans tous les domaines artistiques (poésie, peinture, musique, architecture…). Le terme même de Romantisme est né d’un courant littéraire allemand des années 1800/1830 (avec des auteurs comme Tieck, Novalis) est évoque très vite les domaines de l’irrationnel, du fantastique, du rêve, des sentiments, de la sensibilité etc etc… Sur le plan historique, c’est un siècle riche en événements : après la Restauration (1814/1815) succèdent les Révolutions de

la parution de Gaspard de la nuit d'Aloysius Bertrand. Cependant, il a eu des précurseurs tels que Évariste Parny (1753-1814) avec les Chansons madécasses (1787), Alphonse Rabbe (1786-1829) avec l'Album d'un pessimiste (1835) et le poète allemand Novalis (1772-1801) avec les Hymnes à la Nuit (1800, écrits en vers et en prose). Fin. Le poème en prose existe plus que jamais aujourd'hui, après avoir connu un essor considérable à travers le monde à partir des années soixante. Lieux. Apparu en France

les pays, en même temps que les domaines artistiques. On considère généralement comme fondateur le mouvement littéraire allemand du « Sturm und Drang » (littéralement « tempête et élan »), qui vers 1770 rassemble les écrivains Schiller, Goethe, Novalis ou Schlegel autour d’une esthétique fondée sur la capacité à atteindre l’âme par le lien créé entre le créateur et le spectateur. Les Art romantique : ALLEMANDS : Aux origines du romantisme survient un bouleversement de la vision, né dans les cercles

tels que Byron (La Fiancée d'Abydos ,1813 )Keats (Hymn to Solitude),Shelley(The spirit of solitude , 1816 ) ou encore avec Walter Scott (Rob Roy ,1817 ). L'Allemagne, a elle aussi, été touchée par ce courant dont les principaux représentants sont Novalis , Goethe (Les Souffrances du jeune Werther ,1774) , les frères Grimm . On voit donc que le romantisme n'esrt pas né en France . Les romantismes anglais et allemands lui ont ouvert la voie.Ce mouvement se développe en France dans la première moitié

utilise les ressource sonores et rythmiques de la langue pour faire entendre comme des formules magiques. Le poète devient en quelque sorte un magicien des sons. Les premiers à avoir repenser la poésie comme magie – après l’antiquité – ce sont Poe et Novalis. Dans leur sillage, et dans la continuité des théories illuministes de la fin du XVIIIème siècle. (Le mot qui vient, ne sort pas du hasard, mais est comme magiquement imposé et son jaillissement même dit le mystère ontologique) Baudelaire évoque la

Jens Juel et Abilghaard comme professeurs, mais l'enseignement ne va pas lui plaire et décide de partir s'installer en 1798 à Dresde. Dans cette ville il rencontrera les peintres et les écrivains du romantisme (Goethe, Schlegel, Fichte, Schelling, Novalis...) . Friedrich est nommé membre de l'Académie de Berlin. Il voyage dans le Riesengebirge qui devient un thème récurent de son œuvre. Il expose à Berlin, est admiré par Goethe et Frédéric. Friedrich tombe malade en 1824. En 1826, son état s'aggrave

progressivement à un romantisme total. A cette époque, un large mouvement romantique s’est déjà développé à l’étranger, surtout en Angleterre avec des auteurs comme Byron, Shelley, Keats, en Allemagne avec Schiller et Goethe puis avec les Schlegel, Novalis, Tieck... Les voyages des écrivains français, les études historiques ou critiques ainsi que les traductions qui se multiplient, vont contribuer à diffuser et imposer les nouvelles inspirations romantiques. On aura, à titre d’exemple, Walter Scott

de Fichte, et se développa concurremment aux philosophies de Hegel et de Schelling. On peut distinguer deux générations dans le romantisme allemand. La première réunit à Iéna, autour des frères August, Wilhelm et Friedrich Schlegel, Ludwig Tieck, Novalis, Friedrich Schleiermacher, et s’exprima dans la revue Athenäum. Le romantisme visait en fait l’universel, que ce soit par un savoir encyclopédique ou par une réflexion spéculative sur le « tout » et le « moi » ; mais son originalité tint à la position

progressivement naissance à une amitié que va concrétiser l'importante correspondance que s'échangent les deux hommes, de 1942 à la mort de Roud en 1976. Gustave Roud fait connaître au jeune homme le romantisme allemand et les poètes qu'il traduit, Novalis et Hölderlin[3], mais aussi la beauté de la nature et des paysages[4] qui entrent dès lors au cœur de sa sensibilité. C'est aussi la période où il commence à traduire, pour son plaisir : « il y avait spontanément en moi un goût de cela »[5]. Après