Nul Ne Fait Le Mal Volontairement

LA CONSCIENCE I. Introduction: La conscience, c’est le fait d’être présent à son savoir, c’est la perception de l’existence (savoir qu’on existe, qu’on est la). Montaigne dit a ce sujet: « le pire état de l’homme, c’est quand il perd la connaissance et gouvernements de soi ». L’homme est définit comme étant une chose qui pense, un animal doté de raison, de conscience. Quand il perd sa conscience, il redevient un animal de nouveau. Toutefois, l’homme n’est pas toujours conscient : il y a des

bouche se fait mal entendre le mot "vertu"! Et quand ils disent " je suis juste", cela sonne toujours comme "je suis vengé." L'œuvre de Nietzsche est essentiellement une critique de la culture occidentale moderne et de l'ensemble de ses valeurs morales. Dans cette citation, il est question de justice et de vengeance. La justice est elle vertueuse lorsqu'elle est axée sur l'idée de vengeance ? Tout d’abord, la vertu est une force de caractère qui tend à faire le bien et à éviter le mal. La vertu

| | | Cette partie se divise en trois moments: 1. Une classification des désirs (« il fait se rendre compte...et celui du corps ») 2. Affirmation de l’hédonisme (« Nous n’avons en effet besoin des plaisirs..si complexe qu’il soit. ») 3. L’arithmétique des plaisirs (« Mais, précisément parce que le plaisir... comme un bien. ») Étude

RECHERCHES 2730 - L'homme injuste peut-il être heureux ? Corrigé réalisé par : Goudinet Axel Email : Classe : Etudes de philo Corrigé demandé en échange : 10 euros {draw:a} Définition des termes du sujet: {draw:a} Injuste / Injustice: un mal, ce qui est contraire à la loi, une inégalité. {draw:frame} Heureux, heureuse: Qui jouit du bonheur, qui est durablement content de son sort. {draw:frame} Juste : qui est conforme au droit et à l'égalité des personnes. {draw:frame} HOMME: Le

Comprendre a un sens souvent proche d'expliquer : on comprend si on nous a expliqué. Ici, expliquer, ce serait, de la part du fautif, dire pourquoi il a fait ceci ou cela, quelles sont les circonstances qui expliquent son geste incongru ou offensant. Il ne s'agissait peut-être que d'un geste maladroit (casser le vase de la belle-mère), involontaire ou mal interprété (ce n'est pas ce qu'il voulait faire), ou encore dicté par les circonstances (il ne pouvait pas faire autrement). Expliquer ses actes en

que le fait d'un agent libre et raisonnable ( Kant dit souvent que la liberté est " la clef de voûte " de son système philosophique ). La moralité s'éprouve ( c'est-à-dire : nous ressentons, quand nous agissons, que nous agissons " par liberté " ) dans la conformité des actes aux principes universels que la raison énonce comme 'mobiles' de l'action par devoir. C'est en ce sens que, paradoxalement, agir par devoir ( = agir uniquement par respect pour la loi morale ) c'est être libre : du fait que l'exercice

une réponse qui utilise le cours judicieusement. Le redressement est spectaculaire au fil des pages, et relativement à votre première copie, d’ailleurs.Voir aussi mes commentaires en marge.Nous redoutons, il est présupposé, ce qui nous apporte un mal, alors que nous désirons ce qui nous est un bien. Ce qui est source

homme, est un « herméneute » un chercheur de sens. Par contre, nous pouvons ne pas parler et si nous parlons, c’est en général parce que nous l’avons décidé. Parfois, nous parlons en rêve, emporté par l’émotion, mais la plupart du temps c’est volontairement que nous nous utilisons les mots, formons des phrases. Nous avons le choix entre le silence et la prise de parole. Et la parole étant un discours est par là une composition (par opposition aux contenus stéréotypés, prédéterminés et figés des animaux)

être exposé à subir l’injustice sans pouvoir se défendre ; être faible serait aussi réciproquement être susceptible de commettre l’injustice. En effet, selon la forte parole socratique, « nul n’est méchant (le terme exact est misérable) volontairement ». Cette maxime soutient que nul, réalisant la gravité du mal qu’il provoque, à supposer qu’il puisse en décider souverainement, ne pourrait en être l’auteur. Or, telle n’est pas l’idée de la délinquance et de ses causes qui nous est proposée par

propre altérité car Freud dit : « le moi n'est pas le mâitre dans sa propre maison ». La haine de l'autre serait donc le résultat de l'amour de soi = origine de problèmes identitaires Le rapport à autrui est basé sur la discord et l'asymétrie. On fait supporter à l'autre ce qui est insupportable en nous càd la différence . => le différent nous associe au différend « l'homme est un loup pour l'homme » Thmas Hobbes => la tentation de détruire autrui est toujours en nous. Chancun veut dominer