Néoclassique Dichotomie

large de vivre correctement Elle se mesure en flux (quantité de produits qui circule dans l’économie dans un intervalle de temps) Les enjeux sont donc des investissements et une accumulation de capital (capitalisme) * Une richesse réelle, dichotomie monétaire (séparation entre sphère réelle et monétaire) Une richesse qui n’est donc pas monétaire mais matérielle. * Mesure de la richesse par le travail : L’origine de la valeur est le travail incorporé dans les biens. C’est le fondement

qu'il n'on pas analyser car le phénomène ne les intéresser pas. Il parler d'une monnaie neutre ou monnaie passive. I. L'approche classique : La monnaie neutre, la théorie quantitative. A. Les principes classiques. a. Le principe de dichotomie. Pour les classiques la sphère réelle est l'essentiel car tout les phénomène réel vont s'influencer entre eux mais la monnaie est une variable a part, variable neutre. La monnaie n'est qu'un simple moyen pour échanger des biens contre des biens

des exigences des salariés. Notons que plus on s’éloigne d’un marché du travail flexible et concurrentiel, plus le taux de chômage d’équilibre est élevé. Si cette approche a l’avantage de concilier les deux grandes écoles de pensée économique (néoclassique et keynésienne), elle présente toutefois une série d’inconvénients. Elle accorde tout d’abord très peu de place à la variable demande, qui ne joue qu’un rôle réduit dans la détermination du niveau de chômage. Or, c’est oublier que c’est souvent

temps passer sur l’autre île correspond à une période de chômage de recherche. Sur la base de cette parabole, Phelps montre que l’économie peut se trouver dans une situation de déséquilibre général alors même que l’on se situe dans un cadre néoclassique (agents rationnels et équilibrage par les prix), exception faite de l’information parfaite. w/p Ls s L’ 3) Muth et l’hypothèse d’anticipations rationnelles : Peu d’impact à sa sortie dans les 1960s. Cadre dominant aujourd'hui. Point

classico keynésienne il sera accompagné de plusieurs prix Nobels : Samuelson et Tobin. Hicks allié à Hansen vont analyser les impactes des politiques économiques grâce à un modèle de l’équilibre que l’on nomme le model ISLM. Ce modèle met fin à la dichotomie entre la sphère réelle et la sphère monétaire pour juger de l’efficacité des politiques de relance de type keynésien. Pour ce modèle, les relances conjoncturelles sont efficaces. La politique de dépense publique conduite par l’Etat n’engendre pas

L'offre de monnaie : 2. La demande de monnaie : 3. L'équilibre sur le marché de la monnaie : Section 5 : La logique du modèle classique : 1. La représentation graphique : 2. Les spécificités du modèle classique : L'école classique et l'école néoclassique font partie de l'analyse globale classique. De plus l'analyse monétariste développée par Milton Friedman ainsi que les théoriciens de l'école des anticipations rationnelles ont enrichit la théorie classique. Pour les classiques l'équilibre global

(les obligations) et P3 qui correspond aux placements sur le LT à revenu variable (les actions). II - Les approches théoriques de la monnaie A - L'approche classique et néoclassique préconise une stricte gestion de la monnaie: c'est la thèse de la neutralité de la monnaie Approche globale Les classiques, puis les néoclassiques pensent que la monnaie n'exerce pas d'influences sur l'économie réelle, c'est à dire sur la production de biens et de service. La monnaie est neutre. On parle d'une vision

détenir de la monnaie ? -La monnaie influe-t-elle sur les variables réelles ? -Quelle politique monétaire faut-il mener ? A. Pourquoi les agents expriment-ils une D de monnaie ? 1. La monnaie comme outil de transaction dans l’analyse néoclassique La monnaie constitue seulement un intermédiaire des échanges : apparaît chez les classiques. JB SAY le voile monétaire ne fait que masquer la réalité des échanges et les produits s’échangent contre les produits = on vend un produit non pas

politique économique : L’économiste suggère au pouvoir public d’intervenir pour soutenir la demande lorsque celle-ci est insuffisante pour provoquer une offre qui nécessite l’embauche de toute la population active. Là encore, Keynes s’oppose aux néoclassiques qui disaient qu’en période de crise il faut laisser faire, laisser passer pour que l’économie sorte de la crise. Le succès de l’analyse Keynésienne a été si important que même Milton Friedman, le pire critique de Keynes, dira que nous sommes tous

comprend la production la consommation et l'investissement qui mesure de la richesse réelle que l'on appel PIB • sphère monétaire : il y a la quantité de monnaie et le prix moyen de tous les bien Les économiste classique libéraux disent qu'il y a une dichotomie entre les deux sphère , pour échanger les richesse il faut un instrument qui sera la monnaie , la monnaie ne sert qu'a échanger des biens et d'autres biens. La monnaie est l'équivalent général de l’échange. Une économie plus elle a de la monnaie