Néoclassique Dichotomie

sous-investissement chez J.M. Keynes Préambule : Keynes cherche les lois de formation de l’économie à court terme. Il possède deux points de convergence avec Marx qui le distinguent également des auteurs classiques : 1. Le rejet de la loi de Say, la dichotomie entre économies réelle et monétaire. 2. Le refus d’attribuer les désordres économiques à des causes exogènes (ressources naturelles limitées) ou à des imperfections de la concurrence. Sur le premier point, il est à noter que Keynes se démarque de

|Stanley JEVONS (Theory of Political Economy en 1871) et le Français Léon WALRAS (Eléments d’économie politique pure, 1874) qui | | | |enseigne à Lausanne,  premier représentant de l’économie de la valeur d’échange et chef de file de l’école néoclassique. Le coup de | | | |force et le génie de Walras a été de scinder l’économie en trois branches distinctes : | | | |-    une économie de la valeur d’échange et des échanges : l’économie politique pure

l’Anglais, Stanley JEVONS (Theory of Political Economy en 1871) et le Français Léon WALRAS (Eléments d’économie politique pure, 1874) qui enseigne à Lausanne,  premier représentant de l’économie de la valeur d’échange et chef de file de l’école néoclassique. Le coup de force et le génie de Walras a été de scinder l’économie en trois branches distinctes : -    une économie de la valeur d’échange et des échanges : l’économie politique pure qui est selon Walras une science naturelle indépendante de

2) Chronologie de la pensée économique et construction de l’HPE Prémices Précuseurs Classiques • Antiquites • Religion • Mercantilistes (XVème XVIIème siècle) • Physiocrates (XVIIIème siècle) • Smith (RDN 1776) • Ricardo • Malthus • Say NéoClassiques • Walras • Pareto • Arrow et Debreu • Friedman Kéynesiens • Nouveau Keynesiens (Stiglitz) Synthèse Marc Blaug, historien de la pensée économique, dit que : « le relativisme prend n’importe quelle théorie avancée dans le passé pour un reflet

aine : la naissance de l’institutionnalisme Introduction : La pensée néoclassique restait globalement fidèle à la tradition de la philosophie occidentale notamment dans ces cotés rationalistes voire déterministes, le caractère mécanique déterministe de cette pensée, à la fin du 19eme début 20eme siècle il va y avoir un mouvement de contestation de cette tradition philosophique en Europe. En Europe la pensée de Nietzche ou Schiller, aux USA on a l’émergence d’un nouveau courant= le courant du pragmatisme

théoriques et appliqués 22 Chapitre 3: Les options théoriques de l'équilibre macro-économique 23 Section 1 : L'approche néoclassique 23 I- De l'héritage classique aux prémices de théorie néoclassique 23 A- La conception d'ensemble des grands classiques 23 B- La loi des débouchés 24 C- La théorie quantitative de la monnaie 24 II- L'équilibre macro-économique néoclassique 26 A- Les hypothèses 26 B- Le marché du travail 27 C- Le marché du capital ou marché des fonds traitables 28 Section

succéssivement et qui ont développées aussi des positionnements différenciés par rapport à la pensé économique libérale : il s’agit de l’école néoclassique et de l’école Keynésienne.  Alors que la première propose un renouvellement de la pensé économique libérale dont Adams Smith fut le chef de file, la seconde quant à elle propose sa réforme. 1) L’école néoclassique L’émergence et la consolidation de ce courant de pensé remonte à la révolution dite marginaliste apparue entre 1870 et 1974. Elle s’est

devoirs à rempli : . Le premier, c’est le devoir de défendre la société, Le second, c’est le devoir de protéger, Et le troisième, c’est le devoir d’ériger et d’entretenir certains ouvrages publics 5. 6. Par la suite, les économistes néoclassiques (Pigou, Samuelson…) vont admettre que l’Etat peut avoir une action correctrice dans certains cas. 7. 8. • Par l’intermédiaire de ces biens tutélaires, l’Etat peut intervenir de manière à modifier les comportements des agents économiques

le terrorisme par exemple, il faut inclure l’objet d’étude dans un cadre explicatif global. Dans son ouvrage, l’auteur veut abattre les séparations qui existent entre les différentes sciences sociales. Il dresse un bref rappel historique de la dichotomie entre les «  Humanités », c’est-à-dire la recherche du beau du bien, et les « Sciences », qui recherchent le vrai. L’auteur émet une critique sur la compartimenlisation qui touche les sciences sociales. En effet le politologue s’attache à étudier

volume des transactions (ou volume de production). Cette équation souligne qu’une augmentation de la quantité de monnaie provoque de façon mécanique une hausse du niveau général des prix. Elle justifie l’idée d’une dichotomie (sphère réelle - sphère monétaire) dans la théorie néoclassique. En d’autres termes, l’évolution de la masse monétaire doit être corrélée à l’évolution du volume de production. Cette équation rappelle également que la monnaie répond à une fonction essentielle, celle de moyen de